Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
(...) Masahiro Kobayashi ne conserve pas seulement l'acharnement absurde contre les victimes. Il déroule d'une manière qui évoque Mizoguchi, le processus selon lequel la pire violence sociale sature l'espace et le récit (...)
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
(critique cannoise) Enorme claque contre l'establishment japonais (...) le film dissèque habilement la psychologie des foules et toutes formes de conditionnement social.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Elle
par Anne Diatkine
C'est un film qu'il faut voir car il montre une réalité à la fois taboue au Japon et extravagante pour des Occidentaux.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Humanité
par Dominique Widemann
Bashing est bien plus qu'une amende honorable.
L'Humanité
par Jean Roy
(critique cannoise) (...) du reportage brut de décoffrage (...) un film étonnamment moderne dans sa facture, renouant par ailleurs avec la grande tradition des films d'intervention sociale.
Le Monde
par Jean-Luc Douin
(critique cannoise)Disciple de l'Agnès Varda de Sans toit ni loi, son auteur puise dans la violence du réel de quoi alimenter sa colère contre les désengagements mesquins. Sobrement, et pour la gloire discrète des bénévoles entêtés.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Vincent Thabourey
Ce concentré de malheur a bien sûr valeur de parabole, mais son enchâssement dans un regard très documentaire lui évite toute sécheresse formelle, comme en témoigne la conclusion très émue du finale.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Chronic'art.com
par Agata Makino
"Bashing" a le mérite de ne pas rabâcher l'imagerie d'un Japon de cerisiers.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Le problème vient de ce que le film ne réussit pas par la mise en scène, trop mécanique, trop appliquée à susciter l'émotion, à la dépasser (...)
Le Monde
par Thomas Sotinel
Au bout du compte, ce ne sont plus les raisons de l'ostracisme qui comptent, juste son mécanisme, mis en scène d'une manière à la fois réaliste (caméra portée, lumière naturelle, décors d'une banalité écrasante) et fruste.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
A vouloir s'inscrire avec obstination dans le réel, "Bashing" perd un peu de sa complexité et écourte l'étendue de son prometteur champ de réflexion.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par La Rédaction
Intransigeant, mais aride (...)
Première
par Sophie Grassin
Kobayashi filme cette agression sociale au scalpel. Et dénonce une lâcheté nippone dont il suggère, au passage, qu'elle s'exerce volontiers à l'égard d'autres minorités.
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par Alex Masson
(...) quand Kobayashi filme cette situation intolérable dans un climat glaciaire (...) un inconfort s'installe, bloquant l'empathie qu'on pouvait éprouver pour l'exceptionnelle performance d'une comédienne toute en fureur intériorisée mais trop étouffée.
La critique complète est disponible sur le site Score
The Hollywood Reporter
par Ray Bennett
(critique cannoise) Les personnages créés par Kobayashi sont mémorables, et les comédiens livrent de remarquables performances (...) Mais l'approche oblique du cinéaste empêche le film de réaliser son potentiel (...) Trop de questions restent sans réponse, ce qui devrait laisser les spectateurs insatisfaits.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
TéléCinéObs
par Bernard Achour
Un sujet d'une force extrême, peut-être trop pointu pour susciter l'identification, mais traité avec une rigueur et une violence implosive qui donnent autant à penser qu'à ressentir.
Télérama
par Aurélien Férenczi
(critique cannoise) (...) il y passe, parfois, le mal-être d'une personne rejetée, mais le refus de construire ce désarroi en scènes et dialogues articulés finit par diluer l'intérêt. On le mesure a contrario à la fin du film, plus réussie (...)
Variety
par Leslie Felperin
(critique cannoise)La volonté de l'acteur-réalisateur de maintenir une approche oblique, d'en révéler le moins possible, donne parfois au film les allures d'un court métrage trop long et pas assez élaboré, en dépit d'un sujet très consistant. Les comédiens sont en revanche tous remarquables.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Libération
par Didier Péron
(critique cannoise) Le film n'est pas aussi fort que son sujet, le cinéaste forçant la note mélodramatique. L'acharnement contre Yuko et ses proches finit par sembler mécanique et unilatéral.
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Toute en intériorité, Fusako Urabe, l'actrice principale, porte la douleur et l'incompréhension de son personnage sur ses épaules. Mais rien à faire, l'exercice est trop froid pour que l'on puisse vraiment partager sa douleur.
MCinéma.com
par Hugo de Saint-Phalle
(critique cannoise) Tant dans son sujet que dans son traitement, le réalisateur japonais semble en quête d'un radicalisme un peu trop poussif (...) l'exercice est trop froid pour que l'on puisse vraiment partager sa douleur.
