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Maxime P.
68 abonnés
226 critiques
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2,5
Publiée le 21 mai 2007
Ceux pour qui pour le premier "The grudge" était une réussite voir un bon traumatisme dans le film de pétoche garantis n'auront pas été déçu par ce deuxième opus , bien que comme d'habitude on perde du sel de l'original et qu'on connaisse les secrets de fabrication de la recette infernale du film. Mais malgré cela , la recette est toujours aussi efficace ,car au lieu de transposer l'action aux USA , comme pour "Le cercle" ,l'atmosphère angoissante du pays du Soleil Levant est bien présente et contribue à faire monter la tension au fur et à mesure du film. C'est bien simple , à chaque fois que l'enfant maléfique surgit de nulle part on sursaute et que ces raclements de gorge infernales arrivent on a la chair de poule. La saga "The grudge" fait partie de ce qu'il y a de mieux rodé dans le film d'horreur pour adolescents , sans giclements de sang mais grâce à une atmosphère nipponne angoissante et de bons sursauts , c'est certes classique mais ça marche des fois rarement. Dommage , que cela laisse présager une suite.
Ratée et complètement emmerdante, cette suite de The Grudge n’a aucun intérêt, faute à un Takashi Shimizu qui s’amuse à foutre un maximum de scènes angoissantes très prévisibles (qui perdent toute leur force au fur et à mesure que le métrage avance) au lieu d’offrir un scénario plutôt solide comme l’était celui du premier. Mortellement ennuyeux et à éviter d'urgence pour éviter la malédiction du somnambulisme...
très décevant. Tout est misé sur la surenchère, sans aucune créativité. Ca part même completement en vrille a la moitié du film, et on ne sursaute jamais. On frissone à peine. Sarah Michelle Gellar est passé prendre son cheque et puis basta. contentez vous du premier.
Une terrible déception. Shimizu retombe dans les travers qui plombaient les versions japonaises. Le récit est agencé n'importe comment pour masquer le vide du scénario et n'est qu'un prétexte aux scènes horrifiques qui ne se renouvellent pas.
En 2004, « The Grudge » avait fait exploser le petit monde du cinéma dhorreur devenu trop plan plan ces dernières années. Sans effets spéciaux à outrance, sans gore, Takashi Shimizu glaçait deffroi et de stupeur le spectateur qui semblait jusque-là être revenu de tout. Ce film a réouvert une veine dun genre qui se porte à nouveau très bien, en référence aux nombreuses productions de qualité sorties depuis. Devant un tel succès, la suite était immanquable et attendue. Elle est malheureusement moins impressionnante. Si lidée de faire évoluer le fantôme Kayako et sa progéniture sur trois niveaux dhistoire est intéressante à la base, elle se révèle au finish peu convaincante. On a bien du mal à discerner le fil conducteur du récit. La passation de la malédiction de victime en victime, la démonstration dune espèce dhystérie collective ? On ne sait trop sur quel pied flipper. La différence de taille avec le premier opus, est le traitement de la peur. Là où la présence de Kayako était plus suggérée et en définitive très peu montrée, ici elle est quasi omniprésente et peut être même trop réelle. Quant aux ersatz quelle «engendre », ils frisent passablement le ridicule. Toutefois, par quelques bonnes scènes bien effrayantes intelligemment amenées, font de « The grudge 2 » un film à voir.
L'histoire est quasiment la même que pour le premier opus de la saga, rien ne change, rien ne surprend vraiment le spectateur. Voilà pourquoi l'ennui est malheureusement au rendez-vous.
Certains ont déjà parlé de "The Grudge" comme un film d'horreur révolutionnaire sachant combiner moments d'angoisse et intrigue relativement intelligente. Mais au vu d'un tel manque de cohérence dans le scénario, Takashi Shimizu semble s'être laissé aller dans la facilité afin de ne pas trop se prendre la tête. De plus, les quelques scènes apparemment stressantes perdent rapidement en intérêt.
Une très grosse déception ! Ce film est inutile. Il nous apprend peut être des choses qu'on ignorait mais la plupart sont des éléments répétitifs du 1, le jeu des acteurs est plutot bon mais sans plus. Dommage que Sarah Michelle Gellar meurt.
Enorme deçeption pour cette suite du premier opus qui était pourtant très bon. Le problème de ce Grudge 2 est qu'il est trop proche du premier (histoire, situations...). Garder l'ambiance aurait été suffisant. De plus une suite a pour but d'apporter des infos au premier opus ou de faire une continuité logique mais là il n'y a rien de tout cela. L'actrice principale crève pas du tout l'écran au contraire et les apparations des fantômes est tellement fréquente qu'à la fin on est même plus surpris. Le final est téléphoné et déjà vu. Malgré tout ces défauts le film se laisse regarder de bout en bout sans trop de mal.
Une daube sans nom. Entre le miaulement du gamin (bleu) et le croassement de la fille (bleue), il n'y a que du vide dans ce film creux. Il ne reste d'audible et de visible que les bonnes prestations de Amber Tamblyn et Matthew Knight, qui "sauvent l'honneur".. Dommage, on aurait bien aimé les voir dans un autre film, plus cohérent et surtout moins "série B". Les films d'horreur japonais sont définitivement cuits, à oublier, tant ils deviennent ridicules. Il faut juste garder Ring, Dark Water, The Eye et Ju-On, premiers du nom et originaux (donc coréens ou japonais). Les suites, les remakes... Poubelle ! Du moins dans nos esprits. Marre de ces films qui font plus rire que peur.
Même si il n'était pas totalement indispensable, "The Grudge 2" se révèle moins idiot qu'il n'y paraît et se laisse voir sans déplaisir malgré le gros flou scénaristique...