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    Enter the Void
    Note moyenne
    3,4
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    526 critiques spectateurs

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    Eajn
    Eajn

    2 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 juillet 2011
    Il faut l'admettre, la réalisation est pauvre. Il n'y a que 4 types de plans :
    - des plans en vue subjective.
    - des plans avec le protagoniste vu de dos.
    - des plans en plongé, avec la caméra qui tourne et des déplacements au dessus de Tokyo sans intérêt entre CHAQUE scène de la 2ème partie du film.
    - des séquences hallucinatoires longes, avec parfois des clignotements jaunes/oranges très long… et il y a aussi des noirs très longs.

    Il y a des flashs lumineux incessants pendant tout le film et des clignotement non justifiés (un esprit ne cligne pas des yeux, c'est surement pour les raccords).

    Les scènes de sexe et d'errance sont sans intérêt pour l' "histoire". À partir de la mort du perso principal, il n'y a plus d'intrigue, et clairement on s'ennuie. Ce qui apparait au début comme un élément perturbateur devient en réalité le début d'une "fin" très longue.

    Des répétitions ralentissent ce film déjà sans rythme : l'accident de voiture, le pacte, la scène dans les toilettes du Void, les entrées de l'esprit dans les lumières etc…

    Ce film, c'est juste du subversif, essayer de faire passer du porno pour de l'art. Du vrai foutage de gueule.
    lilybelle91
    lilybelle91

    63 abonnés 914 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 juillet 2011
    "2001" dans une ampoule...!!!! Super pour une soirée dansante comme ambiance lumineuse : multi-spot boule à facette tromboscope ! A ne voir que bourré ou sous influence de psychotropes...ce qui n'était pas mon cas ! Je me suis donc terriblement ennuyé devant les 150 minutes de délire visuelle aussi creux que "Bluberry" une véritable épreuve qui c'est avéré un véritable calvaire, voir un supplice, mais mon défi était d'arriver au bout de ce non-film et d'atteindre le générique de fin, tel une délivrance...OUF ! Critique donc négative, mais qui ravirait Gaspard Noé tant le bonhomme déteste qu'on aime ses films et adore qu'on les détestes !!! C'est chose faite...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 novembre 2011
    non mais sérieux! c'est quoi ces critiques de chiotte à ce film..... extraordinaire!? peut être l'un des meilleurs film que j'ai vu dans ma vie. un claque. en fait on ne peut pas décrire ce film tellement il est........ non on peut pas. c'est tellement réaliste. vous ne croirez même pas ce que vous aurez vu. à voir.... avant de mourir obligatoirement!
    Joseph B.
    Joseph B.

    18 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 juin 2011
    Aussi niais et éloigné du cinéma que possible, à l'instar d' Irréversible.
    Mal filmé, creux, dialogues insipides, répétitions permanentes, thématiques pré-pubères et obligation de passer à la pharmacie pour prendre une aspirine. Même pas envie de faire une phrase sujet-verbe-complément, tiens.
    harovine
    harovine

