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Un visiteur
0,5
Publiée le 5 décembre 2012
ce pauvre Dussollier qui a la fin s'évertue à nous raconter les tenants et aboutissants de cette histoire abracadabrante nous laisse perplexe ! c'est certain, aucun flic n'a l'intelligence de celui qu'incarne ce pauvre dussolier. tout celà a le niveau d'un petit polar façon téléfilm français. cluzet joue mal. personne n'est credible dans cette histoire. très mauvais.
Grâce à l'intoxication médiatique ce film français est le plus surestimé que j'ai jamais vu. Tiré d'un roman pourtant accrocheur, Canet démontre parfaitement pourquoi le cinéma hexagonal n'intéresse personne hors de nos frontières : narration inexistante, le peu d'effets de mise en scène tombe dans une mièvrerie pédante (flash-back), le reste rappelle les cadrages fonctionnels des séries policières franchouillardes, aucune direction d'acteurs...et la liste est encore longue. A vouloir cumuler plusieurs métiers très pointus comme scénariste, réalisateur, acteur, Canet a la prétention de réconcilier la politique des auteurs avec les mauvais polar télé pour fortuitement montrer l'inertie scénaristique du cinéma français qui n'est pas prêt d'en sortir au vu de son implacable succès. Ce film-symptôme permet de roder toujours plus le système malsain du financement du cinéma par la télé.
Quel film non de non!j'en sors absolument furieux.En dehors de la présence d'acteurs que nous aimons tous et qui font ce qu'ils peuvent pour donner un peu de crédibilité à leurs rôles,il n'y a rien à garder.Tout est artificiel,faux,vulgaire de paroles et plus encore de pensées.Le commandeur de la légion d'honneur est caricatural,l'officier de gendarmerie impensable,les policiers et le procureur stupides (sauf F.Berléand),l'avocate inhumaine,les gentils loubards aux grands coeurs imaginaires,l'histoire sans la moindre possibilité d'existence réelle et tout cela filmé le plus sérieusement du monde.Quant à la mise en scène,les plans sont au niveau de la considération que le metteur en scène nous porte.A cet égard la camera dans le four crématoire montre qu'il n'y a aucune limite et qu'il faut que le public,forcement voyeur,en ait pour son argent.C'est vraiment un film détestable à tous points de vue.Guillaume Canet n'a pas le droit d'utiliser le cinéma de cette manière car aucun jeune spectateur ne mérite de se faire abuser de la sorte...Les explications finales et l'ultime scène qui paraissent nécessaires pour combler les interrogations et les envies du spectateur sont la très lourde preuve des dégâts qu'un tel film peut peut faire sur les adolescents en leur déformant le goût du beau et de l'intelligent.Il y a des films nuls,celui-ci est pire et il pourrait servir d'exemple de tout ce qu'il ne faut pas faire.
« Ne le dis à personne » de Guillaume Canet (2006) … mais le scénario de son film est invraisemblable ! Comment comprendre que 8 ans après le décès de son épouse, Alexandre (François Cluzet) reçoive une mystérieuse vidéo où il croît apercevoir son épouse puis 2 mails énigmatiques … et notre pédiatre de partir dans une aventure rocambolesque avec des méchants vraiment méchants et un gentil Africain baraqué qui le protège car il a dit à la police que son fils n’était pas battu mais hémophile. Comment comprendre que le beau-père d’Alex, Jacques Laurentin (André Dussollier), soit resté à son poste de gendarme au même endroit durant toute sa carrière et qu’il ait pu ainsi se compromettre avec le Président du Conseil Régional (Jean Rochefort) ? Sans parler des lourdeurs de ce film qui dure plus de 2 heures : le cœur gravé sur le tronc d’un arbre qui s’incrémente ; le labyrinthe de rhododendrons ; le bisou des 2 enfants sur le ponton du lac. Bref … on est bien loin d’un Hitchcock.
