AlloCiné
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Votre avis sur Wolf Creek ?
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après 40 minutes durant lesquelles il ne se passe rien si ce ne sont quelques allusions à des extraterrestres et une petite dispute dans un bar, le film démarre, enfin quand je dis démarre, c'est bien là qu'est le problème puisque justement la voiture ne démarre plus; on attend donc avec impatience l'arrivée d'une dépanneuse extra-terrestre mais non, c'est un vieux monsieur à l'allure sympa qui vient au secours. et les clichés se suivent et le sang coule et on a même droit à une éclipse (comme dans Tintin et le temple du soleil). Mention spéciale pour le jeune homme qui incarne Ben (diminutif de benêt) et pour la jeune fille qui hurle durant 5 bonnes (ou mauvaises) minutes.
ffred
Pas vu en salle ni par ailleurs, on m'en a dit récemment beaucoup de bien. Un peu long à se mettre en place, mais une fois que c'est parti cela devient terriblement angoissant et parfois insoutenable. Un vrai bon suspens stressant jusqu'à la dernière minute. Et dire que c'est tiré de faits réels....
Avec Wolf creek, c’est comme avec certaines courses cyclistes, tant que ce n est gagné, ce n est pas gagné, un peu comme on avait pu le voir dans Funny games, et ce ressentiment transmis dans l œuvre est terrifiante. A mi chemin entre le thriller et l horreur, ce long métrage australien nous fait voyager de manière insouciante dans la première demie heure avant de nous plonger dans l’univers de la traque au milieu des déserts impitoyables. C’est avec sourire, couleurs vives et rires que nous assistons à ce spectacle de grande violence semblable à celui de Knock knock paru huit ans plus tard, qui met en avant une course poursuite entre quelques individus. Je le déconseille aux moins de 16 ans. 3/5
Fêtons le cinéma
Wolf Creek compose un personnage de bourreau qui est avant tout l’émanation d’une terre, d’un territoire, cette Australie sauvage et violente que George Miller (pensons au premier Mad Max) ou Russell Mulcahy (Razorback) avaient déjà mise en scène. Il faut voir ce plan où Mick Taylor fusionne avec l’ombre puis disparaît dans le paysage, un plan qui contient toute la vision mythique de ce monstre rustique habillé en dépanneur et type sympa. Ce qui intéresse le réalisateur Greg McLean, comme dans chacun de ses films, c’est la rencontre entre l’individu extérieur à une région et le mythe qui a fondé cette région : les touristes se heurtent au crocodile sacré (Rogue), l’aventurier est confronté à la jungle bolivienne dans ce qu’elle a de plus dangereuse et primitive (Jungle). Ses longs métrages orchestrent la lutte entre des individus étrangers ou désaxés et une entité monstrueuse qui les absorbe parce qu’elle est somme, totalité. Ici, c’est la violence de l’Australie profonde qui resurgit, une violence que McLean fait naître d’une image a priori amatrice, captée sur le vif. En nous embarquant aux côtés des trois protagonistes principaux, tout comme nous partageons l’intimité des touristes dans Rogue ou des explorateurs dans Jungle, en les représentant comme des êtres ordinaires, le film aborde le mythe d’un point de vue réaliste et révèle ainsi la part de mystère inhérente à des territoires encore tenus à l’écart de l’activité humaine, des lieux au potentiel magique et maléfique intact. Nul hasard si Mick Taylor passe son temps à parler du ciel : il est l’esprit de cette Australie obscure, l’éclipse de la civilisation, un retour à la nature humaine dans ce qu’elle a de plus bestiale. Wolf Creek est donc porté par une vision artistique forte qui lui permet de dépasser son statut de survival gore pour témoigner de l’importance du surnaturel dans notre rapport au monde, un surnaturel primal, sauvage et cruel.
Tres bon film, oppressant et angoissant.
La bande de jeunes en vacances, quoique très facile dans un film d'horreur, est plutôt bien maîtrisée.
Le tueur, sans masque ni passé mystérieux contrairement aux Halloween, Massacre, Souviens toi... typique des slashers donne une ambiance encore plus malsaine (le tueur est plutôt sympathique au début)
L'Australie (que l'on considère comme safe comparée aux USA niveau psychopates) donne encore plus d'impact. A voir
La bande de jeunes en vacances, quoique très facile dans un film d'horreur, est plutôt bien maîtrisée.
