Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Emmanuel Burdeau
Rien moins qu'une fantaisie, l'anachronisme de Three Times convie donc à retraverser l'histoire du cinéma en suivant un chemin qui irait du voir au lire.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
L'Express
par Laurence Liban
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Jean Roy
Avec ces trois tableaux, qui sont comme un précipité de l'ensemble de son oeuvre, Hou prouve une nouvelle fois son immense talent. D'une sensualité exacerbée, grâce au talent des comédiens mais aussi par la magie d'une caméra qui scrute avec envie les personnages, et d'une musique faisant appel aux airs alors en vogue, le film se déploie magistralement sous nos yeux confondus.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Sans accorder aux palmarès plus d'importance qu'ils n'en ont, c'est à se demander ce qui a conduit les jurés cannois à négliger ce chef-d'oeuvre.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) la lecture la plus littérale qu'on puisse faire du film, qui établit, pour chaque époque, la nature du rituel présidant à la seule rencontre qui permet au genre humain de se survivre : celle d'un homme et d'une femme.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Monde
par Thomas Sotinel
(critique cannoise) (...) chacune des parties de Three Times est un film à part entière, avec sa couleur, son tempo, sa manière. Et pourtant Three Times est plus que l'addition de ces parties, aussi admirables soient-elles, c'est un grand film, plus que cohérent, harmonieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par O. D. B.
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Philippe Azoury
HHH fait jouer les trois époques par le même couple d'acteurs au glamour charnel ultime, le Belle et le Beau, Shu Qi et Chang Chen. Il y a une logique à cette permanence des amants, à cette éternité émotive. Car il en va du temps HHH comme des plaques tectoniques : il glisse.
Libération
par Philippe Azoury, Didier Péron et Olivier Séguret
(critique cannoise) Ce qui fascine complètement dans ce film, c'est précisément que Hou Hsiao Hsien est passé dans un au-delà de la maîtrise. Les chefs-d'oeuvre (...) ont été pondus à mi-parcours, vers les 40-50 ans. Le public conquis (...) il ne craint pas de le désorienter (...)
MCinéma.com
par Aurélien Allin
(critique cannoise) Ce qui aurait pu devenir un exercice pompeux et cliché est en fait une fascinante réflexion charnelle et psychologique (...) Le tout rehaussé par une mise en scène remarquable (...) et un duo d'acteurs (...) hautement sensuel et retenu.
Positif
par Alain Masson
Le sublime ? Ces deux mains qui se cherchent, au dénouement de la première époque, donnent l'expression la plus simple et la plus intense, la plus émouvante, d'un commencement amoureux.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Olivier De Bruyn
Ensorceleur, Hou Hsiao-Hsien signe une sorte de chef-d'oeuvre de sensualité et d'incarnation de ses belles idées formelles.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
Fidèle à ses obsessions, Hou Hsia-Hsien nous prend une nouvelle fois au piège de la beauté de Shu Qi, sa muse depuis "Millenium Mambo".
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jacques Morice
(...) saisir chaque situation au présent, faire en sorte qu'un instant de 1911 soit aussi intense et vrai qu'un autre d'aujourd'hui, nul autre que Hou Hsiao-hsien ne pouvait accomplir ce geste avec autant d'acuité et de réserve délicate.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Télérama
par Louis Guichard
(critique cannoise) Outre la grande beauté plastique intrinsèque de chaque partie, le film offre un subtil système d'échos aux oeuvres antérieures du cinéaste (...) et reprend l'émouvante poursuite de la mémoire en fuite, du présent insaisissable et de l'avenir impossible (...)
Zurban
par N.T. Binh
Le résultat est stupéfiant (...) fascinant.
Fluctuat.net
par Hélène Raymond
(...) le cinéaste maintient intacte pour le spectateur le plaisir de la durée et la surprise de la succession des plans, tout entière contenue dans la puissance plastique du rythme et des images (...)
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Zurban
par Véronique Le Bris
(critique cannoise) Très inspiré dans les séances historiques, Hou Hsiao Hsien recrée avec talent les épisodes 1911 et 1966 (...) Et même si le dernier tiers sur la brutalité actuelle est moins convaincant, l'ensemble reste magnifique.
Brazil
par Mathieu Beaudou
(...) tableaux sensoriels successifs, en touches impressionistes, qui mises bout à bout, révèlent les profondeurs du récit. (...) On entre alors dans un état cotonneux et méditatif propice à une imprégnation longue durée des images bien au fond du cortex.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Shu Qi est de tous les plans ou presque, et quand elle n'est pas là cherchez bien, vous la verrez en photo. Boulimie jolie qui fait de "Three times" une longue extase photogénique. Une proposition, pas la plus passionnante, de cinéma luxueux.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Elle
par Anne Diatkine
Trois histoires d'amour fragmentées qu'en apparence rien ne relie, sauf les acteurs. Il faut se laisser aller à un état de rêverie pour les apprécier.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Fluctuat.net
par Sophie Berdah
(...) certains [fans] regretteront les silences et la pudeur dont ses premiers films étaient enveloppés (...) Mais servie par une équipe si confondante (...) Emmanuelle Bercot continue de gagner, elle, en maturité.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Ouest France
par La rédaction
Des images soignées jusqu'à la sophistication, un formalisme travaillé pour chaque époque. Le cinéma de Hou Hsiao Hsien est léché et exigeant. Mais à la longue il nous laisse à l'écart.
Score
par Julien Welter
Hou Hsiao Hsien avance avec trop de satisfaction dans ce film concept. Sûr de lui, il force à la contemplation plus qu'il ne séduit, et finit par agacer.
