Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Libération
par Olivier Séguret
Plastiquement, "Alice" est une stupéfaction : une sorte de météore tout en brumes, scratchs et convulsions, arrachée à un monde urbain humide et froid, dont les couleurs semblent progressivement se faner jusqu'à atteindre une palette maladive de gris mercuréens.
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Un film triste et beau, interprété formidablement par Nuno Lopes.
Le Monde
par Isabelle Regnier
Malicieusement habité par les fantômes de Lewis Carroll, son film associe la dislocation des rapports humains à l'avènement d'Internet, du virtuel généralisé et de la société de surveillance
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Un premier film envoûtant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Antoine de Baecque
Cette confrontation entre la ville machine et la face humaine atteint dans Alice la dimension poignante de la tragédie d'un homme seul.
MCinéma.com
par Rémy Batteault
ALICE, premier film, refuse la tiédeur. Le parti pris de conter une histoire tragique est assumé du début à la fin, servi en cela par des images aux teintes froides et aux cadrages très travaillés. Un film un peu maniéré, certes, mais qui sert parfaitement bien son sujet.
Première
par Gael Golhen
Au coeur de cette brume existentielle (...) Nuno Lopes offre une performance sublime, à l'image d'un premier film très envoûtant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Très réussi plastiquement (...) ce premier film met en scène de façon implacable ce comportement obsessionnel, barrage au désespoir et au chagrin.
aVoir-aLire.com
par Emmanuelle Cocud
Marco Martins signe ici un film touchant et sobre pour nous dire la douleur, celle d'un père à la recherche de sa fille.
Cahiers du Cinéma
par Emanuelle Burdeau
Le film n'observe pas les recherches de Mario, il colle à elles, purement et simplement. Toutefois, le scénario semble quant à lui s'entêter à dire le contraire: ouvrons l'oeil, retrouvons Alice, finissons le film.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Personnage entièrement centré sur son horizon, au point qu'il se définit par ce qu'il vise plutôt que par ce qu'il est ou ressent, corps tendu vers l'au-delà inaccessible d'un retour à l'équilibre. (...) Sur ce versant, Alice convainc à peine, malgré sa tension et sa rigueur narrative, tant la modernité qui y est en jeu parait légèrement compassée. Sur un autre, pourtant encore plus lourd théoriquement, Marco Martins s'en sort bien. (...) Alice alors fonctionne, comme vue sur la ville, les foules, ultramoderne terreur de s'y égarer, de lâcher la main qui vous retient (...). Dommage que le réalisateur tienne à tout prix à un suspens malvenu (...), étiré inutilement (...), ne sachant comment conclure, paradoxe à part, un film coupant.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Positif
par Alain Masson
(...) l'ouvrage n'a pas su trouver d'unité de ton; il manque aussi de concision.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Cécile Mury
Ce savant dispositif peut paraître un peu voyant, et le film, un peu statique. Mais il ouvre un vide vertigineux, au carrefour des angoisses contemporaines.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Olivier Pélisson
Malgré l'intensité de l'acteur Nuno Lopes, vraie révélation, on s'ennuie ferme.
Libération
Plastiquement, "Alice" est une stupéfaction : une sorte de météore tout en brumes, scratchs et convulsions, arrachée à un monde urbain humide et froid, dont les couleurs semblent progressivement se faner jusqu'à atteindre une palette maladive de gris mercuréens.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Un film triste et beau, interprété formidablement par Nuno Lopes.
Le Monde
Malicieusement habité par les fantômes de Lewis Carroll, son film associe la dislocation des rapports humains à l'avènement d'Internet, du virtuel généralisé et de la société de surveillance
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Un premier film envoûtant.
Libération
Cette confrontation entre la ville machine et la face humaine atteint dans Alice la dimension poignante de la tragédie d'un homme seul.
MCinéma.com
ALICE, premier film, refuse la tiédeur. Le parti pris de conter une histoire tragique est assumé du début à la fin, servi en cela par des images aux teintes froides et aux cadrages très travaillés. Un film un peu maniéré, certes, mais qui sert parfaitement bien son sujet.
Première
Au coeur de cette brume existentielle (...) Nuno Lopes offre une performance sublime, à l'image d'un premier film très envoûtant.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Très réussi plastiquement (...) ce premier film met en scène de façon implacable ce comportement obsessionnel, barrage au désespoir et au chagrin.
aVoir-aLire.com
Marco Martins signe ici un film touchant et sobre pour nous dire la douleur, celle d'un père à la recherche de sa fille.
Cahiers du Cinéma
Le film n'observe pas les recherches de Mario, il colle à elles, purement et simplement. Toutefois, le scénario semble quant à lui s'entêter à dire le contraire: ouvrons l'oeil, retrouvons Alice, finissons le film.
Chronic'art.com
Personnage entièrement centré sur son horizon, au point qu'il se définit par ce qu'il vise plutôt que par ce qu'il est ou ressent, corps tendu vers l'au-delà inaccessible d'un retour à l'équilibre. (...) Sur ce versant, Alice convainc à peine, malgré sa tension et sa rigueur narrative, tant la modernité qui y est en jeu parait légèrement compassée. Sur un autre, pourtant encore plus lourd théoriquement, Marco Martins s'en sort bien. (...) Alice alors fonctionne, comme vue sur la ville, les foules, ultramoderne terreur de s'y égarer, de lâcher la main qui vous retient (...). Dommage que le réalisateur tienne à tout prix à un suspens malvenu (...), étiré inutilement (...), ne sachant comment conclure, paradoxe à part, un film coupant.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Positif
(...) l'ouvrage n'a pas su trouver d'unité de ton; il manque aussi de concision.
Télérama
Ce savant dispositif peut paraître un peu voyant, et le film, un peu statique. Mais il ouvre un vide vertigineux, au carrefour des angoisses contemporaines.
Zurban
Malgré l'intensité de l'acteur Nuno Lopes, vraie révélation, on s'ennuie ferme.