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(...) le film trouve son rythme, dont la lenteur apparente n'est qu'un leurre, ce que le spectateur comprend en mesurant la somme d'émotions, d'impressions, de sensations et de réflexions proposées en moins de quatre-vingt-dix minutes.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Chronique intime marquée par le poids douloureux de l'Histoire, "Waiting for the Clouds" est un film austère et sensible, mais qui ne s'élève pas à la hauteur de la dimension tragique des événements qu'il relate.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
(...) il sera probable que le spectateur se gratte le menton devant un contexte historique qu'il lui est complètement étranger, qu'il baille et qu'il s'ennuie ferme.
La critique complète est disponible sur le site Score
Cinéaste engagé, Yesim Ustaoglu porte un egard pertinent sur une page cachée de l'histoire de son pays et choisit d'y apporter une touche de tolérance et de poésie, en partie grâce aux acteurs tous non-professionnels.
Ce film n'a pas réellement de spécificité ni de consistance. C'est une plongée convenue dans les arts et traditions populaires, une banale oeuvre à thèse.
Tout cela est bien noble et bien-pensant (...). Mais pour que ça fonctionne (...) il aurait fallu adopter un tempo particulier (...) Ici, ça manque de moments de grâce, d'épiphanie.
L'Obs
(...) le film trouve son rythme, dont la lenteur apparente n'est qu'un leurre, ce que le spectateur comprend en mesurant la somme d'émotions, d'impressions, de sensations et de réflexions proposées en moins de quatre-vingt-dix minutes.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
Le talent de la cinéaste est de nous montrer avec beaucoup de poésie la vie étrange et dure de l'Anatolie (...) Un film contemplatif.
Le Monde
Chronique intime marquée par le poids douloureux de l'Histoire, "Waiting for the Clouds" est un film austère et sensible, mais qui ne s'élève pas à la hauteur de la dimension tragique des événements qu'il relate.
Ouest France
Sur fond de drame historique, une chronique pleine de sensibilité et de douleur.
Paris Match
Tournée vers l'avenir, la cinéaste engagée signe une fable militant pour l'apaisement.
Positif
L'ambition du sujet traité est pour le moins honorable, mais la réalisation n'arrive pas à traduire la réalité du manque affectif et culturel d'Ayshe.
Première
De beaux moments émaillent ce film tendre qui évoque un pan complexe et méconnu de l'histoire de la Turquie.
Score
(...) il sera probable que le spectateur se gratte le menton devant un contexte historique qu'il lui est complètement étranger, qu'il baille et qu'il s'ennuie ferme.
TéléCinéObs
Derrière le côté chronique villageoise, une belle et douloureuse méditation sur les blessures cachées de l'histoire.
Télérama
Un traumatisme capté (...) avec pudeur et distance, dans des images contemplatives, attentives aux deux extrémités de la vie.
Zurban
Cinéaste engagé, Yesim Ustaoglu porte un egard pertinent sur une page cachée de l'histoire de son pays et choisit d'y apporter une touche de tolérance et de poésie, en partie grâce aux acteurs tous non-professionnels.
L'Humanité
Ce film n'a pas réellement de spécificité ni de consistance. C'est une plongée convenue dans les arts et traditions populaires, une banale oeuvre à thèse.
Le Journal du Dimanche
Une évocation solennelle, plus âpre que tendre, pour une page d'histoire méconnue.
Les Inrockuptibles
Tout cela est bien noble et bien-pensant (...). Mais pour que ça fonctionne (...) il aurait fallu adopter un tempo particulier (...) Ici, ça manque de moments de grâce, d'épiphanie.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com