Derniers Avis : Wolf Creek - Page 4

Tiré soit disant d'une histoire vraie , Wolf creek nous emmène dans les paysages magnifique de l'Australie
dans un histoire de course à l'homme dont l'acteur principal (le tueur) est super efficace dans son rôle.

Un film tétanisant si on se met à la place des victimes. Ce redneck australien mérite sa place au rang des pires monstres du cinéma : fou, vicelard, impitoyable.

Ps; le 2 confirme que l'Australie c'est chaud.

Une tuerie ce film et c'est le cas de le dire!la tension est présente tout le long et la chasse à l'homme sans pitié dans un décor désertique Australien hostile,sachant que c'est basé sur des faits réels,évidemment romancé mais c'est un très bon thriller horrifique ! 3,5/5

un film d'horreur simple. a la réalisation réaliste. et au suspence efficace. tiré d'une histoire vraie, wolf creek a de quoi nous faire peur ( voir le résumé ).
certains n'aimeront pas car peu de rebondissement, trop court, ou manque d'originalité et d'autres adoreront le coté réel et brut de ce film d'horreur.

Bon film d'horreur,scènes sanglantes,parfois malsaines,mais aucun frisson. L'histoire est basique,mais inspirée de faits réels,un bon point. Le cadre qu'offre l'Australie est magnifique,on ne peut en dire autant de la performance des acteurs. Bon dans l'ensemble,à ne pas trop creuser.

Wolf Creek est un slasher Australien, vibrant hommage au cinéma des années 70/80, ayant pour décors le désert australien, nous rappelant étrangement le Texas de MASSACRE A LA TRONCONNEUSE. Mais la comparaison ne s'arrête pas là, le réalisateur Greg McLean offre ici un spectacle à la hauteur de son prédécesseur. En effet, l’image, la bande originale, la mise en scène, le scénario (écrit par le réalisateur lui même), la couleur et la photographie nous plonge dans une ambiance particulière. Le découpage des scènes et les contre pieds pris dans le scénario, font du spectateur que nous sommes, le témoin du sort des victimes à l'instar d'un MASSACRE A LA TRONCONNEUSE ou de LA COLLINE A DES YEUX. La mise en scène emplie d'un certain réalisme (on à parfois l'impression d'être devant un film tourné en found footage documentaire), termine d'installer une atmosphère unique et une angoisse permanente.Enfin, mention spéciale à la prestation du tueur psychopathe John Jarratt, devenu le temps du film, le nouveau visage du boogyman cruel et qui ne nous donne vraiment pas envie de visiter le désert Australien. Volontairement ouverte, la fin nous rend impatient de découvrir la suite de ce nouveau réalisateur plein de talents.

Un slasher dans la lignée de « Détour mortel » (Rob Schmidt ,2003) avec toutefois une connotation réelle plus appuyée notamment grâce à l’emploi du procédé « caméra à la main » popularisé depuis l’énorme succès du « Projet Blair Witch ». L’arrivée des scènes de violence est très longue à se mettre en place mais le metteur en scène sait y faire pour créer une angoisse diffuse très bien mise en scène par la mise en valeur de l’immensité de l’outback australien. Pour le reste, du très classique qui ne déçoit pas. Du solide.

Un groupe de jeunes qui se fait choper par un tueur... dans le genre déjà vu 1000 fois, dur de faire mieux. Une Australie glauque rappelle l'ambiance de La Colline a des yeux, OK pourquoi pas finalement... c'est pas trop mal filmé en plus. Mais après une exposition de 50 mn (!) alors que 5 aurait suffit vu les 1000 films pareils qu'on a vus avant, on arrive enfin au coeur du sujet. Et là, les personnages réagissent de façon totalement non crédibles, en rupture totale avec ce qui précède, où tout était totalement réaliste. Les jeunes touristes de film d'horreur sont cons. OK, mais à ce point là, on pense plus à l'incompétence du scénariste qu'à celle des personnages. Du coup, on décroche, en restant quand même pour les scènes horrifiques... mais au final, on a environ 2 mn 30 d'horreur... Bref, lourde déception pour un film qui installe un cadre solide avant de tout ruiner à cause de son écriture maladroite et sa pingrerie horrifique. Frustrant.

Ambiance suffocante et irrespirable comme si l’on était à 1000 mètres sous terre

deux jeunes femmes et un homme en voyage de camping tombe sur un village particulier. On est étonné par le coté quasi documentaire du début, caméra à l'épaule, accent à couper au couteau. Puis on arrive a wolf creek et là le film bascule dans l'horreur. Rien ne nous est épargné, le traitement est différent d'un film américain, ici pas de scènes faussement politiquement incorrect ou de héros gentil, encore moins de psychologie à 3 centimes. C'est clairement pas un film pour les enfants

