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Il est des films qui requièrent beaucoup de tact : trop en dire peut les flétrir. Procédant par glissements progressifs, préférant la suggestion à l'énonciation, L'Homme de sa vie, deuxième long métrage, très émouvant, de Zabou Breitman, est assurément l'un d'entre eux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
D'un point de départ a priori pas révolutionnaire sur l'amour, le couple et la solitude, la réalisatrice tire un drame fin et bouleversant qui restera dans les mémoires.
Zabou nous enveloppe, dans la Cellophane de sa pellicule, des morceaux de rêves. elle nous tend son film comme un paquet de bonbons mélangés avec un soin ordonné.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
On peut lui reprocher une construction trop alambiquée qui nuit parfois à l'impact du propos. Malgré tout, il s'agit d'un film attachant formidablement interprété par Charles Berling, trouble à souhait, et Bernard Campan, de moins en moins comique benêt.
Traversé de milles remises en question, et servi par un trio de comédiens remarquables, L'homme de sa vie est l'un des plus beaux films, et des plus délicats, tournés depuis longtemps sur ce sujet.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
(...) la construction scénaristique alambiquée et le registre formel qui flirte parfois (...) avec l'onirisme, menacent, par intermittences, d'entraîner L'homme de sa vie dans la préciosité. Mais ces défauts épars sont peut-être la rançon à payer pour cette fiction audacieuse, gonflée et émouvante (...)
La critique complète est disponible sur le site Première
(...) Zabou Breitman ausculte avec sincérité et finesse la confusion des sentiments, les fêlures intimes, la fragilité au masculin. (...) Un bémol: les afféteries d'une mise en scène un rien poseuse.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
(...) Zabou Breitman a la volonté d'imposer un univers, sinon une grammaire dont elle ne maîtrise que les tenants et pas les aboutissants. (...) L'Homme de sa vie assume crânement cette insatisfaction, ce qui n'est sans doute pas grand-chose mais pas rien non plus.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
(...) La force du jeu de Charles Berling est saisissante dès la première scène. (...) On assiste aux émotions provoquées par l'ébranlement, en attendant le chamboulement ? Emotions qui sont passées au microcospe par Zabou Breitman.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Ce qui s'est affermi chez la réalisatrice, c'est le geste d'une mise en scène, qui procède par glissements (...) vers une poétisation du réel - au prix d'une désagrégation de son sujet dans des nappes sensorielles qui prennent progressivement le contrôle du récit. Tout n'est peut-être alors que question de dosage (...)
(...) Au moins son film témoigne-t-il de certaines qualités d'interprétation, d'une ambition manifeste et d'un désir d'expérimentations visuelles et structurelles, mais a contrario à la voir tirer sans relâche sur la même corde, égrener les clichés (...), on se découvre navré que personne, de toute évidence, n'ait réussi à lui faire valoir qu'elle faisait fausse route.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
(...) Elle finit par charger l'écran d'effets visuels trop appuyés et répétitifs. Comme si elle se regardait filmer avec la satisfaction de produire d'un plan à l'autre des compositions de tableaux fignolés. Au risque d'en bannir l'émotion.
Basée sur une vision gentille du monde, qui va à l'encontre de la souffrance qu'implique le scénario, la mise en scène compense par un lyrisme magique et démonstratif.
Que la mise en scène frise le maniérisme est plus regrettable car ce parti pris empêche le spectateur de ressentir le trouble censé s'emparer des deux hommes.
Comme son Hugo se repaît de paroles brillantes, Zabou se grise d'images trop jolies. (...) C'est dommage car, dans le détail, il y a pas mal de belles choses dont on peut se souvenir après avoir vu L'Homme de sa vie (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
Il est des films qui requièrent beaucoup de tact : trop en dire peut les flétrir. Procédant par glissements progressifs, préférant la suggestion à l'énonciation, L'Homme de sa vie, deuxième long métrage, très émouvant, de Zabou Breitman, est assurément l'un d'entre eux.
