Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Elle
par Florence Ben Sadoun
Sous les dehors d'une saga familiale, à la limite du soap sud-américain, "Gémeaux" d'Albertina Carri, est un film dérangeant par surprise.
La critique complète est disponible sur le site Elle
MCinéma.com
par Philippe Scrine
De "Gemeaux", on louera par ailleurs la qualité de l'image (...) et celle de l'interprétation de Cristina Banegas et Maria Abadi. Néanmoins, on regrettera pourtant que le film ressemble à une version urbaine de "La Cienaga" par de multiples aspects : une mère dominatrice et envahissante, un père effacé, la décomposition d'une famille bourgeoisie, le sang...
Positif
par Dominique Martinez
(...) Albertina Carri nous livre un élégant portrait de famille, subtilement ancré dans un muilieu social feutré ét hypocrite.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Bijan Anqueti
Le refus de toute psychologie flitre parfois avec une légère complaisance, mais la séquence apocalyptique de la "révélation" demeure une des plus secouantes de l'année.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
par Rania Hoballah
(...) la réalisatrice argentine aborde le sujet de l'inceste avec beaucoup de délicatesse. Sans jamais tomber dans le voyeurisme, elle parvient à nous faire pénétrer dans les coulisses d'une relation interdite.
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Drôle de tiédeur en effet, dans ce Gémeaux : un mélange de fine roublardise et de magnificence visuelle, une envie de se retrancher dans l'observation malicieuse qui cède le pas sur une empathie quasi-inconsciente, comme ça, l'air de rien, par petites trouées opportunistes.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Thomas Sotinel
(...) le regard inquisiteur d'Albertina Carri ne suffit pas à former un film, qui doit toujours faire un effort pour revenir à son argument premier, l'histoire d'amour entre Jeremias et Meme, cette transgression qui finit par défaire toutes les tentatives de mise en scène - une défaite honorable, mais une défaite quand même.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Sur un inceste fraternel, un drame argentin qui tarde à prendre toute son ampleur.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Isabelle Danel
Satire, en forme de tragédie antique, d'une bourgeoisie d'aujourd'hui déconnectée des réalités, Gémeaux assume une certaine lourdeur dans la demonstration.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Cécile Mury
Réflexion sur la famille, étude d'un milieu social, de ses hypocrisies et de ses contraintes, Gémeaux perd un peu de sa subtilité lorsque survient l'onde de choc de la révélation. Là où la banalité feutrée du quotidien permettait toutes les ambiguïtés, le drame simplifie le propos à l'excès.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Olivier Pélisson
Sujet casse-gueule, que la cinéaste trâite de front, sans jugement moral.
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Jean Roy
Autant dire qu'au bout d'un quart d'heure on en a marre de ces bourges aussi argentins qu'argentés repus dans leur confort et ne présentant pas le moindre intérêt. (...) Au final, une seule conclusion s'impose : quand on couche avec sa soeur, mieux vaut ne pas être surpris par sa mère.
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
(...) la réalisatrice a beau s'échiner à montrer, dans une scène interminable, le désespoir de la mère quand elle apprend la forfaiture de sa progéniture, le drame laisse froid. Le cinéma argentin contemporain nous a habitués à d'autres réussites.
Ouest France
par La rédaction
À force de nous envoyer de jolies pépites, il fallait bien que le cinéma argentin exporte aussi un ratage. C'est le cas avec cette chronique sophistiquée qui voudrait railler les moeurs bourgeoises sur le ton de la caricature.
Score
par Alex Masson
Un peu de subtilité et un peu moins de tragédie grecque auraient aidé à mieux faire passer la pilule.
La critique complète est disponible sur le site Score
Elle
Sous les dehors d'une saga familiale, à la limite du soap sud-américain, "Gémeaux" d'Albertina Carri, est un film dérangeant par surprise.
MCinéma.com
De "Gemeaux", on louera par ailleurs la qualité de l'image (...) et celle de l'interprétation de Cristina Banegas et Maria Abadi. Néanmoins, on regrettera pourtant que le film ressemble à une version urbaine de "La Cienaga" par de multiples aspects : une mère dominatrice et envahissante, un père effacé, la décomposition d'une famille bourgeoisie, le sang...
Positif
(...) Albertina Carri nous livre un élégant portrait de famille, subtilement ancré dans un muilieu social feutré ét hypocrite.
TéléCinéObs
Le refus de toute psychologie flitre parfois avec une légère complaisance, mais la séquence apocalyptique de la "révélation" demeure une des plus secouantes de l'année.
aVoir-aLire.com
(...) la réalisatrice argentine aborde le sujet de l'inceste avec beaucoup de délicatesse. Sans jamais tomber dans le voyeurisme, elle parvient à nous faire pénétrer dans les coulisses d'une relation interdite.
Chronic'art.com
Drôle de tiédeur en effet, dans ce Gémeaux : un mélange de fine roublardise et de magnificence visuelle, une envie de se retrancher dans l'observation malicieuse qui cède le pas sur une empathie quasi-inconsciente, comme ça, l'air de rien, par petites trouées opportunistes.
Le Monde
(...) le regard inquisiteur d'Albertina Carri ne suffit pas à former un film, qui doit toujours faire un effort pour revenir à son argument premier, l'histoire d'amour entre Jeremias et Meme, cette transgression qui finit par défaire toutes les tentatives de mise en scène - une défaite honorable, mais une défaite quand même.
Les Inrockuptibles
Sur un inceste fraternel, un drame argentin qui tarde à prendre toute son ampleur.
Première
Satire, en forme de tragédie antique, d'une bourgeoisie d'aujourd'hui déconnectée des réalités, Gémeaux assume une certaine lourdeur dans la demonstration.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Réflexion sur la famille, étude d'un milieu social, de ses hypocrisies et de ses contraintes, Gémeaux perd un peu de sa subtilité lorsque survient l'onde de choc de la révélation. Là où la banalité feutrée du quotidien permettait toutes les ambiguïtés, le drame simplifie le propos à l'excès.
Zurban
Sujet casse-gueule, que la cinéaste trâite de front, sans jugement moral.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Autant dire qu'au bout d'un quart d'heure on en a marre de ces bourges aussi argentins qu'argentés repus dans leur confort et ne présentant pas le moindre intérêt. (...) Au final, une seule conclusion s'impose : quand on couche avec sa soeur, mieux vaut ne pas être surpris par sa mère.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
(...) la réalisatrice a beau s'échiner à montrer, dans une scène interminable, le désespoir de la mère quand elle apprend la forfaiture de sa progéniture, le drame laisse froid. Le cinéma argentin contemporain nous a habitués à d'autres réussites.
Ouest France
À force de nous envoyer de jolies pépites, il fallait bien que le cinéma argentin exporte aussi un ratage. C'est le cas avec cette chronique sophistiquée qui voudrait railler les moeurs bourgeoises sur le ton de la caricature.
Score
Un peu de subtilité et un peu moins de tragédie grecque auraient aidé à mieux faire passer la pilule.