nul , nul j'ai jamais vu un film pourri, beaucoup de personnes sont partis au bout de 30 min. Un film francais completement raté, trop long, ce film n'a aucun sens
Une réalisation surprenante et agréable, un peu de poésie, des émotions qui surgissent sans crier gare, parfois dérangeantes, quelques longueurs aussi. Un film qui apporte sa pierre à la réflexion sur les relations humaines, l'amour, l'échange, en ces temps troublés...
Au commencement, l'idée était bonne, la bande annonce alléchante, le casting d'enfer. Je m'attendais à voir une histoire, je n'ai vu que des pseudos symboles intello/psycho d'une lourdeur sans nom ! Je me suis dit que pour insister de la sorte, Zabou doit nous prendre pour des demeurés... Bref grosse déception, malgré des acteurs très bons !
Que j'ai été déçue par ce film !! Et pourtant, le casting, la bande d'annonce, la réalisatrice, tout m'avait donné l'eau à la bouche... Et effectivement, il n'y a guère que le brillant trio Berling (magnifique en homo qui s'assume) -Campan (très touchant dans le rôle d'un homme torturé en proie à des sentiments qu'il ne maîtrise pas) - Léa Drucker (émouvante en femme délaissée) pour sauver ce film qui s'enlise dans une "esthétisation" indigeste de l'image: les incessants et énervants flash basck revenant sur cette première soirée entre les deux hommes, la répétition excessive du rideau qui vole dans l'entrée de la maison, les gros-plan du petit garçon Arthur (roi des ordures) vu par son père, des images clichées frôlant le ridicule : le visage de Léa Drucker surmontée de la colline qu'est en train de gravir Berling, la jeune fille au pair mal-dans-sa-peau-pseudo-gothique-qui-se-renferme sur-ell-même, le pire étant le jeu des respirations de Berling et de son père, d'abord décalées pour monter leur différend, puis enfin synchronisées, pour monter la réunion paternelle-filiale!!!!....Bref, Zabou perd ses spectateurs dans des effets de style qui deviennent insupportables au bout de deux heures de film, privlégie l'intellect et l'esthétique au profit de l'émotion et de l'authenticité. Elle aurait beaucoup gagné en sobriété et en simplicité, et aurait pu laisser parler au grand jour le talent de ses trois acteurs.
Je ne comprends pas comment un bide pareil peut être sur des écrans, et comment des grands journaux peuvent en faire une éloge. Pour moi, la seule chose positive de ce film sont les plans de caméras très réussi. A part cela, rien. Le film est ennuyeux, le peu d'autres spectateurs de la salle n'ont pas mis 2min avant de sortir. C'est un bon film français : des fes*es, des sei*s et tout le monde trompe tout le monde. Les films français sont toujours très porté sur la chose, une obsession ou un mal être? Vraiment à ne pas voir (sauf invitation), les grands journaux ont du être payé ;-)
Répétitif jusqu'à l'overdose, prétentieux, très mal monté (le flash back sur la terrasse incessant, (des scènes, sans liant, sont "jetées" sur l'écran et se veulent décalées), faussement intello, poseur (Zabou prend evidemment bcp de plaisir - et trop de temps - a filmer la nature), parfois d'un gout très discutable (ah ce gros plan sur le visage statufié de la fontaine!)sans l'once d'une émotion et surtout terriblement creux, L HOMME DE SA VIE, n'a strictement rien à dire.... ou alors s'y prend vraiment mal !
Les acteurs pas tous au diapason (Berling s'en sort plutot bien et donne un peu d'ambiguité à son personnage, Campan a semble t-il atteint ses limites dans le registre de la dramaturgie) font ce qu'ils peuvent mais rien n'y fait. On s'emmerde au début et plus le film avance plus ca devient horripilant pour finir grotesque avec des effets qui ne s'imposent vraiment pas et qui témoignent de la vacuité du propos. Bref c'est chiant et c'est tout ce qui m'insupporte dans les films français (que j'adorent pourtant). Mme Zabou Breitman, votre premier film était assez délicat et plutôt prometteur ; celui ci est à oublier au plus vite. Revenez à plus d'humilité et plus de simplicité
Autant le dire tout de suite, ce film est une gigantesque plantade. Là où ce sujet sensible et très à la mode laissait espérer un film délicat et émouvant, Zabou se mange un mur en exploitant tous les lieux communs de l'homosexualité un par un: du rejet des parents à l'esprit plus intellectuel et plus fin, en passant par les expériences nocturnes et la beauf attitude des hétéros... Bref, difficile d'adhérer à tant de clichés dans un si court laps de temps. De plus, si sa mise en scène est soignée et son style affirmé, la forme du film semble prendre une plus grande place que le fond: et vas-y que je te mets des plans inutiles de ce que chacun fait devant sa glace sans que ça n'apporte rien à l'histoire, et vas-y qu eje te montre que je peux faire dans le poétique visuel façon "grand champ de tournesols sous le soleil"... Bref, Zabou en fait trop là où la simplicité et l'honnêteté étaient de mise pour que cela passe. Reste l'interprétation. Si il s'avère que Campan joue comme une saucisse de films en films, Berling tient globalement bien la route, et surtout la charmante Léa Drucker irradie tout le film de sa beauté, de sa grâce, de sa sensualité et de ses fêlures... Mais rassurez-vous, il y aura d'autres films plus intéressants pour s'en rendre à nouveau compte!