La critique complète est disponible sur le site Score
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Si incontestablement le réalisateur instille une sensualité extrême et baigne son récit dans une atmosphère élégante (...) il n'en reste pas moins que le récit est plombé par l'épisode 1911 qui, sous l'influence du cinéma muet, peine singulièrement à retenir l'intérêt.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Cahiers du Cinéma
Rien moins qu'une fantaisie, l'anachronisme de Three Times convie donc à retraverser l'histoire du cinéma en suivant un chemin qui irait du voir au lire.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Avec ces trois tableaux, qui sont comme un précipité de l'ensemble de son oeuvre, Hou prouve une nouvelle fois son immense talent. D'une sensualité exacerbée, grâce au talent des comédiens mais aussi par la magie d'une caméra qui scrute avec envie les personnages, et d'une musique faisant appel aux airs alors en vogue, le film se déploie magistralement sous nos yeux confondus.
L'Obs
Sans accorder aux palmarès plus d'importance qu'ils n'en ont, c'est à se demander ce qui a conduit les jurés cannois à négliger ce chef-d'oeuvre.
Le Monde
(...) la lecture la plus littérale qu'on puisse faire du film, qui établit, pour chaque époque, la nature du rituel présidant à la seule rencontre qui permet au genre humain de se survivre : celle d'un homme et d'une femme.
Le Monde
(critique cannoise) (...) chacune des parties de Three Times est un film à part entière, avec sa couleur, son tempo, sa manière. Et pourtant Three Times est plus que l'addition de ces parties, aussi admirables soient-elles, c'est un grand film, plus que cohérent, harmonieux.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
HHH fait jouer les trois époques par le même couple d'acteurs au glamour charnel ultime, le Belle et le Beau, Shu Qi et Chang Chen. Il y a une logique à cette permanence des amants, à cette éternité émotive. Car il en va du temps HHH comme des plaques tectoniques : il glisse.
Libération
(critique cannoise) Ce qui fascine complètement dans ce film, c'est précisément que Hou Hsiao Hsien est passé dans un au-delà de la maîtrise. Les chefs-d'oeuvre (...) ont été pondus à mi-parcours, vers les 40-50 ans. Le public conquis (...) il ne craint pas de le désorienter (...)
MCinéma.com
(critique cannoise) Ce qui aurait pu devenir un exercice pompeux et cliché est en fait une fascinante réflexion charnelle et psychologique (...) Le tout rehaussé par une mise en scène remarquable (...) et un duo d'acteurs (...) hautement sensuel et retenu.
Positif
Le sublime ? Ces deux mains qui se cherchent, au dénouement de la première époque, donnent l'expression la plus simple et la plus intense, la plus émouvante, d'un commencement amoureux.
Première
Ensorceleur, Hou Hsiao-Hsien signe une sorte de chef-d'oeuvre de sensualité et d'incarnation de ses belles idées formelles.
TéléCinéObs
Fidèle à ses obsessions, Hou Hsia-Hsien nous prend une nouvelle fois au piège de la beauté de Shu Qi, sa muse depuis "Millenium Mambo".
Télérama
(...) saisir chaque situation au présent, faire en sorte qu'un instant de 1911 soit aussi intense et vrai qu'un autre d'aujourd'hui, nul autre que Hou Hsiao-hsien ne pouvait accomplir ce geste avec autant d'acuité et de réserve délicate.
Télérama
(critique cannoise) Outre la grande beauté plastique intrinsèque de chaque partie, le film offre un subtil système d'échos aux oeuvres antérieures du cinéaste (...) et reprend l'émouvante poursuite de la mémoire en fuite, du présent insaisissable et de l'avenir impossible (...)
Zurban
Le résultat est stupéfiant (...) fascinant.
Fluctuat.net
(...) le cinéaste maintient intacte pour le spectateur le plaisir de la durée et la surprise de la succession des plans, tout entière contenue dans la puissance plastique du rythme et des images (...)
Zurban
(critique cannoise) Très inspiré dans les séances historiques, Hou Hsiao Hsien recrée avec talent les épisodes 1911 et 1966 (...) Et même si le dernier tiers sur la brutalité actuelle est moins convaincant, l'ensemble reste magnifique.
Brazil
(...) tableaux sensoriels successifs, en touches impressionistes, qui mises bout à bout, révèlent les profondeurs du récit. (...) On entre alors dans un état cotonneux et méditatif propice à une imprégnation longue durée des images bien au fond du cortex.
Chronic'art.com
Shu Qi est de tous les plans ou presque, et quand elle n'est pas là cherchez bien, vous la verrez en photo. Boulimie jolie qui fait de "Three times" une longue extase photogénique. Une proposition, pas la plus passionnante, de cinéma luxueux.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
Trois histoires d'amour fragmentées qu'en apparence rien ne relie, sauf les acteurs. Il faut se laisser aller à un état de rêverie pour les apprécier.
Fluctuat.net
(...) certains [fans] regretteront les silences et la pudeur dont ses premiers films étaient enveloppés (...) Mais servie par une équipe si confondante (...) Emmanuelle Bercot continue de gagner, elle, en maturité.
Ouest France
Des images soignées jusqu'à la sophistication, un formalisme travaillé pour chaque époque. Le cinéma de Hou Hsiao Hsien est léché et exigeant. Mais à la longue il nous laisse à l'écart.
Score
Hou Hsiao Hsien avance avec trop de satisfaction dans ce film concept. Sûr de lui, il force à la contemplation plus qu'il ne séduit, et finit par agacer.
aVoir-aLire.com
Si incontestablement le réalisateur instille une sensualité extrême et baigne son récit dans une atmosphère élégante (...) il n'en reste pas moins que le récit est plombé par l'épisode 1911 qui, sous l'influence du cinéma muet, peine singulièrement à retenir l'intérêt.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com