Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Brazil
par Caroline Vié
Ce premier film d'Anthony Cordier fait montre d'une grande sensibilité pour dessiner le portrait d'un jeune judoka, partagé entre son entraînement sportif et ses problèmes personnels. Salomé Stévenin y révèle une belle nature de comédienne aux côtés de Johan Libéreau.
Cahiers du Cinéma
par François Bégaudeau
Selon des modes bien sûr différents, Pialat, Stévenin, Brisseau, Beauvois, Mazuy balancent leurs films la tête la première contre la matière, au risque de casser la machine. Ajouter Antony Cordier à la liste dès son premier film ? Sans doute prématuré, et pas un service à lui rendre. Une chose est sûre : déboule là un cinéma éminemment physique, concret comme un corps et fort comme un boeuf.
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Beaucoup de trajectoires mêlées, mais au final, une cohérence, une maîtrise qui par delà sa discrétion, témoigne d'un hédonisme assez rare dans le cinéma français en général et dans la chronique adolescente en particulier. Qu'importe si le final, tout en délitement, gâche un peu le plaisir. Douches froides laisse voir en Antony Cordier un solide talent.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Obs
par Philippe Piazzo
Ce n'est (pas) la justesse de la chronique qui séduit ici mais sa portée symbolique qui dépasse, de loin, le seul domaine des adolescents. (...) pour reprendre le titre d'un film de Ken Loach, "Raining Stones", c'est bien, au fond, comment rester droit quand les pierres vous tombent sur la tête.
Le Monde
par Isabelle Régnier
Si ce film fait l'effet d'une claque stimulante, c'est à la fois parce que son jeune auteur, Antony Cordier, capte cette force brute avec une foi intacte et qu'il adopte pour ce faire une approche actuelle, personnelle, autant que radicalement matérialiste(...)Avec une grande précision et une sensualité inouïe, il embrasse les corps qui se transforment, que ceux-ci soient ceux, individuels, de ses personnages, ou ceux, collectifs, temporairement formés par toutes sortes d'assemblages physiques.
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Philippe Azoury
Premier film au casting sans fautes, Douches Froides refait les jeux de l'amour à trois et dévoile les mécanismes sociaux de l'érotisme. Anthony Cordier a ce don rare de tout érotiser : la lutte des classes, le judo, la crise, un gel douche.
Libération
par Didier Peron
Premier long métrage d'Antony Cordier, "Douches froides" érotise la lutte des classes autour d'un fils d'ouvrier, sa copine, et un garçon des beaux quartiers. Antony Cordier règle une seconde fois l'héritage autobiographique, et il le fait de manière très peu névrosée. (...)
MCinéma.com
par Guillaume Tion
Privilégiant le contre-pied, Douches froides ne raconte pas l'histoire d'un jeune mal dans sa peau tâtonnant vers l'âge adulte, mais celle d'un ado en pleine forme, psychologiquement stable, dont le destin basculera en quelques semaines. La réalisation est pudique et les comédiens épatants, avec une mention spéciale pour les trois ados. Pour son premier film, Anthony Cordier est loin des échecs qu'il s'attache à montrer. On attend la suite.
Paris Match
par Christine Haas
Sur un sujet plutôt sombre, explorant l'humiliation d'un "défavorisé" dans la joute amoureuse, le documentariste Antony Cordier évite tous les clichés. Les trois jeunes comédiens portent en eux une belle force vitale.
Score
par V. McKey
"Douches froides" slalome entre les gouttes de l'anecdotique pour montrer le quotidien très juste d'un môme pas encore dépucelé par le monde adulte qui l'attend. Un premier film sans clichés qui capture les derniers éclats d'une adolescence.
La critique complète est disponible sur le site Score
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Louis Guichard
Tout le suspense existentiel du film est au fond annoncé par un exposé, en cours d'anglais, de la sensuelle Vanessa : une explication de texte de Meet the monster, chanson de la rockeuse PJ Harvey (...) Ce film dru et bouillonnant, en forme de douche écossaise plutôt que froide, nous apprend qu'on peut rencontrer tous ces monstres avant même d'avoir son bac.
Zurban
par Claire Vassé
D'une fluidité plus que prometteuse, la mise en scène nous entraîne dans un mouvement dont la grace est largement relayée par tous les comédiens. A commencer par les jeunes Johan Libéreau, Salomé Stévenin, sans oublier Florence Thomassin, qu'on avait rarement vue aussi attachante.
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Ouest France
par La rédaction
Les rôles d'adultes sont défendus avec spontanéité et entrain par Florence Thomassin, Jean-Philippe Ecoffey, Claire Nebout qui y trouvent matière à des prestations colorées. Mais le trio des adolescents a plus de mal avec les descriptions stéréotypées d'un récit d'initiation. Antoine finira par comprendre que les gens ne sont "ni bons ni méchants" mais que tout simplement "ils changent, ils se transforment". Il n'avait peut-être pas besoin d'un film pour apprendre ça.
Première
par Isabelle Danel
Beaucoup de sujets évoqués, pas mal de justesse. Le tout, un peu flottant et distendu. Comme un adolescent qui devient grand...
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Positif
par Eithne O'Neill
Un va-et-vient lourd structure le film. (...) C'est la douche froide pour le spectateur. (...) A cette tranche de vie, il manque un point de vue ; en un mot, la vitalité.
La critique complète est disponible sur le site Positif
aVoir-aLire.com
par Rania Hoballah
Contrairement à ce que laissait présager un bref résumé du script et une affiche racoleuse, Douches froides n'a rien d'un film très excitant. Si l'univers de l'adolescence a donné lieu à une variété de films plus ou moins réussis, Anthony Cordier ne parvient malheureusement pas à rendre le sien intéressant.
