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(...) Masahiro Kobayashi ne conserve pas seulement l'acharnement absurde contre les victimes. Il déroule d'une manière qui évoque Mizoguchi, le processus selon lequel la pire violence sociale sature l'espace et le récit (...)
(critique cannoise) Enorme claque contre l'establishment japonais (...) le film dissèque habilement la psychologie des foules et toutes formes de conditionnement social.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
(critique cannoise) (...) du reportage brut de décoffrage (...) un film étonnamment moderne dans sa facture, renouant par ailleurs avec la grande tradition des films d'intervention sociale.
(critique cannoise)Disciple de l'Agnès Varda de Sans toit ni loi, son auteur puise dans la violence du réel de quoi alimenter sa colère contre les désengagements mesquins. Sobrement, et pour la gloire discrète des bénévoles entêtés.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ce concentré de malheur a bien sûr valeur de parabole, mais son enchâssement dans un regard très documentaire lui évite toute sécheresse formelle, comme en témoigne la conclusion très émue du finale.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Au bout du compte, ce ne sont plus les raisons de l'ostracisme qui comptent, juste son mécanisme, mis en scène d'une manière à la fois réaliste (caméra portée, lumière naturelle, décors d'une banalité écrasante) et fruste.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Kobayashi filme cette agression sociale au scalpel. Et dénonce une lâcheté nippone dont il suggère, au passage, qu'elle s'exerce volontiers à l'égard d'autres minorités.
La critique complète est disponible sur le site Première
(...) quand Kobayashi filme cette situation intolérable dans un climat glaciaire (...) un inconfort s'installe, bloquant l'empathie qu'on pouvait éprouver pour l'exceptionnelle performance d'une comédienne toute en fureur intériorisée mais trop étouffée.
La critique complète est disponible sur le site Score
(critique cannoise) Les personnages créés par Kobayashi sont mémorables, et les comédiens livrent de remarquables performances (...) Mais l'approche oblique du cinéaste empêche le film de réaliser son potentiel (...) Trop de questions restent sans réponse, ce qui devrait laisser les spectateurs insatisfaits.
Un sujet d'une force extrême, peut-être trop pointu pour susciter l'identification, mais traité avec une rigueur et une violence implosive qui donnent autant à penser qu'à ressentir.
(critique cannoise) (...) il y passe, parfois, le mal-être d'une personne rejetée, mais le refus de construire ce désarroi en scènes et dialogues articulés finit par diluer l'intérêt. On le mesure a contrario à la fin du film, plus réussie (...)
(critique cannoise)La volonté de l'acteur-réalisateur de maintenir une approche oblique, d'en révéler le moins possible, donne parfois au film les allures d'un court métrage trop long et pas assez élaboré, en dépit d'un sujet très consistant. Les comédiens sont en revanche tous remarquables.
La critique complète est disponible sur le site Variety
(critique cannoise) Le film n'est pas aussi fort que son sujet, le cinéaste forçant la note mélodramatique. L'acharnement contre Yuko et ses proches finit par sembler mécanique et unilatéral.
Toute en intériorité, Fusako Urabe, l'actrice principale, porte la douleur et l'incompréhension de son personnage sur ses épaules. Mais rien à faire, l'exercice est trop froid pour que l'on puisse vraiment partager sa douleur.
(critique cannoise) Tant dans son sujet que dans son traitement, le réalisateur japonais semble en quête d'un radicalisme un peu trop poussif (...) l'exercice est trop froid pour que l'on puisse vraiment partager sa douleur.
Rapidement, la sécheresse de [la] mise en scène nous laisse au bord de cette histoire qui s'avère ennuyeuse, faute de réellement évoluer. (...) Lourd, pénible et assez vain.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
(...) Masahiro Kobayashi ne conserve pas seulement l'acharnement absurde contre les victimes. Il déroule d'une manière qui évoque Mizoguchi, le processus selon lequel la pire violence sociale sature l'espace et le récit (...)
Chronic'art.com
(critique cannoise) Enorme claque contre l'establishment japonais (...) le film dissèque habilement la psychologie des foules et toutes formes de conditionnement social.
Elle
C'est un film qu'il faut voir car il montre une réalité à la fois taboue au Japon et extravagante pour des Occidentaux.
