Derniers Avis : Jean-Philippe - Page 8

un bon film meritant 3 etoiles... j en mets 5 rien que pour contrebalancer les critiques nazes et assassines sous pretexte que c 'est Johnny... La betise des francais...vaste sujet !

J'ai vraiment bien rigoler, avec cette savoureuse comédie, qui rend hommage au plus grand rockeur de France...

C’est un des exemples parfaits de films qui ne tiennent que par le scénario et la renommée des acteurs. Nul besoin de parler de notre Johnny Halliday, l’idole des jeunes de 3 générations, rien que pour ses fans ce film mérite d’être vu. Luchini est excellent comme d’habitude, les autres ne comptent pas ou presque. C’est drôle, on rit franchement et souvent, ce n’est qu’à la deuxième vision que la mauvaise mise en scène saute aux yeux ainsi que la fin qui est bâclée. Quel dommage de ne pas avoir mieux exploité cette idée génialement cinématographique. Pourtant Laurent Tuel a du talent, il le montre par moments et le démontre lors de la séquence à Quiberon lorsque Johnny chante la belle chanson de Michel Berger ‘’Tennessee’’. Une bonne surprise en tous cas.

Leur complicité et leur foi dans une aventure don quichottesque fait la force du film (sans ces deux-là, il serait tout à fait terne) ; c’est malheureusement le seul intérêt de Jean-Philippe, sa seule valeur ajoutée et sa seule source de distraction.

Un film très bien mais pas assez connu malheureusement.

Super ! Je ne comprend pas ces notes trop basses. On a la une super idée, bien menée, fallait vraiment y penser une France sans Johnny ! Je n'imagine pas un monde sans les Beatles.. Après le visionnage du film, on a une toute autre image du grand Rockeur français. Ceux qui n'aiment pas ce film sont en fait des détracteurs qui ne se rendent pas compte de tout ce qu'on doit à Johnny.
Franchement, il a peut être été ridicule et beauf par moments, mais ça reste un putain d'interprète, un géant de la scène français, une bête, sans lui, pas de Rock français ! On lui doit beaucoup, et j'apprécie beaucoup cette comédie hyper drôle, a changée radicalement l'image que j'avais de ce grand interprète.

Non moi j'sui désolé, mais l'idée du film est géniale, pas beaucoup exploitée mais bien menée avec des acteurs géniaux également et de l’humour à souhait ! Ce qui m'a fait mettre 4 étoiles aussi, c'est la fin. Mon dieu quelle fin grandiose ! Le Stade de France ça fait rêver ! L'esprit Rock est 100% là, un long-métrage qui glorifie Johnny et c'est réussi. Il a de bonnes chansons quand même ! Et je dis ça en tant qu'ado attardé de 18 ans qui pensais il y a encore quelques jours que Johnny était un beauf, sans plus qu'un chanteur qui n'a rien fait de spécial.
C'est complément faux, on lui doit beaucoup, allez écouter un peu ses concerts et allez surtout regardez ce film qui ne manquera pas de nous faire rêver, et de nous faire rire.

Je le conseille !

Johnny Hallyday ... Le pionnier du Rock en France et la seule vedette capable de remplir le Stade de France plusieurs soirs de suite. Avant de voir ce film, Johnny pour moi était un beauf prétentieux qui prétendait faire du Rock. Il montre avec ce film son auto-dérision, son sens de l'humour et son jeu d'acteur qui n'est pas mauvais il faut le dire ! Et si Jean-Philippe Smet n'avait jamais été Johnny Hallyday ? Fabrice, un fan de "l'idole des jeunes" incarné par Luchini, se réveille dans un monde où Jean-Philippe Smet spoiler: a eu un accident de Vespa avant d'aller a sa première télé et
n'a donc jamais connu le succès. Il cherche a le retrouver, en vain. C'est en accompagnant sa fille a l'Olympia (ceux qui l'ont vu verront de quoi je parle) que Fabrice rencontre son idole spoiler: chantant My Very First Love aux toilettes.
spoiler: Il le rencontre et cherche a le faire devenir qui il aurait dut être. Bernard Frédéric (Benoit Poelvoorde) a le droit a un caméo qui m'a fait sourire, j'avais adoré Podium.

