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Tout cela est vivant, picaresque en diable (...) Du sens passe, mais jamais au détriment d'une mise en scène rigoureuse, qui fait de cette Vie sur l'eau un des films iraniens importants de l'année.
Il y a une vraie poésie dans la conception de ces installations de fortune. La symbolique (...) est plus douteuse. Mieux vaut oublier le message et garder en mémoire cette étrange arche de Noé (...) où la vie est à la fois ludique et féroce.
C'est cette poésie et ces associations d'idées qui poussent le spectateur à entrer dans un film intelligent, drôle, émouvant, et qui, loin de ne concerner que le peuple iranien, dresse un portrait au vitriol des sociétés étouffant les marginaux et les rebelles.
Arrimé à des points d'ancrage assez forts visuellement (...), le film reste cependant inabouti, occupant un terrain trop statique pour prendre véritablement de l'ampleur, et semblant peu sûr, comme ses personnages, de pouvoir avancer en lâchant la rampe.
Lorsque le déploiement de symboles se calme, le mouvement d'ensemble révèle la part comique et tendre de quelques très jolies scènes du quotidien. La qualité visuelle de l'oeuvre nous éblouit enfin.
Le réalisateur s'en sort plutôt bien durant une heure (...). Sur la fin, tout de même, le surréalisme sympa et le message libertaire virent à la parabole. Appuyée, hélas !
En deux plans, on comprend tout de suite que La Vie sur l'eau n'est pas un film mais un pass VIP concocté avec un savoir-faire horriblement cynique. (...) Grosse métaphore, donc, où synopsis et scénario se confondent.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Quelques figures poétiques - l'enfant-poisson, le vieillard cherchant à voir le soleil, la fiancée contrainte - traversent cette fable laborieuse, sans combler les lacunes d'un scénario et l'artificialité d'un tournage vitrifiés par la symbolisation du réel.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Pendant toute la durée de cette histoire aux enjeux mollement exprimés, fondée sur une thématique (...) et un symbolisme simplets (...) on se demande où le réalisateur veut en venir.
La critique complète est disponible sur le site Score
L'Humanité
Tout cela est vivant, picaresque en diable (...) Du sens passe, mais jamais au détriment d'une mise en scène rigoureuse, qui fait de cette Vie sur l'eau un des films iraniens importants de l'année.
TéléCinéObs
Conte kafkaïen filmé comme une comédie réaliste, "La vie sur l'eau" est un petit bijou.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
Il y a une vraie poésie dans la conception de ces installations de fortune. La symbolique (...) est plus douteuse. Mieux vaut oublier le message et garder en mémoire cette étrange arche de Noé (...) où la vie est à la fois ludique et féroce.
MCinéma.com
C'est cette poésie et ces associations d'idées qui poussent le spectateur à entrer dans un film intelligent, drôle, émouvant, et qui, loin de ne concerner que le peuple iranien, dresse un portrait au vitriol des sociétés étouffant les marginaux et les rebelles.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Arrimé à des points d'ancrage assez forts visuellement (...), le film reste cependant inabouti, occupant un terrain trop statique pour prendre véritablement de l'ampleur, et semblant peu sûr, comme ses personnages, de pouvoir avancer en lâchant la rampe.
Paris Match
Lorsque le déploiement de symboles se calme, le mouvement d'ensemble révèle la part comique et tendre de quelques très jolies scènes du quotidien. La qualité visuelle de l'oeuvre nous éblouit enfin.
Télérama
Le réalisateur s'en sort plutôt bien durant une heure (...). Sur la fin, tout de même, le surréalisme sympa et le message libertaire virent à la parabole. Appuyée, hélas !
Chronic'art.com
En deux plans, on comprend tout de suite que La Vie sur l'eau n'est pas un film mais un pass VIP concocté avec un savoir-faire horriblement cynique. (...) Grosse métaphore, donc, où synopsis et scénario se confondent.
Le Monde
Quelques figures poétiques - l'enfant-poisson, le vieillard cherchant à voir le soleil, la fiancée contrainte - traversent cette fable laborieuse, sans combler les lacunes d'un scénario et l'artificialité d'un tournage vitrifiés par la symbolisation du réel.
Première
Plutôt caricature du film pour festival, avec son sujet en plomb et sa réalisation sans saveur.
Score
Pendant toute la durée de cette histoire aux enjeux mollement exprimés, fondée sur une thématique (...) et un symbolisme simplets (...) on se demande où le réalisateur veut en venir.
Zurban
[La] démonstration n'est pas convaincante.