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    Three times
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    42 critiques spectateurs

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    BabsyDriver
    BabsyDriver

    80 abonnés 816 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 avril 2007
    Hou Hsiao-Hsien, toujours dans son style plaisant, réalise trois films sur l'amour : celui qu'on n'ose pas dévoiler (1911), celui, timide, qui passe d'abord par les sentiments (1966), et celui, d'abord physique, dans lequel la communication et les sentiments n'existent plus qu'à travers des SMS (2005). J'ai adoré les deux premières époques, très bien filmées et très touchante. J'aurais bien donné quatre étoiles si l'année 2005 ne venait pas tranché si brutalement par la mise en scène avec le reste du film. Mais ça reste un très beau film sur l'amour et Hou Hsiao-Hsien me plaît encore une fois...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 novembre 2006
    l'idée qu'à eu le réalisateur de filmer 3 histoires, différentes certe, mais qui traitent du meme theme donne l'impression d'une approche documentaire et fait que le spectateur dévore des yeux ce film cru comme il est sans plus, mais c'est finalement l'incroyable justesse du sénario et la délicatesse du jeu des acteurs qui nous fileront des élements de synthése et c'est finalement aussi l'amour qui sauvera le film, 3 fois.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Que dire ? Un film dont l'idée m'intéressait, et que je suis allée voir hier soir. La période 1966 relève du génie : partie où les dialogues sont presque absents, mais où plus que l'essentiel est suggéré : tout est dans dans les non-dits, les regards, les sourires un peu génés, les gestes, bref, une période dont la pudeur émeut et rend nostalgique. La péride 2005 décrit parfaitement le rapport absurde que les gens ont entre eux à présent, les univers décalés, la volonté de capter le présent, de le vivre pleinement sans penser aux conséquences que cela provoquera car l'on sent que notre vie nous échappe. Cependant, il s'agit d'une période pessimiste où l'on a l'impression d'observer des corps sans âme ni raison. Une période où les pulsions nous guident et nous définissent. Si on n'en restait là, le film serait parfait. Malgré tout, quel dommage d'intercaler entre ces deux périodes tellement réussies, la période 1911, où, au départ, le muet amuse et surprend puis lasse, endort, ramollit l'attention mise en éveil lors de la partie précédente. La période 1911, même si les décors et les costumes sont somptueux, n'arrive pas à nous capter comme le font les 2 autres : la lenteur est insuportable, ainsi que la musique qui est censée remplir le vide sonore : ça alterne entre "mélodie" au piano digne d'un ascenseur et chant hideux qui a provoqué chez moi un énorme fou rire. Cette partie gagnait réellement à être moins longue : pour preuve, 6 personnes ont quitté la salle à la moitié de celle-là. Vraiment, cela est plus que regrettable car ce film, qui avait tout pour faire un chef-d'oeuvre s'auto-détruit inutilement. Maintenant, à vous de vous en faire une idée.
    JamesDomb
    JamesDomb

    102 abonnés 1 061 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    D'accord les acteurs sont très beaux, la photographie est un vrai régal...mais quel ennui ! Trois histoires d'amour situées à trois époques différentes mais creuses et vides d'intéret. Le premier volet de ce triptyque est peut-etre celui qui retiendra le plus l'attention avec une osmose parfaite entre l'image et la sublime musique des Platters (Smoke gets in your eyes) et surtout celle des Aphrodite's Child (Rain and tears). L'épisode de l'année 1911 pendant la période troublée de l'histoire de Taiwan (annexée par le Japon) est originale dans sa forme (retour au cinéma muet) mais alors on lutte pour ne pas s’endormir...Quant à la troisième partie, celle de nos jours à Taipei elle est simplement soporifique et finit de plomber le film. Le couple d'acteurs Shu Qi et Chang Chen est impeccable et très beau dans chacun des triptyques. Le romantisme de la première partie m'a le plus interpellé (on pense à Wong Kar Wai) et je n'ai pas du tout aimé le theme du poids des traditions de la deuxième partie et celle de la liberté des moeurs de la troisème partie. Une beauté formelle indéniable mais, comme d'ailleurs j'avais pensé pour 2046, où la forme prend le pas sur le fond. Le perfectionnisme (comme Wong Kar Wai) de la réalisation d’Hou Hsiao-Hsien détruit souvent toute sensibilité et sentiments et je suis quasiment resté indifférent aux histoires durant plus de deux heures (par conséquent très longues).
    pijonico
    pijonico

    54 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    L'avantage d'un somnifère c'est qu'ensuite on se glisse dans son lit bien au chaud... là on est obligé en plein hiver de se rhabiller et d'affronter la nuit glaciale....
    Honnêtement, pour trouver ça bien, il faut vraiment être snob, parce que trouver génial un boule de billard qui roule,ou sidérant un épisode muet, c'est quand même à se demander ?...
    La beauté des images ? ... le jeu des comédiens ?....
    Bon, disons que je regrette beaucoup le prix des billets...
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Une approche très originale (les deux mêmes acteurs dans trois histoires sentimentales à trois époques différentes) pour un film très esthétique et assez émouvant. Dommage que j'ai trouvé la deuxième partie un peu longue et pas facilement compréhensible, cela a pas mal altéré ma vision de l'ensemble, d'où cette note un peu sévère.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Pourquoi le cinéma asiatique arrive-t-il à nous sortir de tels bijoux de poésie ? Trois temps, trois époques, trois façon d'aborder l'amour. On se laisse bercer par la lenteur de ces trois tranches de vie, par ces trois couples, chacun nous touchant à leur façon. D'ailleurs les deux acteurs sont tout bonnement parfaits. Mention spéciale à Shu Qi, impressionnante, particulièrement dans le panneau contemporain.
    SpiderBaby
    SpiderBaby