Je suis bien content d’avoir décidé de revoir le premier opus avant de visionner le second car si j’étais resté sur ma première impression, ma critique aurait été certainement très assassine tant j’avais été déçu à l’époque. Mais après ce second visionnage, même si je trouve toujours qu’il n’est pas exempt de défauts, je dois bien avouer que "Wolf Creek" possède certaines qualités : 01) Le film prend son temps pour démarrer en nous proposant une longue présentation des protagonistes et de leur « périple » touristique vers le fameux Wolf Creek, un énorme cratère au milieu des terres australiennes causé par la chute d’un météore. Si par le passé, j’avais trouvé cette introduction longue, chiante et limite inutile, je dois bien avouer aujourd’hui qu’elle permet d’installer l’ambiance générale du film : d’un côté on a le temps de s’attacher aux personnages, et d’un autre côté le film nous donne l’opportunité de voir de magnifiques paysages d’une beauté mélancolique mais aussi de commencer à instaurer une certaine atmosphère claustro avec ces plaines immenses s’étendent à perte de vue qui fait qu’on se retrouve dans une solitude absolue rien par le fait de ne pouvoir communiquer avec le monde extérieur. 02) le trio principal : pour une fois (et c’est assez rare dans le cinéma de genre pour ne pas le signaler), on a à faire à des jeunes qui n’ont rien de particulier, ils possèdent tous un physique agréable mais ordinaire (ici pas de beaux gosses avec sourire ultra brite et des tablettes de chocolat huilées ni de giga poufs à gros nichons et petit cul bien rebondi…on est loin d’un casting d’émission à la con genre « Secret Story » ou « Les Marseillais à Ibiza » !) qui profitent pleinement de leurs vacances avant un retour à la vie quotidienne comme bon nombre d’entre nous tous. Le processus d’identification est donc ici parfaitement maîtrisé, d’autant plus que les acteurs les incarnant le font très bien avec un certain naturel très agréable à l’écran. 03) Les hommages du réalisateur à d’autres films qui ont fait la fierté de l’Australie, qu’ils soient évidents (Mick Taylor qui balance « ça un couteau ?!...Non, ça, c’est un couteau !! » tout droit sorti de "Crocodile Dundee") ou un peu plus subtils (les longues routes désertiques sont filmées au niveau du bas de la calandre d’une automobile comme le faisait George Miller dans "Mad Max", et les beaux plans larges sur la faune ne sont pas s’en rappeler ceux de Russell Mulcahy dans "Razorback"). 04) Le basculement du film dans le survival avec cette ambiance redneck craspec à outrance qui permet de ressentir l’horreur vécue par les personnages. 05) LA réussite du film : Mick Taylor ! Ce « boogeyman » est sans conteste une belle enflure qui a bien huilé son petit « manège » afin d’assouvir son besoin en distraction. John Jarratt est nickel dans sa prestation et nous propose un bon gros barje redneck de tout premier ordre. 06) la fin : inattendue pour ce genre de film. Malgré ces indéniables qualités, "Wolf Creek" n’est pas dénué de défauts, le principal étant tout de même sa longue introduction qui peut en décourager plus d’un de continuer le visionnage du film. Ensuite, il est dommage qu’une fois que le personnage de Taylor ait dévoilé son vrai visage, le film ne se lance pas dans un gore décomplexé qui aurait très certainement accentué l’horrible situation dans laquelle se retrouve nos pauvres vacanciers. On retiendra une fulgurance amenant une bonne leçon : ne jamais tendre la main ! Et puis on ne pourra que grincer des dents sur certains clichés du genre qui trahissent un excès de facilité (le vilain monsieur est HS à terre : je vais vite m’enfuir le plus loin possible dans cette immense plaine désertique plutôt que le lui exploser tranquillement le crâne pour l’achever et avoir la paix une bonne fois pour toutes !!)
Pour un film australien disposant de peu de moyens, il faut bien reconnaître que "Wolf Creek" s’en sort avec les honneurs : il lui manque juste un petit quelque chose de viscéral pour se hisser vers le panthéon des slashers/survival. Un film à voir, en attendant de voir ce que va donner le suivant…

Wolf Creek 2 est nettement mieux ! Et beaucoup plus "gore" .

50 minutes inutiles pour que le film démarre enfin : c'est trés lent, la bande son ne met pas des masses dans l'ambiance. Que ce soit le tueur ou les victimes, aucun n'a de charisme. J'ai bien perdu mon temps pendant 1h40... L’Australie est le pays des kangourous et de la Foster mais pas des films d'horreur ! Celui qui s'est permis de noté sur la jaquette "cruel, insoutenable, culte" a du être payé bien cher ...

Wolf creek, réalisé avec enthousiasme par Greg Mclean qui nous a offert Solitaire en 2007, est un film d'horreur qui apporte beaucoup de tension envers le spectateur. L'histoire: Trois amis décident de visiter le cratère de Wolf creek en Australie, ils se rendent compte que leurs voiture est mystérieusement tombé en panne, perdus au milieu de nul part les amis décident de dormir. Peu de temps après un autochtone leur propose de l'aide mais les amis vont vite comprendre qu'il s'agit d'un psychopathe. Le film est basé sur une histoire vraie en 2001. En effet il s'agit d'un couple enlevée par un homme alors qu'ils visiter le fameux cratère. La prestation de John Jarratt dans le rôle de Mick taylor, le tueur, est tout simplement remarquable. Il nous offre un personnage sombre, un peu comique mais surtout passionnés par la chasse aux kangourous. Les prestations de Nathan Phillips, de Cassandra Magrath et de Kestie Morassi ne sont pas très convaincantes mais les acteurs collent bien avec le scénario et leurs personnages. Dans ce film, Grag Mclean a montrer plusieurs angles de vue de ses magnifiques paysages qu'est l'Australie sont absolument incroyable. Nous pouvons également remarquer que le personnage de Mick Taylor ressemble au personnage du shériff dans Massacre a la tronçonneuse 2003 mais aussi de Sean Bean dans The Hitcher avec son côté psychopathe et a la fois touchant. Mais les longueurs inutiles du film était elle nécessaire ? Et bien non car je pense que 20 minutes pour présenter les perssonages principaux aurait suffit .
Malgré quelques défauts et quelques clichés de Massacre a la tronçonneuse, Wolf Creek reste un excellent film que je vous conseille. La suite sortis cette année semble beaucoup plus dynamique et plus explosive. Réponse bientôt

Une idée vu et revu et revu. Le film met 1h à commencer. Et par la suite il ne se passe pratiquement rien. "Détour mortel" est largement mieux que ce film vraiment nul. Lent, acteurs mauvais, scène qui ne servent a rien... Je le déconseille fortement!!!