Le tueur, sans masque ni passé mystérieux contrairement aux Halloween, Massacre, Souviens toi... typique des slashers donne une ambiance encore plus malsaine (le tueur est plutôt sympathique au début)
L'Australie (que l'on considère comme safe comparée aux USA niveau psychopates) donne encore plus d'impact. A voir
Un survival à la sauce kangourou et à la tension soutenue.Le Crocodile Dundee, qui ne chasse pas que des animaux sauvages, porte à lui tout seul ce film très classique à la pointe de son couteau de dépeçage. Grace à son charisme, Wolf Creek ne se révèle pas trop mal dans le genre "film d'horreur au scénario simpliste" (que l'on peut résumer par "jeunes touristes cherchent à fuir psychopathe"). En bref, pour ceux qui aiment la violence sadique et les paysages infinis australiens, ce qui n'est pas incompatible.
Une fois que l'on passe les 10 premières minutes inutiles et qu'apparaît sobrement le titre, le film devient très plaisant à regarder de part son atmosphère et sa photographie. Mais après tout ce que j'ai entendu sur ce long-métrage australien, je ne l'ai pas trouvé aussi dérangeant et violent que cela, ce qui est dommage ! Il faut attendre le milieu du film pour que la situation vire au cauchemar et, malgré le charisme et l'originalité de ce péquenot sadique, nous ne sommes pas pris aux tripes. Et qu'est-ce que la première victime peut pousser comme cris, ça en devient insupportable ^^ Mais sinon, il n'empêche que ce film reste divertissant, glauque, inspiré de faits réels, donnant une touche de réalisme qui manque parfois aux films d'horreur. Bien mais sans plus.
Incohérence, lent ( 50 min pour que le film commence), sombre ( on voit rien du tout à ce qu'il se passe franchement beaucoup trop de scènes dans le noir). Les acteurs sont vraiment pas terribles et les scènes sont d'une nullité ... Passez votre chemin.
Wolf Creek s'inscrit comme une première tentative réussie,du réalisateur australien Greg McLean , un long métrage qui nous plonge dans les abîmes d'une histoire vraie,à glacer le sang,perturbante et dérangeante, dont on ne sort pas indemne... Un thriller psychologique plus que horreur, qui se concentre d'avantage sur ses personnages, et les prépare au cauchemar et au calvaire qui les attend, car il en est plus question ici de l'horreur et de la torture psychologique, que de l'horreur physique crue et frontale des SAW, Hostel, et j'en passe....Des protagonistes bien exploités, et attachants, auxquels on s'identifie aisément, c'est plutôt maîtrisé, dans le sens ou on suit avec intérêt les péripéties de ces jeunes ,partis pour un Road Movie en plein Australie,ne se doutant pas de ce qui les attend et de ce qui vont endurer....J'admets que la première partie du film,est lente,trop lente à se mettre en place,faute à un rythme en dents de scie,le plus gros bémol du film, même si on est immergé dans l'ambiance, et les beaux décors naturels du pays si chers au cinéaste ,qui pallieront néanmoins à un manque flagrant de rythme. Filmer la nature Australienne et prendre le temps d'installer une ambiance les protagonistes, est apparemment la spécialité de Greg McLean,au détriment d'un rythme inégal et parfois assommant (car oui,il ne se passe absolument rien,si ce n'est une visite guidée du "Bush" australien,plaisant à voir) ,peut paraître choix risqué et assez rebutant,quand on n'a pas l'habitude..Arrive cependant une deuxième moitié,tant attendue et qui récompensera notre patience,plus rythmée,plus prenante et qui mettra les nerfs du spectateur à rude épreuve, à l'image de ces protagonistes qui auront la malchance de croiser la route d'un psychopathe sanguinaire, qui est sans rappeler un certain "Crocodile Dundee" nommé "Mike Taylor (John Jarratt,très convaincant,et l'acteur fétiche du cinéaste...),un "Boogeyman" impitoyable, et un prédateur redoutable, qu'on aimerait surement pas croiser, et l'un des Serial killer le plus charismatique qui m'ait été donné de voir au cinéma du genre. "Le gore" est peu présent (pas d’effusion de sang jusqu'au boutisme...,) mais offre des scènes dérangeante,et d'une brutalité déconcertante (Âmes sensibles s'abstenir) c'est efficace et bien dosé.La présence de ce psychopathe instaure un climat palpable et un malaise constant chez le spectateur,qui fait son effet, c'est malsain et c'est plutôt bien amené...Le twist final est bien trouvé (mais bon connaissant les faits réels...on est peu surpris) et fait réfléchir ....Wolf Creek est bon Thriller/Survival ,qui possède une trame assez classique mais bien menée et efficace.... Prenant et dérangeant ,il se laisse suivre sans soucis,malgré quelques défauts dont, une première partie poussive,et des incohérences liées aux comportements et réactions invraisemblables des protagonistes,peu inspirés (je n'en dirais pas d'avantage...) un film qui n'est pas parfait, mais reste plaisant à voir...une petite bouffée d'air dans le genre,bienvenue.....Ma note:3.5/5
Grand manque d'imagination pour ce réalisateur.Pendant les 50 premières minutes il ne se passe rien.Le comportement des 2 filles manque de réalisme par moments.J'espère que le 2 sera meilleur.
