Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Le Monde
par Isabelle Regnier
Pour jouer Cindy, Bertrand Bonello voulait Asia Argento. Une proposition qui ouvre à elle seule, comme le faisaient déjà ses films précédents, des abîmes de réflexion sur le cinéma. Le film, un court métrage d'un quart d'heure d'une beauté bouleversante, est à la fois une fiction théorique sur le cinéma et la représentation, et un portrait documentaire d'Asia Argento.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Patrice Blouin
Sur la photographe Cindy Sherman, le cinéaste du Pornographe et de Tiresia réussit une petite merveille de quinze minutes, sorte de parfait single de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
Au-delà du simple tour de force qui consiste à confronter les deux visages d'une même comédienne, c'est bel et bien de la direction d'acteur que nous entretient ce film passionnant.
Cahiers du Cinéma
par Antoine Thirion
(...) Bonello rerpoduit de façon particulièrement virtuose et économe la grande valse des doulbes qui anime le cinéma depuis toujours (...)
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Fluctuat.net
par Anne-Laure Bell
Il y a là quelque chose du témoignage, du reportage d'un état qui s'exprime malgré le sujet et grâce à lui. Bonello rend parfaitement cette ambiguïté propre au jeu de l'acteur.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
aVoir-aLire.com
par La rédaction ciné
Un film court au coeur d'une oeuvre exigeante, Cindy, the doll is mine confirme le talent et les obsessions de Bertrand Bonello.
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Elle
par Florence Ben Sadoun
Très snob ! (...) Une performance de vidéaste pour un film très plastique (...)
La critique complète est disponible sur le site Elle
Libération
par Didier Peron
C'est peu de dire que Bonello est obsédé par la relation mi-obscène mi-sublime de celui qui ordonne à ceux qui obéissent. Vieux thème sadien qui dans ce film aussi court que lumineux est énoncé sous la forme du dédoublement (...)
Zurban
par Anne-Claire Gras
Le film (...) aborde la relation entre l'artiste et son modèle : un jeu de soumission duquel jaillit l'émotion.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Cet hommage de quinze minutes à l'artiste Cindy Sherman sort en salles comme un long métrage. On reste perplexe devant l'artificialité du projet.
Le Monde
Pour jouer Cindy, Bertrand Bonello voulait Asia Argento. Une proposition qui ouvre à elle seule, comme le faisaient déjà ses films précédents, des abîmes de réflexion sur le cinéma. Le film, un court métrage d'un quart d'heure d'une beauté bouleversante, est à la fois une fiction théorique sur le cinéma et la représentation, et un portrait documentaire d'Asia Argento.
Les Inrockuptibles
Sur la photographe Cindy Sherman, le cinéaste du Pornographe et de Tiresia réussit une petite merveille de quinze minutes, sorte de parfait single de cinéma.
TéléCinéObs
Au-delà du simple tour de force qui consiste à confronter les deux visages d'une même comédienne, c'est bel et bien de la direction d'acteur que nous entretient ce film passionnant.
Cahiers du Cinéma
(...) Bonello rerpoduit de façon particulièrement virtuose et économe la grande valse des doulbes qui anime le cinéma depuis toujours (...)
Fluctuat.net
Il y a là quelque chose du témoignage, du reportage d'un état qui s'exprime malgré le sujet et grâce à lui. Bonello rend parfaitement cette ambiguïté propre au jeu de l'acteur.
aVoir-aLire.com
Un film court au coeur d'une oeuvre exigeante, Cindy, the doll is mine confirme le talent et les obsessions de Bertrand Bonello.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
Très snob ! (...) Une performance de vidéaste pour un film très plastique (...)
Libération
C'est peu de dire que Bonello est obsédé par la relation mi-obscène mi-sublime de celui qui ordonne à ceux qui obéissent. Vieux thème sadien qui dans ce film aussi court que lumineux est énoncé sous la forme du dédoublement (...)
Zurban
Le film (...) aborde la relation entre l'artiste et son modèle : un jeu de soumission duquel jaillit l'émotion.
L'Humanité
Cet hommage de quinze minutes à l'artiste Cindy Sherman sort en salles comme un long métrage. On reste perplexe devant l'artificialité du projet.