Avis sur Ilsa, gardienne du harem

Bon ben normalement lorsqu'un perso meurt à la fin du premier opus on ne fait pas de suite avec lui, mais bon, là ils ont quand même réussi, mais heureusement ils ne tentent en rien de le justifier, en fait c'est juste une autre aventure avec le même personnage, mais sans lien avec le premier film.
Bon déjà on est déçu à la base parce qu'il y a moins de nichons, la vieille Ilsa ne se dénude plus aussi facilement, je sais qu'il y a des amateurs de femmes mures qui seront déçus.
Après il y a moins de tortures crades que dans le premier, même si bon, on a quand même une fille qui se fait énuclée, ravissant et très sexy, ou bien une fille qui a un gode explosif dans le vagin et qui explose à l'orgasme, je pense qu'on peut accorder ça au film, il a des tortures marrantes.
Après je ne le qualifierai pas de nanar, c'est juste un film pas forcément génial, enfin j'ai pas spécialement ris au dépend du film, même si quelques scènes d'actions valent le détour question nullité et connerie.
C'est une série B pas dénuée de charme, surtout si on est sensible, comme moi, aux charmes orientaux et qui apporte son pesant de fun, même si le film est un peu passablement chiant par moments, en tous cas plus que le premier.

Il faut s’armer de patience si l’envie vous prend de vouloir découvrir ce second volet de la trilogie Ilsa, alors que le premier opus était déjà bien gratiné et au combien éreintant. Don Edmonds récidive, après avoir réalisé Ilsa, la Louve des SS (1975), alors que le film baignait en plein "naziploitation", cette fois-ci il retrouve Dyanne Thorne, toujours aussi aguicheuse dans Ilsa, gardienne du harem (1976), aussi appelé "Harem" ou "Ilsa la chienne du sheik" (lors de précédentes éditions sous format VHS). Cette fois-ci, on est en plein "sexploitation", oubliez l’univers du nazisme, le réalisateur a décidé de vous en mettre plein les yeux avec des jeunes filles dévêtues (car comme son titre nous l’indique, l’action se déroule dans un harem… de femmes !). Si vous prenez votre pied devant des esclaves sexuels et des jeunes femmes réduites à la soumission, vous devriez adhérer sans le moindre problème, quant aux autres, prenez votre mal en patience, le film dure tout de même 90 minutes (et dire qu’il existe un troisième volet : Ilsa, la Tigresse du Goulag - 1977 !).

"Ilsa, gardienne du harem" fait suite au premier opus (d'après l'ensemble de mes lectures, elle serait morte entrainant une certaine incohérence que je ne prends pas en compte - puisque je ne l'ai point encore vu - pour ce second opus) mais cette fois-ci notre chère Ilsa se fait cadin d'un sultan qui prend un malin plaisir à s'entourer de merveilleuses et plantureuses demoiselles. On ne change pas une formule gagnante composée de femmes sexy, de scènes gores et de dialogues ridicules sauf que sur le moment, cela fonctionne plutôt bien étrangement. Certes, il faut le voir avec un certain second degré et une certaine forme de sympathie pour apprécier - terme bien large - le film ou plutôt le nanar puisque l'oeuvre essaye de prendre tant bien que mal un certain sérieux... pour le plus grand plaisir des cinéphiles ! Malgré cette sympathie, on ne peut que pester face à des longs moments ennuyeux, inutiles, au discours parfois décousu et à un enchaînement de scènes et de situations totalement risibles. Médiocre !