Shawn777
Ce film, réalisé par Greg McLean et sorti en 2006 sur le sol français, n'est finalement pas trop mal après en avoir eu quelques a priori. Au vu des notes et surtout du synopsis, je pensais en effet que cela allait être un film d'horreur lambda sans grande envergure et même si ce n'est clairement pas un chef-d’œuvre, il reste plutôt réussi dans l'ensemble. Le film s'inspire très librement d'une histoire vraie et raconte ici celle de trois amis qui se rendent au cratère de Wolfe Creek. Malheureusement, ils tombent en panne et se font dépanner par un homme aux agissements étranges. Bon voilà, l'histoire de base est la même que l'histoire vraie (excepté le fait que les victimes étaient deux et non pas trois) mais ensuite, le film brode énormément autour de tout cela. Le fait de mettre en avant que le film soit inspiré d'une histoire vraie permet tout d'abord de justifier le fait de faire un énième film d'horreur au scénario plus ou moins déjà vu des centaines de fois dans le genre mais surtout de sensibiliser le spectateur encore plus à l'horreur, ce qui est finalement assez habilement fait, surtout que le film en remet une couche lors du générique de fin (mais cette fois en déformant complètement les faits réels). Si on rentre donc dans le jeu, on s'attache beaucoup aux personnages et surtout, nous sommes à fond dedans. Malgré tout, nous ne rentrons pas tout de suite dans le vif du sujet, ce n'est qu'au bout d'environ cinquante minutes que les évènements arrivent enfin, ce qui ne laisse plus tellement de place au réel sujet du film. Cependant, cette longue introduction nous permet de nous attacher et de nous familiariser aux personnages, surtout qu'ils ne sont pas complètement débiles (contrairement à beaucoup de films du genre) et ainsi nous sommes par la suite encore plus sous tension. Bon en dehors de ça, le film suit un schéma assez classique et la trame est quelque peu prévisible (mis à part la fin plutôt bien faite et surprenante), ce qui est assez dommage. La réalisation m'a quant à elle étonné car si elle est relativement classique dans l'ensemble, elle nous offre tout de même de très bonnes scènes, notamment lors de la course poursuite dont les plans en sont très bons. Du côté des acteurs, ils ne jouent dans l'ensemble pas trop mal. "Wolf Creek" est donc un petit film d'horreur assez prenant mais qui ne rentrera pas pour autant dans les annales.
C'est avec ce film que j'ai découvert le talentueux Greg McLean, réalisateur venu tout droit d'Australie, qui nous offre avec ce film l'un des méchants des plus sadique et mémorable qui soit.
Tout d'abord, la photographie du film est juste magnifique, l'Australie nous offre de superbes paysages et G. McLean sait les mettres en valeur.
Concernant l'histoire, on y suit un trio d'amis partis découvrir le fameux cratère de Wolf Creek. Ce trio est très attachant, de par la sympathie des personnages mais surtout de leurs interprètes, très naturels et sans en faire trop, on s'attache facilement à eux.
Le film débute sur un rythme plutôt lent, le temps de faire connaissance avec nos futurs victimes et de leurs pérégrinations... Jusqu'au point de non retour.
Leur voyage s'achève sur une panne de voiture qui les empêchent de rentrer chez eux... Et c'est la qu'on fera connaissance de leurs sauveur, un sympathique monsieur prêt à les emmener chez lui pour passer la nuit tranquillement à la belle étoile.
Et c'est la que le cauchemar commence...