N'ayant pas lu le roman d'Harlan Coben, je ne peux pas réellement comparer le film de Guillaume Canet au livre. Pourtant, ce qui frappe avant tout dans Ne le Dis à Personne, c'est l'intrigue : à partir d'un scénario brillant ( digne des meilleurs Brian De Palma ), le jeune acteur / cinéaste réussit à nous plonger dans les tourments intérieurs du Docteur Beck ( incroyable François Cluzet ). Le film fonctionne surtout parce qu'il est passionnant et complexe... Mais peut-être trop au final. A force de brouiller les pistes, Guillaume Canet réalise un film palpitant mais abscons, un polar qui ne marche pleinement que si le spectateur a lu le livre. Sur le plan purement cinématographique, il y a de l'idée : une course-poursuite efficace et maîtrisée, un montage astucieux, une musique adéquate. Guillaume Canet a su s'entourer d'une bonne équipe de comédiens : Cluzet bien entendu, mais aussi Marie-Josée Croze ( idéale en Margot ) ou encore Dussollier et Nathalie Baye. Il en résulte donc un film ambitieux, écrit avec virtuosité et réalisé avec soin. Un très bon polar.
Pour son deuxième long-métrage derrière la caméra, Guillaume Canet a choisi d'adapter le roman "Ne le dis à personne" de l'Américain Harlan Coben. Un thriller U.S. à la française, ça reste une curiosité de taille, même si notre beau pays s'y ai mis il y a peu avec des œuvres pas toujours réussies mais pleines de bons sentiments. Ici, l'intrigue fleure bon le thriller paranoïaque avec cette histoire d'homme lambda qui se retrouve au cœur d'un mystère s'épaississant de plus en plus lorsque sa femme, sensément morte il y a huit ans, le recontacte via des emails douteux... Mais l'histoire ne s'arrête pas là et continue beaucoup plus loin, entraînant le personnage principal (François Cluzet, bouleversant) dans une tourmente sans fin où secrets et machinations vont s'entrechoquer autour de sa petite personne. Des flics suspicieux (François Berléand et Philippe Lefebvre), un beau-père ténébreux (André Dussolier, imposant comme jamais), des amis perdus et surtout un étrange trio de tueurs lancés à ses trousses pour on ne sait quelle raison. Et c'est dans la grande tradition hitchcockienne que le film va se jeter à bras ouverts : un héros quelconque qui se retrouve seul contre le monde et qui tente par ses propres moyens de découvrir la vérité. Une histoire sombre voire malsaine pour un film constamment présenté en plein jour dans un Paris bondé, vivant, normal. Car il faut l'admettre : pour un deuxième film, Guillaume Canet frappe fort. Une mise en scène bluffante de maîtrise (cadrages parfaits, sens du rythme aiguisé, petits effets de style réussis), une direction d'acteurs au top et surtout un contrôle total sur un scénario machiavélique à souhait où les rebondissements s'enchaînent à vue d'œil. Ces rebondissements peuvent hélas perdre le spectateur, notamment le moins attentif et il est vrai qu'un peu plus de sobriété aura permis au film d'être un brin plus limpide mais le résultat n'en demeure pas moins époustouflant. Porté par un casting de choc, une photographie éclatante et un professionnalisme déroutant, Ne le dis à personne peut se tarir d'être un excellent thriller français bourré d'action et de suspense qui n'a absolument rien à envier aux grosses productions américaines.
Ne le dis à personne est une belle surprise et un très bon thriller français. Guillaume Canet qui passe de l'autre coté de la caméra est étonnant car très bon malgré sa faible expérience. Devant l'objectif, François Cluzet nous surprend dans un film d'action ou il se donne sans compter mais tout en jouant juste notamment les scènes d'émotions ou il pense à sa femme. Le scénario adapté d'un best seller est prenant et très bien écrit avec de nombreux rebondissements tout au long de l'histoire. Le casting est très bon, remplit de tête d'affiches amis du réalisateur et la musique est agréable à écouter. Il s'agit là d'un des meilleurs films français de ces dernières années à n'en pas douter !
