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"Wolf Creek" est un film que l'on visionne avec ses tripes, une oeuvre que l'on vit totalement. (...) Et si "Wolf Creek", comme ses grands frères des 70's, illustre notre monde actuel, tout ce que l'on peut dire, c'est que nous vivons vraiment une époque de merde...
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
La tension est palpable, l'identification totale. Pendant une heure, [Greg McLean] s'ingénie à donner de l'épaisseur à ses héros, ce qui est rare dans ce genre de cinéma. La qualité de la DV impressionne, malgré un budget modeste.
(...) Greg McLean a suffisamment compris les enjeux du film de terreur pour pouvoir faire mine de s'en détacher et les servir avec davantages d'efficacité encore.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
(...) "Wolf Creek" essaie courageusement d'imposer sa propre voix, empruntant à quelques faits divers australiens sa principale substance : deux ou trois atrocités bien senties mais à peine montrées.
La critique complète est disponible sur le site Première
Superbement photographié et interprété (...) "Wolf Creek" distille un parfum de terreur et de malaise qui pourrait bien en faire le "Délivrance" des années 2000.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Wolf creek est donc un formidable jeu de massacre, éprouvant jusqu'à la dernière minute, dont la sortie tardive (...) représente de toute évidence l'une des très bonnes surprises horrifiques de cet été pourtant riche en frissons.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
(...) on constate que Greg McLean, tout débutant qu'il est, sait tenir une caméra et qu'il n'a pas de leçon à recevoir de grand monde quand il s'agit de dépeindre l'horreur la plus radicale et gratuite.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Globalement, on ne trouvera quans même pas de quoi faire sortir de l'anonymat cette petite série B qui se satisfait de cultiver des recettes éprouvées.
(...) la frustration est prégnante. (...) en tant que spectateur, frustration de ne pas retrouver la saveur exacte du genre dans sa substantifique moelle (...)
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Il n'y a pas grand chose de neuf dans cette histoire cousue de fil blanc et ses invraisemblances, parfois tellement énormes qu'on se demande si elles ne sont pas volontaires.
(...) ce premier long s'avère un croisement entre Blair witch project et Crocodile Dundee, confirmant (...) la tendance actuelle des nouveaux slashers : une longue attente pour le quota de scènes-chocs.
La critique complète est disponible sur le site Score
Un peu lent à démarrer (...), le récit, après l'irruption du tueur sadique, sorte de Crocodile Dundee de cauchemar, pioche résolument dans le rayon boucherie-charcuterie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
(...) quand on se retrouve avec une heure de diaporama qui aurait pu être sponsorisé par l'office du tourisme australien puis -ENFIN- quelques rebondissements avec un tueur à la petite semaine, on n'est pas déçu, on a l'impression d'avoir été tout bonnement arnaqué.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Mad Movies
"Wolf Creek" est un film que l'on visionne avec ses tripes, une oeuvre que l'on vit totalement. (...) Et si "Wolf Creek", comme ses grands frères des 70's, illustre notre monde actuel, tout ce que l'on peut dire, c'est que nous vivons vraiment une époque de merde...
L'Ecran Fantastique
(...) ce petit joyau évitant soigneusement les sentiers battus nous rappelle les grandes heures du cinéma de genre australien (...)
Le Journal du Dimanche
La tension est palpable, l'identification totale. Pendant une heure, [Greg McLean] s'ingénie à donner de l'épaisseur à ses héros, ce qui est rare dans ce genre de cinéma. La qualité de la DV impressionne, malgré un budget modeste.
Le Monde
(...) Greg McLean a suffisamment compris les enjeux du film de terreur pour pouvoir faire mine de s'en détacher et les servir avec davantages d'efficacité encore.
Première
(...) "Wolf Creek" essaie courageusement d'imposer sa propre voix, empruntant à quelques faits divers australiens sa principale substance : deux ou trois atrocités bien senties mais à peine montrées.
Rolling Stone
Le dernier quart d'heure est un peu en dessous du reste, ce qui n'empêche ni les paysages d'être sublimes, ni l'histoire d'être génialement atroce.
Télé 7 Jours
Superbement photographié et interprété (...) "Wolf Creek" distille un parfum de terreur et de malaise qui pourrait bien en faire le "Délivrance" des années 2000.
aVoir-aLire.com
Wolf creek est donc un formidable jeu de massacre, éprouvant jusqu'à la dernière minute, dont la sortie tardive (...) représente de toute évidence l'une des très bonnes surprises horrifiques de cet été pourtant riche en frissons.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
Efficace, certes, mais pas original pour deux sous.
Libération
(...) on constate que Greg McLean, tout débutant qu'il est, sait tenir une caméra et qu'il n'a pas de leçon à recevoir de grand monde quand il s'agit de dépeindre l'horreur la plus radicale et gratuite.
Ouest France
Globalement, on ne trouvera quans même pas de quoi faire sortir de l'anonymat cette petite série B qui se satisfait de cultiver des recettes éprouvées.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Chronic'art.com
(...) la frustration est prégnante. (...) en tant que spectateur, frustration de ne pas retrouver la saveur exacte du genre dans sa substantifique moelle (...)
MCinéma.com
Il n'y a pas grand chose de neuf dans cette histoire cousue de fil blanc et ses invraisemblances, parfois tellement énormes qu'on se demande si elles ne sont pas volontaires.
Score
(...) ce premier long s'avère un croisement entre Blair witch project et Crocodile Dundee, confirmant (...) la tendance actuelle des nouveaux slashers : une longue attente pour le quota de scènes-chocs.
Télérama
Un peu lent à démarrer (...), le récit, après l'irruption du tueur sadique, sorte de Crocodile Dundee de cauchemar, pioche résolument dans le rayon boucherie-charcuterie.
Brazil
(...) quand on se retrouve avec une heure de diaporama qui aurait pu être sponsorisé par l'office du tourisme australien puis -ENFIN- quelques rebondissements avec un tueur à la petite semaine, on n'est pas déçu, on a l'impression d'avoir été tout bonnement arnaqué.
Le Parisien
Mauvais film de genre, le trop prévisible "Wolf Creek" ne laisse en fait qu'une alternative à ses spectateurs : le dégoût ou l'ennui.
Les Inrockuptibles
Ici la splendeur, là l'envers effroyable du décor ; entre les deux, aucune articulation, rien que de la complaisance.