Brazil
Ce premier film d'Anthony Cordier fait montre d'une grande sensibilité pour dessiner le portrait d'un jeune judoka, partagé entre son entraînement sportif et ses problèmes personnels. Salomé Stévenin y révèle une belle nature de comédienne aux côtés de Johan Libéreau.
Cahiers du Cinéma
Selon des modes bien sûr différents, Pialat, Stévenin, Brisseau, Beauvois, Mazuy balancent leurs films la tête la première contre la matière, au risque de casser la machine. Ajouter Antony Cordier à la liste dès son premier film ? Sans doute prématuré, et pas un service à lui rendre. Une chose est sûre : déboule là un cinéma éminemment physique, concret comme un corps et fort comme un boeuf.
Chronic'art.com
Beaucoup de trajectoires mêlées, mais au final, une cohérence, une maîtrise qui par delà sa discrétion, témoigne d'un hédonisme assez rare dans le cinéma français en général et dans la chronique adolescente en particulier. Qu'importe si le final, tout en délitement, gâche un peu le plaisir. Douches froides laisse voir en Antony Cordier un solide talent.
Elle
L'impressionnant "Douches froides", d'Antony Cordier, superbement interprêté.
L'Obs
Ce n'est (pas) la justesse de la chronique qui séduit ici mais sa portée symbolique qui dépasse, de loin, le seul domaine des adolescents. (...) pour reprendre le titre d'un film de Ken Loach, "Raining Stones", c'est bien, au fond, comment rester droit quand les pierres vous tombent sur la tête.
Le Monde
Si ce film fait l'effet d'une claque stimulante, c'est à la fois parce que son jeune auteur, Antony Cordier, capte cette force brute avec une foi intacte et qu'il adopte pour ce faire une approche actuelle, personnelle, autant que radicalement matérialiste(...)Avec une grande précision et une sensualité inouïe, il embrasse les corps qui se transforment, que ceux-ci soient ceux, individuels, de ses personnages, ou ceux, collectifs, temporairement formés par toutes sortes d'assemblages physiques.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Premier film au casting sans fautes, Douches Froides refait les jeux de l'amour à trois et dévoile les mécanismes sociaux de l'érotisme. Anthony Cordier a ce don rare de tout érotiser : la lutte des classes, le judo, la crise, un gel douche.
Libération
Premier long métrage d'Antony Cordier, "Douches froides" érotise la lutte des classes autour d'un fils d'ouvrier, sa copine, et un garçon des beaux quartiers. Antony Cordier règle une seconde fois l'héritage autobiographique, et il le fait de manière très peu névrosée. (...)
MCinéma.com
Privilégiant le contre-pied, Douches froides ne raconte pas l'histoire d'un jeune mal dans sa peau tâtonnant vers l'âge adulte, mais celle d'un ado en pleine forme, psychologiquement stable, dont le destin basculera en quelques semaines. La réalisation est pudique et les comédiens épatants, avec une mention spéciale pour les trois ados. Pour son premier film, Anthony Cordier est loin des échecs qu'il s'attache à montrer. On attend la suite.
Paris Match
Sur un sujet plutôt sombre, explorant l'humiliation d'un "défavorisé" dans la joute amoureuse, le documentariste Antony Cordier évite tous les clichés. Les trois jeunes comédiens portent en eux une belle force vitale.
Score
"Douches froides" slalome entre les gouttes de l'anecdotique pour montrer le quotidien très juste d'un môme pas encore dépucelé par le monde adulte qui l'attend. Un premier film sans clichés qui capture les derniers éclats d'une adolescence.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Tout le suspense existentiel du film est au fond annoncé par un exposé, en cours d'anglais, de la sensuelle Vanessa : une explication de texte de Meet the monster, chanson de la rockeuse PJ Harvey (...) Ce film dru et bouillonnant, en forme de douche écossaise plutôt que froide, nous apprend qu'on peut rencontrer tous ces monstres avant même d'avoir son bac.
Zurban
D'une fluidité plus que prometteuse, la mise en scène nous entraîne dans un mouvement dont la grace est largement relayée par tous les comédiens. A commencer par les jeunes Johan Libéreau, Salomé Stévenin, sans oublier Florence Thomassin, qu'on avait rarement vue aussi attachante.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Ouest France
Les rôles d'adultes sont défendus avec spontanéité et entrain par Florence Thomassin, Jean-Philippe Ecoffey, Claire Nebout qui y trouvent matière à des prestations colorées. Mais le trio des adolescents a plus de mal avec les descriptions stéréotypées d'un récit d'initiation. Antoine finira par comprendre que les gens ne sont "ni bons ni méchants" mais que tout simplement "ils changent, ils se transforment". Il n'avait peut-être pas besoin d'un film pour apprendre ça.
Première
Beaucoup de sujets évoqués, pas mal de justesse. Le tout, un peu flottant et distendu. Comme un adolescent qui devient grand...
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Positif
Un va-et-vient lourd structure le film. (...) C'est la douche froide pour le spectateur. (...) A cette tranche de vie, il manque un point de vue ; en un mot, la vitalité.
aVoir-aLire.com
Contrairement à ce que laissait présager un bref résumé du script et une affiche racoleuse, Douches froides n'a rien d'un film très excitant. Si l'univers de l'adolescence a donné lieu à une variété de films plus ou moins réussis, Anthony Cordier ne parvient malheureusement pas à rendre le sien intéressant.