"Ne le dis à personne" est un excellent thriller français d'où l'on pourrait facilement ressentir une touche Hollywoodienne. En effet, le scénario est extrêmement bien ficelé avec du suspens, des rebondissements inattendus, une réalisation exemplaire signée Guillaume Canet et des acteurs exceptionnels; je pense entre autre à Gilles Lellouche, André Dussollier et surtout le très grand François Cluzet qui nous fais vivre à travers son personnage, un peu à la manière de Dupontel, avec beaucoup d’entrain et de déterminisme. Son charisme apporte une puissance notable à l’œuvre. Un film de qualité mais surtout une histoire très pointue demandant beaucoup d'attention et de réflexion afin d'appréhender au mieux le déroulement des évènements. Peut être qu'un seul visionnage ne suffit pas à une parfaite compréhension globale; en tout cas c'est mon avis. Une 1ère partie légèrement déficiente de rythme, mais le résultat reste à la hauteur du meilleurs du cinéma français. 4,5/5
Après Mon idole, Ne le dis à personne, un polar adapté d'un roman d'Harlan Coben par l'acteur-réalisateur Guillaume Canet. Pour se faire, il convoque toute la fine fleur du cinoche français : Cluzet, Berléand, Baye, Lellouche, Dussolier, Rochefort, Lespert, Marchal...et tisse avec son co-scénariste Philippe Lefebvre un polar romantique des plus alambiqué. Un homme voit sa femme se faire enlever et tuer presque sous ses yeux. Déclarée morte, il reste inconsolable durant 8 ans jusqu'à ce qu'un mail l'invite à se connecter à une webcam où il la retrouve parmi la foule. Jusqu'ici, c'est relativement simple mais l'intrigue ne va pas tarder à se complexifier et à devenir beaucoup trop confuse, obligeant Canet à insérer à la fin une longue scène explicative de plusieurs minutes. Par contre, les scènes mouvementées sont beaucoup plus réussies comme la course-poursuite sur le périph' filmée caméra à l'épaule. Quant à la romance, elle a le mérite d'être sincère, avec tout ce qu'elle comporte comme naïveté, avec un Cluzet très émouvant et qui mérite son césar du meilleur acteur qu'on lui a décerné pour ce film. Même si on ne comprend pas tout au fur et à mesure du film, Canet a su ménager une tension présente tout au long du film. De sorte qu'une fois avec toutes les clés, on a qu'une seule envie : le revoir.
Succès amplement mérité pour Guillaume Canet, qui signe une excellente adaptation du best-seller de Harlan Coben. François Cluzet est impeccable, et il en va de même pour André Dussollier ou Nathalie Baye. Au final, un grand film haletant, original, bien fait, plein de suspense, comme on en veut plus souvent.
Un casting 5 étoiles, un scénario en béton avec de multiples rebondissements, une mise en scène nerveuse. Bref on tient la un excellent thriller français, et c'est pas tous les jours qu'on peut dire ça... Un très bon film a ne pas manquer tout simplement.
Très bonne adaptation du roman éponyme d’Harlan Coben à laquelle Guillaume Canet apporte son talent et sa dextérité. Une mise en scène fringante, nerveuse, voire audacieuse lors de certaines séquences. Une belle énergie qui sert avec panache un scénario qui oscille entre thriller, action et drame, dont les ténébreuses sinuosités ne sont données qu’avec parcimonie jusqu’aux révélations finales. Outre des chansons de U2, Otis Redding et Jeff Buckley, la musique à la fois simple et brute de Mathieu "M" Chédid vient renforcer le climax énigmatique d’une histoire noire mais qui ce veut avant tout d’amour. Réunie autour d’un François Cluzet qui explose de mille feux, la distribution de « Ne le Dis à Personne » est tout bonnement luxueuse.
Ne Le Dis A Personne est un excellent film à voir de Guillaume Canet . Ce thriller a un suspens qui nous tient pendant deux heures et demie . L'histoire comporte des rebondissements et des surprises grâce à des révélations en restant claire et cohérent . Un très bon scénario. Un bon dialogue . Une fin insoupçonnable donc génial. De grands noms sont présents dont Cluzet, Dussolier, Berléand, Scott Thomas, Baye, Marchal, Rochefort, Lafitte, Neuvic, Canet, Lellouche, .... qui sont excellents .
Guillaume Canet confirme qu'il est un grand réalisateur avec ce polar romanesque bien ficelé. Cette fois-ci, il ne s'attribue qu'un petit rôle mais qui s'avérera essentiel (chut !). L'histoire est passionante, Cluzet est énorme et la réalisation est à la hauteur. On se perd juste un peu avec tous ces personnages dont on ne sait pas grand chose, mais cela ne gâche en rien le plaisir que l'on prend à suivre l'intrigue, et la fin du film fait toute la lumière.
Bonne surprise, je n'en attendais pas autant de la part de Guillaume Canet. Il faut quand même signaler que le film souffre de tocs de réalisation agaçants et d'un casting royal mais sous-exploité. A quoi bon rassembler Jean Rochefort, Kristin Scott Thomas, Nathalie Baye ou encore André Dussolier sous le même étendard pour si peu de scènes ? A côté, François Cluzet dans le rôle principal est complètement monolithique (étonnant de sa part) ! Pas extraordinaire, mais Canet a le mérite de ne pas trop singer le cinéma américain. Juste un aimable thriller français du vendredi soir.