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Masahiro Kobayashi ne donne aucune clé (...) le refus de construire [le] désarroi en scènes et dialogues articulés finit par diluer l'intérêt.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Marie Bernard
Rapidement, la sécheresse de [la] mise en scène nous laisse au bord de cette histoire qui s'avère ennuyeuse, faute de réellement évoluer. (...) Lourd, pénible et assez vain.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
(...) Masahiro Kobayashi ne conserve pas seulement l'acharnement absurde contre les victimes. Il déroule d'une manière qui évoque Mizoguchi, le processus selon lequel la pire violence sociale sature l'espace et le récit (...)
Chronic'art.com
(critique cannoise) Enorme claque contre l'establishment japonais (...) le film dissèque habilement la psychologie des foules et toutes formes de conditionnement social.
Elle
C'est un film qu'il faut voir car il montre une réalité à la fois taboue au Japon et extravagante pour des Occidentaux.
L'Humanité
Bashing est bien plus qu'une amende honorable.
L'Humanité
(critique cannoise) (...) du reportage brut de décoffrage (...) un film étonnamment moderne dans sa facture, renouant par ailleurs avec la grande tradition des films d'intervention sociale.
Le Monde
(critique cannoise)Disciple de l'Agnès Varda de Sans toit ni loi, son auteur puise dans la violence du réel de quoi alimenter sa colère contre les désengagements mesquins. Sobrement, et pour la gloire discrète des bénévoles entêtés.
Positif
Ce concentré de malheur a bien sûr valeur de parabole, mais son enchâssement dans un regard très documentaire lui évite toute sécheresse formelle, comme en témoigne la conclusion très émue du finale.
Chronic'art.com
"Bashing" a le mérite de ne pas rabâcher l'imagerie d'un Japon de cerisiers.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
Le problème vient de ce que le film ne réussit pas par la mise en scène, trop mécanique, trop appliquée à susciter l'émotion, à la dépasser (...)
Le Monde
Au bout du compte, ce ne sont plus les raisons de l'ostracisme qui comptent, juste son mécanisme, mis en scène d'une manière à la fois réaliste (caméra portée, lumière naturelle, décors d'une banalité écrasante) et fruste.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
A vouloir s'inscrire avec obstination dans le réel, "Bashing" perd un peu de sa complexité et écourte l'étendue de son prometteur champ de réflexion.
Libération
Intransigeant, mais aride (...)
Première
Kobayashi filme cette agression sociale au scalpel. Et dénonce une lâcheté nippone dont il suggère, au passage, qu'elle s'exerce volontiers à l'égard d'autres minorités.
Score
(...) quand Kobayashi filme cette situation intolérable dans un climat glaciaire (...) un inconfort s'installe, bloquant l'empathie qu'on pouvait éprouver pour l'exceptionnelle performance d'une comédienne toute en fureur intériorisée mais trop étouffée.
The Hollywood Reporter
(critique cannoise) Les personnages créés par Kobayashi sont mémorables, et les comédiens livrent de remarquables performances (...) Mais l'approche oblique du cinéaste empêche le film de réaliser son potentiel (...) Trop de questions restent sans réponse, ce qui devrait laisser les spectateurs insatisfaits.
TéléCinéObs
Un sujet d'une force extrême, peut-être trop pointu pour susciter l'identification, mais traité avec une rigueur et une violence implosive qui donnent autant à penser qu'à ressentir.
Télérama
(critique cannoise) (...) il y passe, parfois, le mal-être d'une personne rejetée, mais le refus de construire ce désarroi en scènes et dialogues articulés finit par diluer l'intérêt. On le mesure a contrario à la fin du film, plus réussie (...)
Variety
(critique cannoise)La volonté de l'acteur-réalisateur de maintenir une approche oblique, d'en révéler le moins possible, donne parfois au film les allures d'un court métrage trop long et pas assez élaboré, en dépit d'un sujet très consistant. Les comédiens sont en revanche tous remarquables.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Libération
(critique cannoise) Le film n'est pas aussi fort que son sujet, le cinéaste forçant la note mélodramatique. L'acharnement contre Yuko et ses proches finit par sembler mécanique et unilatéral.
MCinéma.com
Toute en intériorité, Fusako Urabe, l'actrice principale, porte la douleur et l'incompréhension de son personnage sur ses épaules. Mais rien à faire, l'exercice est trop froid pour que l'on puisse vraiment partager sa douleur.
MCinéma.com
(critique cannoise) Tant dans son sujet que dans son traitement, le réalisateur japonais semble en quête d'un radicalisme un peu trop poussif (...) l'exercice est trop froid pour que l'on puisse vraiment partager sa douleur.
Télérama
Masahiro Kobayashi ne donne aucune clé (...) le refus de construire [le] désarroi en scènes et dialogues articulés finit par diluer l'intérêt.
aVoir-aLire.com
Rapidement, la sécheresse de [la] mise en scène nous laisse au bord de cette histoire qui s'avère ennuyeuse, faute de réellement évoluer. (...) Lourd, pénible et assez vain.