    43 abonnés 619 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 août 2013
    Je le confesse j'ai eu du mal à écarquiller les yeux tout le long du film, manquant de me décrocher la mâchoire, consultant ma montre plusieurs fois par minute, tant le temps parait triplement se dilater à la vue de "Three Times".
    C'est pas bon signe me diriez vous. Pourtant, je n'ai pas quitté la salle avec une impression négative. Il y avait quelque chose d'envoûtant dans cette berceuse.
    Et si je manquai de connaissances historiques pour pleinement apprécier la seconde partie, la plus ambitieuse mais aussi la plus soporifique -prévoyez une boîte de vitamines C à portée de main ou shoutez vous au café avant la projection- la troisième m'a davantage touché, pour bien saisir l'air de notre temps. Un temps où de plus en plus, on communique, se dévoile, par le biais de textos et autres messages électroniques.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Avec FreeZone voila le film qui m'a donné envie de sortir de la salle tant c'est long et ennuyeux!
    La première partie et 3ème passent encore mais que dire de la 2ème! est ce le muet ou l'inaction? Meme les sentiments n'y sont pas pour moi.
    Marc H
    Marc H

    61 abonnés 508 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    bien meilleur que le décevant millinium manbo, ici le casting fait un sans faute, le réalisateur livre un film interessant bien que moyennement rythmé, un scénario mignon sans plus...moyen mais original et esthétiquement excellent...chouette, quoi
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    J'aurai voulu aimer mais je n'ai pas pu.
    Pourtant Hou Hsiao-Hsien m'a toujours intéressé. Mais là, c'est fade. Je ne suis rentré que dans la troisième partie. Le problème n'est pas dans la façon de filmer, mais c'est dans ce qu'il fait du film.
    Le second volet à ce titre est le plus facilement et objectivement critiquable. On ne voit vraiment pas l'intérêt de filmer en muet sans en respecter les conventions, par ailleurs, le retour au parlant à la fin n'est pas motivé. Est-ce un film sur l'absence de motivation?

    Sauf à être de mauvaise foi et défendre justement cette non-motivation comme un choix... on se dira que pour cette fois, HHH s'est planté.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Difficile de faire sujet plus universel que celui de l'amour. Chaque auteur a une façon à lui de le montrer et Hou Hsiao Hsien en choisit 3. Idée interressante l'amour vu sur un période grosso modo de 100 ans dans l'histoire de Taïwan. Autre bonne idée, garder le même couple d'acteur. Ce qui prouve que Shu Qi vaut bien mieux que Le transporteur film dans lequelle elle fut révélée en France. Il ya donc clairement 3 films dans ce film et forcément il ne sont pas tous aussi reussi. Ma préférence va pour le premier qui se passe dans les années 60. La rencontre entre un homme et une femme séparé par le service militaire. Une histoire très touchante, très belle et très reussie. Le tout portée par la magnifique musique de Rains and tears.
    En revanche la deuxième partie m'a beaucoup moins emballé. Est ce le fait que l'histoire se soit politisé et quel e contexte de la politique taiwanaise en 1911 me depasse ou que le film devienne muet mais j'ai beaucoup moins accroché. Malgré une musique magnifique et une très belle photo la deuxième partie m'a déçue. Deception aussi mais modéré sur la troisième partie. Là c'est un triangle amoureux auquel on assiste. L'histoire est moins touchante mais elle est forte. Au final c'est une partie passionante où Shu Qi est magnifique !
    L'une des choses que l'on remarque au cours de ces époques est l'evolution de la femme. Attendante son homme en 1911, à égalité en 1966 et étant le centre de l'histoire de 2005. Finalement ce film nous montre aussi tout le talent d'un grand cineaste, un grand auteur. Le film est donc très reussi, magistralement interprété et aussi beau par son propos que par ses images. Love is all !
    Cinephille
    Cinephille

    154 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Je n'ai jamais réussi à crier au génie à propos de HHH. Ce ne sera qu'une fois de plus. Le deuxième épisode qui se passe en 1911 est le plus intéressant à tous points de vue, esthétique comme historique. Les deux autres sont dans l'air du temps quant à l'esthétique, la mise en scène ou la situation choisie. Et ce parti-pris des poncifs de chaque époque est une des faiblesses du flm. Ca n'est pas déagréable mais ça s'oublie bien vite.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Trois temps, trois histoires differentes mais un même thème: l'amour. C'est un beau film que nous livre Hou Hsiao Hsien grâce à un exercice de style cinématographique. En effet le film est composé de trois courts métrages se deroulant à des époques différentes, on a l'impression que chacun de ces petits films a été tourné à l'epoque où il se deroule (c'est à dire 1911, 1966 et 2005)la peinture des sentiments semble coller à celle de l'époque ainsi que la maniere de les filmer (par exemple sans prise de son pour celui de 1911). On a pu reprocher à ce film une certaine lenteur, cependant la qualité esthétique du film, la poésie qu'il dégage, la justesse de la musique adaptée suivant les périodes et surtout le jeu excellent des acteurs, en particulier Shu Qi qui est eblouissante ( on se demande pourquoi elle n'a pas obtenu la palme de l'interprétation féminine) nous transporte comme sait si bien le faire le cinéma asiatique. bref un film tout simplement beau sur un sentiment universel et eternel l'amour et le film nous montre bien l'evolution de ce sentiment à travers le temps.
    Francisco G
    Francisco G

    2 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    D'un ennui mortel ! Pas de dialogue et une musique stridente et répétitive qui tappe vite sur les nerfs.
    Une étoile parce que la photographie est très bonne. Quoi que trop précieuse.
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