    21 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 juin 2011
    J'ai aimé le générique. Ensuite la prise de vue spéciale rebute un peu mais on s'y fait. Le style est original, il n'y a pas à dire. Le réalisateur prend son temps. Plus on avance plus on voudrait que ça aille un peu plus vite. J'ai aimé mais avec une réserve.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 17 juin 2011
    Excellent film de Gaspar Noé, qui entreprend ici, après des histoires de vengeance immorales, du boucher violent et sanglant (Carne et Seul contre tous), et du couple Cassel/Bellucci emporté dans une spirale temporelle, infernale et magique (Irréversible), de traiter, dans un style beaucoup plus contemplatif et hallucinatoire, la transmigration de l'esprit d'Oscar (Nathaniel Brown), jeune et petit dealer exilé à Tokyo, subissant, à la suite d'une grosse balance d'un de ses "potes-clients", Victor, et d'un "traquenard" organisé par les flics, le coup pour le moins funeste d'une balle dans le corps. A partir de ce meurtre ou d'apparence de meurtre (le film ne décide pas, et c'est tant mieux), la caméra va suivre les pérégrinations fantasmagoriques de l'esprit d'Oscar, qui voit la mort de son corps, qui croit la mort de son corps, et qui, persuadé d'une espèce de croyance transmigrative de l'âme après la mort, cherche les signes, les traces, la validation de ce mythe qu'il vient de lire dans Le livre des Morts Tibétain, espèce de corpus bouddhique à l'origine de son grand trip (à mettre en parallèle avec le livre que Bellucci tient à la fin d'Irréversible, je ne me rappelle plus bien, mais un rapport avec le chaos ou le temps, bref), prêté et expliqué par un autre de ses potes, Alex (Cyril Roy). Bref, désincarnation, résurrection, réincarnation, quasi-substitution à Dieu : l'esprit d'Oscar devient ab-solu. L'ingéniosité et l'idée incroyable de Noé, je trouve, consiste à identifier sa caméra à la perception d'Oscar : jusqu'à son accident, vision subjective classique, puis en retrait du crâne, puis, à partir de l'accident, une sorte de vision omnipotente, non pas tellement panoptique (pouvant idéalement tout voir d'un seul point et en un même instant) mais circulante, courant à travers les murs et les immeubles, traversant les rues de Tokyo et les pièces de chaque bâtiment. L'âme d'Oscar, comme la caméra de Noé, se fait électricité, force ondulatoire, spectrale : la conscience d'Oscar n'est plus qu'un fantôme dans le monde, glissant alors sur l'espace désormais transparent et homogène comme dans un rêve, selon en tous les cas la même nécessité qu'un rêve.
    Et comme dans un rêve, tout arrive nécessairement selon le plus désarçonnant des hasards : il y a, comme dans un scénario, des personnages principaux dont le comportement s'égale à un caractère : Victor et son repentir, la mère de Victor avec qui l'on sait qu'Oscar couchait, Alex contraint à fuir la police dans la solitude obscure des ruelles de Tokyo, et surtout, surtout, Linda (Paz de la Huerta), sa soeur, anéantie par sa mort. Seulement on voit bien toute la complexité de la chose : Linda, à proprement parler, n'est pas anéantie : la Linda anéantie est telle que la voit Oscar à travers sa conscience égarée, par conséquent la Linda anéantie est la Linda voulue, désirée, exigée par l'inconscient d'Oscar. Si bien qu'il y a beaucoup plus de sensualité, de désir, de convoitise que de tristesse. L'un des thèmes principaux d'Enter the void est l'inceste : l'esprit d'Oscar n'a jamais oublié l'image de sa mère se faisant... prendre par son père quand lui était gosse alors qu'il l'aimait profondément - physiquement, cela s'entend -. Par suite, l'esprit d'Oscar a projeté ce manque sur la mère de Victor, et fait enfin sur Linda qui devient comme sa nouvelle mère. Dans toutes ces scènes gênantes que Noé prend un malin plaisir à nous infliger le plus ostensiblement possible, c'est l'ombre de la mère qui agit, c'est son amour perdu qu'Oscar tente de retrouver (jusqu'à rêver de renaître des flancs de sa soeur...). Bon on devine dans tous ces thèmes du freudisme bon marché, mais Noé a le mérite de ne jamais s'appesantir dessus, de ne jamais prendre ça au sérieux, comme s'il décrivait, ou dérivait, mais n'y croyait pas lui-même, bref comme s'il rêvait lui-même.
    Ce qui importe dans Enter the Void, c'est moins la tristesse de la mort que la vie malgré la mort, la vie en dépit de la mort. Et pour ça Noé se sert de deux expédients : le premier, de fond, c'est le pacte de sang que Linda et Oscar se font, tout jeunes, à la mort de leurs parents, jurant de ne jamais se séparer : une manière d'insérer une promesse, une attache temporelle, une continuité dans Enter the Void, qui n'emprunte jamais à l'irrationalisme le plus débordant - sans quoi le spectateur lâcherait bien vite - mais qui demeure toujours lié, comme en son centre, par la fermeté intenable et impossible de ce pacte (lui-même conclu dans l'enfance et devant se poursuivre jusqu'à la mort et même au-delà). Le pacte de sang, c'est la vie qui persiste, comme reste, comme irréductibilité. Le second expédient, c'est la forme du film : épileptique, saccadée, sauvage, colorée, bariolée, toujours en excès par rapport au fond. Sous couvert d'une mort incertaine, indécise, Noé décide de prendre le parti de l'expérimental...