La tension est rendu au maximum tant le Bad Guy est d'un cynisme et d'une cruauté à toute épreuve.
John Jarratt est très charismatique et donne à son personnage une noirceur absolu.
Le fait que l'action se passe dans une vieille bâtisse perdu au milieu du désert avec un monstre pareil rend la peur palpable tout du long de cette chasse à l'homme.
Course poursuite, meurtres et tortures seront maître mots durant cette longue nuit bien violente.
Rarement on aura autant haïs un tel personnage.
Cruel et très réaliste, Wolf Creek à été un gros coup de cœur quand je l'ai découvert il y a longtemps, que j'adore toujours autant revoir.
Un must pour les amateurs de films horrifiques.
Tout d'abord, la photographie du film est juste magnifique, l'Australie nous offre de superbes paysages et G. McLean sait les mettres en valeur.
Concernant l'histoire, on y suit un trio d'amis partis découvrir le fameux cratère de Wolf Creek. Ce trio est très attachant, de par la sympathie des personnages mais surtout de leurs interprètes, très naturels et sans en faire trop, on s'attache facilement à eux.
Le film débute sur un rythme plutôt lent, le temps de faire connaissance avec nos futurs victimes et de leurs pérégrinations... Jusqu'au point de non retour.
Leur voyage s'achève sur une panne de voiture qui les empêchent de rentrer chez eux... Et c'est la qu'on fera connaissance de leurs sauveur, un sympathique monsieur prêt à les emmener chez lui pour passer la nuit tranquillement à la belle étoile.
Et c'est la que le cauchemar commence...
La tension est rendu au maximum tant le Bad Guy est d'un cynisme et d'une cruauté à toute épreuve.
John Jarratt est très charismatique et donne à son personnage une noirceur absolu.
Le fait que l'action se passe dans une vieille bâtisse perdu au milieu du désert avec un monstre pareil rend la peur palpable tout du long de cette chasse à l'homme.
Course poursuite, meurtres et tortures seront maître mots durant cette longue nuit bien violente.
Rarement on aura autant haïs un tel personnage.
Cruel et très réaliste, Wolf Creek à été un gros coup de cœur quand je l'ai découvert il y a longtemps, que j'adore toujours autant revoir.
Un must pour les amateurs de films horrifiques.
Un bon gros survival à l'australienne d'un réalisme rare dans le genre. Un vrai "méchant" comme on en très rarement, simple, vicieux, efficace. Contrairement aux productions actuelles qui font beaucoup de barouf pour rien, là c'est pas du pétard mouillé !
Ce premier Wolf Creek prend le temps d'introduire ces personnages et de leur donner une belle épaisseur avant de sombrer dans le Brutal.
En résulte un sentiment de malaise et d'horreur quand a ce que les jeunes touristes endurent.
On s'attache a eux rendant leur descente aux enfer plus immersive pour le spectateur.
John Jarrat endosse a merveille le rôle du célèbre tueur australien, arrêté au moment même ou le film sera réaliser. On sent que le réalisateur Greg McLean prend soin de son film et ne souhaite pas nous amener pour la énième fois vers le slasher conventionnel . Il accentue sur les décors de ce pays magnifique mais redoutable qu'est l'Australie et rend même hommage aux franchises du cinéma Australien tel que Mad Max et Crocodile Dundee au travers de plans séquences ou dialogues.
Wolf Creek rentre dans la lignée du Survival Australien , sans concession, Brutal et Culte comme l'indique la jaquette.
En résulte un sentiment de malaise et d'horreur quand a ce que les jeunes touristes endurent.
On s'attache a eux rendant leur descente aux enfer plus immersive pour le spectateur.
John Jarrat endosse a merveille le rôle du célèbre tueur australien, arrêté au moment même ou le film sera réaliser. On sent que le réalisateur Greg McLean prend soin de son film et ne souhaite pas nous amener pour la énième fois vers le slasher conventionnel . Il accentue sur les décors de ce pays magnifique mais redoutable qu'est l'Australie et rend même hommage aux franchises du cinéma Australien tel que Mad Max et Crocodile Dundee au travers de plans séquences ou dialogues.
Wolf Creek rentre dans la lignée du Survival Australien , sans concession, Brutal et Culte comme l'indique la jaquette.
Un film de survie archi classique : un désert, des jeunes, un méchant bien méchant... ça passe une soirée, mais c'est vite vu, vite oublié. Et dire que Tarantino est fan de ce film....
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