Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Jean-Michel Frodon
Le "Filmeur" est un film monstrueux.
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Fluctuat.net
par Laurence Reymond
L'art de Cavalier consiste ainsi à s'inventer sa propre temporalité, à rester disponible à tout ce qui l'entoure, à voler des instants au temps. Somme de ces petites libertés, "Le Filmeur" entraîne le spectateur dans une réflexion profonde et grave mais aussi drôle et tendre.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Obs
par Jérôme Garcin
[Le réalisateur] nous offre un film violent et drôle comme la vie, un film unique (...). On sort de ce film avec la sensation d'avoir découvert quelque chose d'unique, "l'original" d'un artiste.
Le Monde
par Isabelle Regnier
Archiviste de l'intime, Alain Cavalier (...) compose une oeuvre qui lui ressemble. Personnelle et poreuse, généreuse et drôle, légère et profonde, fragile et politique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morin
Dix ans de la vie d'un artiste de cinéma nommé Alain Cavalier. Simplement sublime.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Antoine de Baecque
Cavalier est lié, profondément, à tout ce qu'il voit, regarde, enregistre, souvent avec la rigueur du plan fixe, à toutes ces histoires et ces gens qu'il sélectionne au montage. Et en même temps il est seul, tout seul, jusqu'à l'angoisse et à la folie parfois.
Première
par Sophie Grassin
Autodérision, goût de la facétie, liberté, humanité, trivialité (...), profession de foi d'un ascète libéré des canons esthétiques en l'économie de moyens et de mouvements, "Le Filmeur" (...) est grand.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Philippe Piazzo
Faux autoportrait mais vrai offrande au public, l'expérience concentre des éclats de journal intime filmé, pendant dix ans, avec une caméra numérique.
Télérama
par Aurélien Ferenczi
L'histoire qu'il [Alain Cavalier] nous raconte est alors celle, terriblement émouvante, d'un couple qui s'aime toujours et qui lutte contre le temps qui passe.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Cavalier, devenu filmeur et non plus cinéaste, débarrassé enfin des pesanteurs de l'argent, tourne comme il lui plaît, en liberté. Cela donne un film avec une vraie dimension spirituelle, beau comme un poème.
Paris Match
par Alain Spira
Emouvante, amusante, sa "vidéo" n'a rien d'amateur. Une fois de plus, ce franc-tireur du cinéma français vise juste et nous touche en plein coeur.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par A. R.
"Le Filmeur" semble ainsi découvrir une nouvelle dimension cinématographique. (...)
La critique complète est disponible sur le site Positif
Score
par Gaël Golhen
Les maisons qui changent, l'être aimé qui surgit, le corps qui vieillit et qui crève. Ces microplaies et ces petites joies deviennent le sujet d'une oeuvre à part, radicalement ouverte et vraiment passionnante pour qui accepte le défi.
La critique complète est disponible sur le site Score
aVoir-aLire.com
par Max Robin
"Le Filmeur" filme le temps qui passe et tout ce qui lui survit. C'est aussi la réussite de ce film sans histoire : il parvient à éliminer (conjurer ?) l'idée de la fin.
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Une réflexion bien sentie, un joli plan, un geste affectif, un souvenir émouvant ou un détail irrésistiblement futile, autant de petites étincelles grâce auxquelles le feu finit par prendre. Reste à le regarder se consumer, réconforté que l'on est par la chaleur et la sincérité du propos. A condition, bien sûr, d'être resté dans la salle.
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
"Le Filmeur" fait la pub d'une idée de l'art toute faite, intouchable. Ne reste qu'à paraphraser le film, se féliciter d'être du même côté de lui, d'être en bonne entente avec lui. Tout est dit, circulez. Pitié, oui, circulons.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Zurban
par Eric Quéméré
(...) alors que le cinéaste ne s'est jamais autant dévoilé, on reste extérieur à cette galerie de visages, comme devant l'album de photos d'une famille dont on ne nous aurait présenté aucun membre.
Cahiers du Cinéma
Le "Filmeur" est un film monstrueux.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
L'art de Cavalier consiste ainsi à s'inventer sa propre temporalité, à rester disponible à tout ce qui l'entoure, à voler des instants au temps. Somme de ces petites libertés, "Le Filmeur" entraîne le spectateur dans une réflexion profonde et grave mais aussi drôle et tendre.
L'Obs
[Le réalisateur] nous offre un film violent et drôle comme la vie, un film unique (...). On sort de ce film avec la sensation d'avoir découvert quelque chose d'unique, "l'original" d'un artiste.
Le Monde
Archiviste de l'intime, Alain Cavalier (...) compose une oeuvre qui lui ressemble. Personnelle et poreuse, généreuse et drôle, légère et profonde, fragile et politique.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Dix ans de la vie d'un artiste de cinéma nommé Alain Cavalier. Simplement sublime.
Libération
Cavalier est lié, profondément, à tout ce qu'il voit, regarde, enregistre, souvent avec la rigueur du plan fixe, à toutes ces histoires et ces gens qu'il sélectionne au montage. Et en même temps il est seul, tout seul, jusqu'à l'angoisse et à la folie parfois.
Première
Autodérision, goût de la facétie, liberté, humanité, trivialité (...), profession de foi d'un ascète libéré des canons esthétiques en l'économie de moyens et de mouvements, "Le Filmeur" (...) est grand.
TéléCinéObs
Faux autoportrait mais vrai offrande au public, l'expérience concentre des éclats de journal intime filmé, pendant dix ans, avec une caméra numérique.
Télérama
L'histoire qu'il [Alain Cavalier] nous raconte est alors celle, terriblement émouvante, d'un couple qui s'aime toujours et qui lutte contre le temps qui passe.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Cavalier, devenu filmeur et non plus cinéaste, débarrassé enfin des pesanteurs de l'argent, tourne comme il lui plaît, en liberté. Cela donne un film avec une vraie dimension spirituelle, beau comme un poème.
Paris Match
Emouvante, amusante, sa "vidéo" n'a rien d'amateur. Une fois de plus, ce franc-tireur du cinéma français vise juste et nous touche en plein coeur.
Positif
"Le Filmeur" semble ainsi découvrir une nouvelle dimension cinématographique. (...)
Score
Les maisons qui changent, l'être aimé qui surgit, le corps qui vieillit et qui crève. Ces microplaies et ces petites joies deviennent le sujet d'une oeuvre à part, radicalement ouverte et vraiment passionnante pour qui accepte le défi.
aVoir-aLire.com
"Le Filmeur" filme le temps qui passe et tout ce qui lui survit. C'est aussi la réussite de ce film sans histoire : il parvient à éliminer (conjurer ?) l'idée de la fin.
MCinéma.com
Une réflexion bien sentie, un joli plan, un geste affectif, un souvenir émouvant ou un détail irrésistiblement futile, autant de petites étincelles grâce auxquelles le feu finit par prendre. Reste à le regarder se consumer, réconforté que l'on est par la chaleur et la sincérité du propos. A condition, bien sûr, d'être resté dans la salle.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Chronic'art.com
"Le Filmeur" fait la pub d'une idée de l'art toute faite, intouchable. Ne reste qu'à paraphraser le film, se féliciter d'être du même côté de lui, d'être en bonne entente avec lui. Tout est dit, circulez. Pitié, oui, circulons.
Zurban
(...) alors que le cinéaste ne s'est jamais autant dévoilé, on reste extérieur à cette galerie de visages, comme devant l'album de photos d'une famille dont on ne nous aurait présenté aucun membre.