Un bon film familial, on rit et le tandem Luchini-Johnny nous fait obligatoirement sourire. On passe un très bon moment.

j'ai passé un bon moment avec ce personnage qui se bat pour rétablir son monde réel

Un hymne à Johnny qui le méritait bien, icône de toute une nation depuis plus de quarante ans. Laurent Tuel a choisi le fantastique pour étayer son propos. Que deviendrait son plus grand fan si un jour il se réveillait et que Johnny n’avait jamais exister pour les autres. C’est ce qui arrive à Fabrice Luchini qui est ici troublant de sincérité et de naïveté communicatives. D’abord sonné, il choisit de reconstruire le mythe à partir de Jean-Philippe Smet qui lui existe bien. Comme il connaît toute l’histoire et les chansons de Johnny il va transmettre ce savoir à JP Smet qui a vu sa carrière contrariée à cause d’un accident de scooter alors qu’il se rendait à un radio crochet laissant la célébrité à un autre. Qui d’autre que Johnny pour jouer Smet ? Le tandem entre les deux hommes est touchant. Le rocker fatigué devenu gérant d’un bowling se laisse progressivement attendrir devant la foi indestructible de ce type de 60 ans qui semble connaître une partie de son passé mieux que lui. Ensemble ils vont nous montrer à l’envers que : « la valeur n’attend point le nombre des années ». Le propos est généreux à souhait. Luchini livre une prestation jubilatoire qui reste à ce jour sa meilleure car pour une fois il ne finit pas par agacer à force de volubilité. Il faut le voir entonner à tue tête les airs de Johnny alors qu’un malabar le menace de ses poings. A noter une prestation amicale de Caroline Cellier qui reste jolie malgré les affres du temps et des blessures de la vie et une apparition de Benoît Poelvorde en sosie de Cloclo.

Jean-Philippe : Une comédie franchement sympathique et amusante a regardé. Avec un scénario astucieux et assez bien tourné et des personnages délirant et drôle à suivre. Vraiment, on passe un bon moment et on rigole surtout. Déjà grâce au scénario assez original car il faut dire que l’idée de base est accroché et elle permet tous les gags et l’autodérision que on peut. Vraiment, j’ai très trouvé que l’idée était bonne : un fan absolu de Johnny Hallyday va tomber dans une dimension ou personne connais Johnny Hallyday, ou Johnny Hallyday n’a jamais était une star du Rock. Et il va essayer par tous les moyens de faire à Jean-Philippe Smet ce qui aurait du être depuis toujours : Johnny Hallyday. Et donc a ce moment la : les gags, situations cocasses et dialogues savoureux vont ce mettre en place et franchement : ça marche bien. Grâce aussi a l’énergie des acteurs : surtout Fabrice Luchini qui joue étonnamment bien son rôle de fan absolu, personnage assez délirant qui est vraiment sympa à suivre. Et aussi Johnny Hallyday qui n’est pourtant pas un acteur joue à merveille son rôle, avec autodérision et c’est ce qui marche : d’ailleurs, le duo marche à merveille. De plus on a le droit à une réalisation efficace et surtout une Bo forcement de Johnny Hallyday qui est vraiment excellente et on a le droit à un final juste énorme, avec un brin d’émotion (par contre la fin, fin : elle me va pas tellement, a cause de se souci de dimension…). Voila, une comédie divertissante et amusante. Que je conseille aux fans de Johnny Hallyday mais pas seulement, les autres pourrons aussi accoucher a cette comédie bien délirant et drôle.

J'ai vraiment bien rigoler, avec cette savoureuse comédie, qui rend hommage au plus grand rockeur de France...

L'idée de départ est bonne et la mise en image fonctionne très bien. Luchini est irrésistible et Johnny à la hauteur.