MCinéma.com
D'un point de départ a priori pas révolutionnaire sur l'amour, le couple et la solitude, la réalisatrice tire un drame fin et bouleversant qui restera dans les mémoires.
Paris Match
Zabou nous enveloppe, dans la Cellophane de sa pellicule, des morceaux de rêves. elle nous tend son film comme un paquet de bonbons mélangés avec un soin ordonné.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Fluctuat.net
Très joliment pensée, sa mise en scène sert admirablement son sujet, si l'on veut bien pardonner quelques maladresses.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
On peut lui reprocher une construction trop alambiquée qui nuit parfois à l'impact du propos. Malgré tout, il s'agit d'un film attachant formidablement interprété par Charles Berling, trouble à souhait, et Bernard Campan, de moins en moins comique benêt.
Le Parisien
Traversé de milles remises en question, et servi par un trio de comédiens remarquables, L'homme de sa vie est l'un des plus beaux films, et des plus délicats, tournés depuis longtemps sur ce sujet.
Première
(...) la construction scénaristique alambiquée et le registre formel qui flirte parfois (...) avec l'onirisme, menacent, par intermittences, d'entraîner L'homme de sa vie dans la préciosité. Mais ces défauts épars sont peut-être la rançon à payer pour cette fiction audacieuse, gonflée et émouvante (...)
Télé 7 Jours
(...) Zabou Breitman ausculte avec sincérité et finesse la confusion des sentiments, les fêlures intimes, la fragilité au masculin. (...) Un bémol: les afféteries d'une mise en scène un rien poseuse.
Chronic'art.com
(...) Zabou Breitman a la volonté d'imposer un univers, sinon une grammaire dont elle ne maîtrise que les tenants et pas les aboutissants. (...) L'Homme de sa vie assume crânement cette insatisfaction, ce qui n'est sans doute pas grand-chose mais pas rien non plus.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
(...) La force du jeu de Charles Berling est saisissante dès la première scène. (...) On assiste aux émotions provoquées par l'ébranlement, en attendant le chamboulement ? Emotions qui sont passées au microcospe par Zabou Breitman.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Inrockuptibles
Ce qui s'est affermi chez la réalisatrice, c'est le geste d'une mise en scène, qui procède par glissements (...) vers une poétisation du réel - au prix d'une désagrégation de son sujet dans des nappes sensorielles qui prennent progressivement le contrôle du récit. Tout n'est peut-être alors que question de dosage (...)
L'Obs
(...) Au moins son film témoigne-t-il de certaines qualités d'interprétation, d'une ambition manifeste et d'un désir d'expérimentations visuelles et structurelles, mais a contrario à la voir tirer sans relâche sur la même corde, égrener les clichés (...), on se découvre navré que personne, de toute évidence, n'ait réussi à lui faire valoir qu'elle faisait fausse route.
Ouest France
(...) Elle finit par charger l'écran d'effets visuels trop appuyés et répétitifs. Comme si elle se regardait filmer avec la satisfaction de produire d'un plan à l'autre des compositions de tableaux fignolés. Au risque d'en bannir l'émotion.
Positif
Basée sur une vision gentille du monde, qui va à l'encontre de la souffrance qu'implique le scénario, la mise en scène compense par un lyrisme magique et démonstratif.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Que la mise en scène frise le maniérisme est plus regrettable car ce parti pris empêche le spectateur de ressentir le trouble censé s'emparer des deux hommes.
Télérama
Comme son Hugo se repaît de paroles brillantes, Zabou se grise d'images trop jolies. (...) C'est dommage car, dans le détail, il y a pas mal de belles choses dont on peut se souvenir après avoir vu L'Homme de sa vie (...).
aVoir-aLire.com
L'homme de sa vie ressemble en somme beaucoup à un rendez-vous manqué, même s'il s'illumine parfois de jolis instants de grâce.
Le Journal du Dimanche
Le film commence, plein de promesses et délicatesse. Elles ne seront malheureusement pas tenues.