L'affiche et la B.A étaient prometteuses. Mais quelle déception au sortir de la salle ! Un sujet maîtrisé qui ne sombre pas une seconde dans le voyeurisme, mais tellement loin de ses personnages surtout les seconds rôles ! Une réalisation trop lisse et trop léchée, tellement prétentieuse. Tout cet ensemble est bien trop "bôôô" pour être crédible. Un peu plus d'humilité aurait arrondi les angles... Note : Charles Berling est tout de même extrêmement bon !
Zabou aborde un sujet particulier de l'actualité relativement polémique avec une finesse et une dose d'amour et de compréhension incroyable, le tout servi par une pleiade d'acteurs plus que compétants...à ne pas manquer!
esthétique (des plans superbes par leur cadrage, l'harmonie des coloris utilisés), une bande son collant aux images et aux scènes (ah ces tangos), des acteurs inspirés (Bernarc Campan plus fin dans sa fragilité que dans le coeur des hommes, Charles Berling attirant, dangereux et magnétique dans sa fausse nonchalance, et léa drucker profondément émouvante), des dialogues vrais même si la mise en scène en flash backs est parfois pénible à suivre,une fin déroutante qui nous laisse sur notre faim et n'assène rien pour nous la laisser imaginer, des lenteurs, des répétitions qui accompagnent l'histoire : il ya des imperfections qui frisent le chef d'oeuvre. film à voir et àrevoir par l'artiste qui sommeille en vous, par ceux qui aiment les sentiments et savent qu'ils sont capables de nous emmener très loin, par ceux qui aiment continuer à se poser des questions en sortant de la salle... et si comme moi vous avez un superbe coucher de soleil qui donne une lueur jaune impressionniste et impressionnante à la ville, vous vous direz que la réalité est parfois aussi forte que ce film...
Film trés prétentieux, verbeux au possible, avec en prime, des personnages antipathiques (pourtant j'aime beaucoup Charles Berling!). C'est une non-histoire qui existent entre les deux hommes. Le tout est long, se voudrait subtil mais, au final, n'est que maladroit.
Ma pauvre Zabou, quelle déception !!! entre les longueurs alternant avec des come-back incessants, des dialogues inexistants, des plans fixes, j'ai pu résister durant deux heures mais je me demande encore comment... et surtout pourquoi !!! peu de monde dans la salle, mais un profond ennui y règnait : gros soupris, baillements, bavardages chuchotés, je suis déçue... le mot est faible !!! Un conseil : évitez ce film à tout prix (et même à petit prix car j'avais un tarif réduit, il ne le méritait même pas).
Dieu sait combien j'admire Zabou, mais là la mayonnaise ne prend pas. Il y avait tant à aimer dans ce film : le sujet, les acteurs, les décors, une mise en scène basée sur la sensation... Mais la construction bien trop éclatée, les répétitions, les effets de styles bien trop artificiels, les longueurs bien trop nombreuses, rendent le film plutôt pénible à voir et ne rend aucune émotion. Dommage.
Ce film avait tous les ingrédients pour me faire passer un bon moment. Un sujet vraiment intéressant, de bons acteurs, une réalisatrice qui avait fait ses preuves dans son excellent premier film "Se souvenir des belles choses". Bref, une belle soirée en perspective.
Et oh déception... C'est lent, cela manque de rythme, et même si les acteurs font ce qu'ils peuvent pour sauver le film, il y a un réel manque de crédibilité.
Pourtant, il y a dans ce long métrage une multitude de bonnes idées. C'est comme si Zabou avait voulue y mettre toutes ses bonnes idées artistiques pour nous prouver qu'elle était douée ! Oui, vous êtes une excellente réalisatrice, il suffit de regarder une nouvelle fois votre premier film pour s'en convaincre, mais les bonnes idées artistiques, c'est une ou deux par film, et surtout, il faut les développer ! Là, on reste sur sa faim.
Bref, j'ai envie de voir un autre film qui traite de ce sujet. Avec « Lhomme de sa vie », je nai pas eu mon compte. Mais pas eu mon compte du tout !