L'Humanité
Bashing est bien plus qu'une amende honorable.
L'Humanité
(critique cannoise) (...) du reportage brut de décoffrage (...) un film étonnamment moderne dans sa facture, renouant par ailleurs avec la grande tradition des films d'intervention sociale.
Le Monde
(critique cannoise)Disciple de l'Agnès Varda de Sans toit ni loi, son auteur puise dans la violence du réel de quoi alimenter sa colère contre les désengagements mesquins. Sobrement, et pour la gloire discrète des bénévoles entêtés.
Positif
Ce concentré de malheur a bien sûr valeur de parabole, mais son enchâssement dans un regard très documentaire lui évite toute sécheresse formelle, comme en témoigne la conclusion très émue du finale.
Chronic'art.com
"Bashing" a le mérite de ne pas rabâcher l'imagerie d'un Japon de cerisiers.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
Le problème vient de ce que le film ne réussit pas par la mise en scène, trop mécanique, trop appliquée à susciter l'émotion, à la dépasser (...)
Le Monde
Au bout du compte, ce ne sont plus les raisons de l'ostracisme qui comptent, juste son mécanisme, mis en scène d'une manière à la fois réaliste (caméra portée, lumière naturelle, décors d'une banalité écrasante) et fruste.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
A vouloir s'inscrire avec obstination dans le réel, "Bashing" perd un peu de sa complexité et écourte l'étendue de son prometteur champ de réflexion.
Libération
Intransigeant, mais aride (...)
Première
Kobayashi filme cette agression sociale au scalpel. Et dénonce une lâcheté nippone dont il suggère, au passage, qu'elle s'exerce volontiers à l'égard d'autres minorités.
Score
(...) quand Kobayashi filme cette situation intolérable dans un climat glaciaire (...) un inconfort s'installe, bloquant l'empathie qu'on pouvait éprouver pour l'exceptionnelle performance d'une comédienne toute en fureur intériorisée mais trop étouffée.
The Hollywood Reporter
(critique cannoise) Les personnages créés par Kobayashi sont mémorables, et les comédiens livrent de remarquables performances (...) Mais l'approche oblique du cinéaste empêche le film de réaliser son potentiel (...) Trop de questions restent sans réponse, ce qui devrait laisser les spectateurs insatisfaits.
TéléCinéObs
Un sujet d'une force extrême, peut-être trop pointu pour susciter l'identification, mais traité avec une rigueur et une violence implosive qui donnent autant à penser qu'à ressentir.
Télérama
(critique cannoise) (...) il y passe, parfois, le mal-être d'une personne rejetée, mais le refus de construire ce désarroi en scènes et dialogues articulés finit par diluer l'intérêt. On le mesure a contrario à la fin du film, plus réussie (...)
Variety
(critique cannoise)La volonté de l'acteur-réalisateur de maintenir une approche oblique, d'en révéler le moins possible, donne parfois au film les allures d'un court métrage trop long et pas assez élaboré, en dépit d'un sujet très consistant. Les comédiens sont en revanche tous remarquables.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Libération
(critique cannoise) Le film n'est pas aussi fort que son sujet, le cinéaste forçant la note mélodramatique. L'acharnement contre Yuko et ses proches finit par sembler mécanique et unilatéral.
MCinéma.com
Toute en intériorité, Fusako Urabe, l'actrice principale, porte la douleur et l'incompréhension de son personnage sur ses épaules. Mais rien à faire, l'exercice est trop froid pour que l'on puisse vraiment partager sa douleur.
MCinéma.com
(critique cannoise) Tant dans son sujet que dans son traitement, le réalisateur japonais semble en quête d'un radicalisme un peu trop poussif (...) l'exercice est trop froid pour que l'on puisse vraiment partager sa douleur.
Télérama
Masahiro Kobayashi ne donne aucune clé (...) le refus de construire [le] désarroi en scènes et dialogues articulés finit par diluer l'intérêt.
aVoir-aLire.com
Rapidement, la sécheresse de [la] mise en scène nous laisse au bord de cette histoire qui s'avère ennuyeuse, faute de réellement évoluer. (...) Lourd, pénible et assez vain.