    La critique complète sur le Tching's Ciné bien sûr (note finale 18/20) :
    http://tchingscine.over-blog.com/
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 7 juin 2011
    La première partie du film est intéressante car Gaspar Noé essaie d’aborder des sujets peux communs (traumatisme psycho, drogue et résurrection) et aussi grâce à sa façon de filmer encore jamais vu ailleurs.
    Malheureusement Enter the void s'éternise sur des plans et scènes qui ne nous apprennent strictement rien.
    Au final le film devient soporifique et notre seul envie c'est qu'il se termine le plus vite possible !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 4 juin 2011
    après le magnifique Seul contre tous!!! voici LE film de cette décennie! bon par contre vous ne pouvez pas supportez les longueur fuyez ou si vous etent épileptique fuyez encore plus vite!!! C'EST LE FILM VISUEL et dérangeant! gaspar noé est rentrer dans une nouvelle aire!!!
    Enkko-7
    Enkko-7

    42 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 mai 2011
    Expérimental, soit ... visuellement très fort. Mais creux ... creux comme rarement j'ai vu. Et long, tellement long et vide parfois ... dommage.
    totoro35
    totoro35

    102 abonnés 1 787 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 mai 2011
    Après le choc Irréversible, Gaspard Noé revient avec un projet encore plus jusqu'au-boutiste, pure expérience sensorielle et spirituelle forçément inégale et un poil trop longue mais totalement cohérente. Si le film divisera, la maîtrise technique du cinéaste devrait faire l'unanimité.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    748 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 mai 2011
    Sept ans après le film à scandale qu'aura été " Irréversible ", Gaspar Noé signe avec " Enter The Void " une oeuvre un peu trop loufoque et dingue à mon goùt, et auquel j'ai pris que bien peu de plaisir à visionner. Le sujet du film - qui parle entre autres de ce que serait la vie après la mort - est pourtant intéressant au départ, mais le metteur en scène nous plonge tellement dans une sorte de "trip" hallucinatoire, ce qui fait que l'ensemble s'avère bien vite lassant, barbant ( j'ai pas été au bout des deux heures et demi, et je souhaite bon courage à ceux qui tentent de le faire ) et finalement on a bien du mal à s'interesser aux protagonistes. Bref, il s'agit d'une oeuvre cinématographique extrêmement spéciale et fortement déplaisante en ce quime concerne, ce qui fait qu'elle risque de laisser sur le carreau pas mal de cinéphiles.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 27 mai 2011
    Que dire..autant j'avais adoré "Irreversible", autant là..Gaspar Noé à voulu vendre la même recette :du trash, du sexe, sauf que cette fois-ci, ça paraît totalement gratuit et inutile. Les scènes de trip façon kaléidoscope sont interminables tout comme les déplacement aériens de la caméra..ce film est long, voir interminable, et extrêmement ennuyeux. La réalisation est malgré tout talentueuse tout comme l'immersion dans la ville de Tokyo.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 8 août 2012
    Un film qui fait dans l'originalité, de la création, des effets, trop d'effets. Somme toute, l'histoire est assez banale, le film est long, beaucoup trop long...!
    Trop de lumière néon et autres artifices, de quoi attraper un migraine. Trop de scènes à la limite du porno, le film aurait selon moi gagné à être épuré de tous les points de vue !
    r0c-bribri
    r0c-bribri

    21 abonnés 818 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mai 2011
    Si G.Noé n'abusait pas de la prouesse technique dont bénéficie le film et de son indéniable talent de metteur en scène on pourrait parler de chef d'oeuvre.Le hic se trouve dans l'épuisement inventif du réalisateur au bout de 2h,cependant malgré tout ça le film nous embarque par moments comme jamais aucun film ne pourrait le faire.On peut parler ici du digne fils de 2001:l'odyssée de l'espace.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 21 mai 2011
    Véritable expérience cinématographique, non sans rappeler Irréversible, c'est un film inclassable qui se laisse vraiment bien voir, avec peu être une certaine faiblesse scénaristique. Mais l'objet n'est là.
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