Fabrice n'est pas un fan de Johnny Hallyday. Non, il est le fan-étalon : il a une collection d'objets qui occupe une pièce entière de son pavillon, il a prénommé sa fille Laura, et connaît la biographie de son idole sur le bout des doigts. Alors, quand un soir un peu trop arrosé, il beugle du Johnny sous les fenêtres d'une brute, et qu'en réponse à son "Ta gueule !!!" il entonne "Quoi, ma gueule ?", rien d'étonnant à ce qu'il se retrouve à l'hosto. Sauf qu'à son réveil, personne ne connaît Johnny. Sa collection est devenue un musée de la canette de bière, sa fille se prénomme Marion, et l'idole des Français est un certain Chris Summer, une sorte de Jojo sans la légende. Il a l'idée de rechercher les Jean-Philippe Smet, mais s'il en trouve de tous les gabarits et de toutes les couleurs, aucun n'est celui qu'il cherche. Jusqu'à ce qu'il tombe par hasard sur le bon, devenu patron d'un bowling minable baptisé "L'Olympia".
Après un premier contact peu convaincant, Fabrice réussit à le persuader de le prendre comme manager, ou plutôt comme coach, avec une mission : transformer Jean-Philippe en Johnny, en le relookant de la coiffure au répertoire, en passant par les costumes de scène...
Dans un monde (le cinéma) où on peut entrer dans la peau de John Malkovitch en se glissant au fond du septième étage et demi, où un porte-avion peut être projeté cinquante ans en arrière par la seule grâce d'un orage magnétique, et où quelques bombinettes chiraquiennes suffisent à réveiller un tyrannosaure géant, pourquoi ne pas faire disparaître le dinosaure de la chanson française ? L'idée de base est excellente, ainsi bien sûr que celle de faire appel à Johnny pour jouer celui qui n'a pas été l'idole des jeunes. Mais souvent dans ce genre de film, la difficulté réside dans l'impossiblité à faire vivre la bonne idée sur la toute la durée d'un long-métrage. Et en voyant la bande-annonce qui résume parfaitement cette situation en deux minutes, ma crainte s'était renforcée.
Mais progressivement, et heureusement, le scénario se complexifie, introduisant des surprises malgré quelques clichés de rigueur (les réactions familiales, de l'incompréhension de l'épouse déjà vue dans "Podium", ou le rejet de la fille adolescente qui se transforme en admiration, remake du "Placard"...). Il y a même de beaux moments, comme la première fois où Jean-Philippe chante "Quelque chose de Tennessee" devant un Fabrice stupéfait de cette première interprétation tellement... Johnny.
Malheureusement, le dernier tiers du film ne tient pas les promesses du début, et non seulement le spectateur n'est plus surpris, mais surtout il peut légitimement être agacé par la prévisibilité du scénario et la platitude de la réalisation, et même la chute finale, encore une bonne idée, est gâchée par une emphase qui frise la boursoufflure...
Le film repose bien sûr aussi sur les prestation de Fabrice Lucchini et de Johnny Hallyday. Le premier est plutôt dans la retenue par rapport à ce qu'il a déjà fait, et cela donne plus d'explosivité à ses moments de rupture. Le second est dans un registre plus proche de "L'homme du Train" que de "Allumer le feu", ce qui correspond à ce personnage d'homme passé à côté de sa vie. A signaler un cross over avec "Podium", nous valant un nouveau récital de Benoît Poelvoorde qui concurrence Lucchini, ou l'apparition de Jean-Claude Camus dans le rôle de Jean-Claude Camus. Victime d'une volonté de plaire au plus grand nombre, ce film au propos inventif ne va pas au bout de son audace, et laisse donc un goût d'inachevé.
http://www.critiquesclunysiennes.com/

Une comédie sympathique quelque peu relative au destin où Fabrice Lucinni crève l’écran. Pas exceptionnel mais correct, on passe un bon moment. Johnny n’est, en plus pas mauvais en acteur !

Les interprétations de Fabrice Luchini en fan exalté et de Johnny Hallyday dans son propre rôle méritent le coup d'oeil. Les fans apprécieront de retrouver notre rocker national sur scène à la fin du film. L'histoire est astucieuse. Dans une dimension parallèle, Luchini découvre un monde sans Johnny Hallyday. En effet, dans le film, Jean-Philippe Smet est un patron de bowling qui a suivi un destin différent de "l'idole des jeunes" tel que nous le connaissons. Luchini va user de sa personne et de sa mémoire pour rétablir la réalité. Il est regrettable que la réalisation ne soit pas aussi bonne que les idées. Ce film manque de dynamisme et de seconds rôles un peu plus consistants.