Derniers Avis : Jean-Philippe - Page 2

Un films qui partait d'un bonne idée, mais assez douloureux à regarder tout de même. Luccini en fait vraiment des tonnes, et ça devient vite insupportable. Après cela a au moins le mérite de rendre le jeu de Johnny reposant. J'avait déjà vu Yesterday auparavant, et du coup la comparaison n'est pas très flatteuse pour Jean-Philippe. Le déroulement des évènements est assez improbable et il faut accepter d'arrêter de réfléchir pendant une heure et demie. Mais bon, j'ai quand même tenu jusqu'au bout, donc ce n'était sans doute pas si horrible.

Sans être véritablement dans le rire constamment, je m'amuse à voir johnny Halliday jouer son propre rôle si on peut dire et qui lui est, manifestement, évidemment consacré et Fabrice Luchini, irrésistible, comme d'habitude. Le scénario est original se basant sur celle de retour vers le futur où on voyage dans un monde parallèle et qui donne un côté étrange où dans cette réalité a cause d'un accident de moto l'idole des jeunes n'est pas connu et est remplacé par un autre qui lui a prit l'opportunité d'aller chanter à sa place dans un télé crochet. Le twist finale est sympa où peut être c'est moi qui du coup était dans un autre monde.

Vu le 28/09/2021
Une comédie sympa basée sur la star Johnny Hallyday et qui mêle une comédie française avec un scénario emprunté à la trilogie "Retour vers le Futur" avec changement spacio-temporel et atterrissage pour notre héros Fabrice (joué par Fabrice Luchini) dans une réalité alternative où son idole n'existe pas.
Le film est sympa, il se laisse bien regardé même si je trouve Johnny peut convaincant dans ce rôle, on a l'impression qu'il est blasé, il se laisse convaincre petit à petit, sans trop y croire lui-même et il faut une suite d’imbroglio orchestrés par Fabrice pour que l star se retrouve sur la scène du stade de France.
Pour les fans de Johnny effectivement, ça peut être pas mal, on apprend notamment certaines choses sur ses débuts notamment son passage à Radio Cocktail. A noter également la présence d'autres célébrités dans ce film comme Antoine Duléry (Chris Summer), Benoit Poelvoorde ou encore Laetitia Hallyday.
A part ça, le scénario est tiré par les cheveux même si on passe parfois des moments sympas avec ce zébulon de Luchini

Le troisième long-métrage de Laurent Tuel, sorti en 2006, bénéficie d’une idée scénaristique particulièrement originale. A la suite d’un accident, un homme ordinaire (Fabrice Luchini) qui a pour idole Johnny (Johnny Hallyday), se retrouve dans un monde parallèle dans lequel le célèbre chanteur n’a jamais fait carrière. La rencontre improbable entre les deux acteurs donne lieu à plusieurs scènes drôles remplies d’autodérision. Malheureusement, l’histoire évolue avec trop de facilité pour finir par une happy-end très prévisible. Bref, un simple divertissement.

Jean-Philippe est une comédie franchement sympathique, qui marche très bien, notamment grâce à ses deux interprètes principaux.
C'est dans la distribution que repose la force du film. Pour cette comédie, comment rêver mieux que Fabrice Luchini et Johnny Hallyday en personnes ? Le rockeur, qui n'en est pas à son premier rôle au cinéma est plutôt juste dans son interprétation d'un Jean-Philippe Smet n'ayant jamais percé. Face à lui, Fabrice Luchini est toujours aussi génial, cette fois-ci en fan de Johnny complétement possédé. La complicité entre les deux (qui sont amis dans la vie) est vraiment palpable à l'écran.
Le pitch est très bon et rudement efficace : un fan de Johnny Hallyday se réveille dans un monde où la star n'a jamais éclos et va tout faire pour le retrouver et changer son destin. C'est complètement fou et très drôle.
Une comédie à voir.

Soyons honnêtes Johnny Hallyday est peut-être un grand chanteur et auteur-compositeur pour certains et honnêtement j'aime beaucoup certaines de ses chansons mais ce n'est pas un acteur. Comme dans ce film il doit jouer son propre rôle la plupart du temps cela est un trop gros problème pour lui, Son jeu est plat tout comme celui de Luchin qui n'est pas assez drôle pour tirer le public à travers ce scénario ennuyeux et prévisible bien que l'idée de base derrière ce film est assez intéressante. Si vous aimez Johnny ou Luchini vous pourriez apprécier ce film. Mais si nous voulons passer une soirée à rire ce ne sera pas le cas car il m'a fait glousser plusieurs fois mais jamais rire...

Le monde sans Johnny Hallyday, nous le connaissons depuis le 5 décembre 2017. Mais avant cette date, c'était difficile à imaginer. Fabrice Luchini interprète à merveille le fan de la star, prêt à tout pour retrouver son idole. Littéralement habité par les chansons du chanteur, il le mime en frôlant le ridicule. Johnny quant à lui réussit le tour de force de s'interpréter lui-même sans être vraiment tout à fait lui-même. Certes, nous qui l'avons connu depuis si longtemps, nous le reconnaissons, mais il est comme un ton en dessous, jusqu'à sortir progressivement de sa chrysalide. La scène de Tenessee est magnifique. Johnny y exprime son talent dès la première strophe, avec une simple guitare folk et quelques accords, sans chichis. Fabrice Luchini y exprime son émerveillement d'entendre cette voix si particulière. Ce n'est pas qu'un film pour les fans, chacun pouvant imaginer ce que serait le monde sans la star qu'il adule. C'est aussi un joli conte montrant les effets de chacune de nos décisions face aux événements sur le cours de nos vies.

Ce que nous dit Jean-Philippe, par l’organisation tripartite de sa structure, c’est qu’il ne saurait y avoir d’idole sans la vénération d’un fan qui, par la passion qu’il porte à son art et à sa personne, construit du mythique à partir de l’humain le plus similaire qui soit. Le fan apparaît comme le gardien d’un souvenir, mémoire vivante capable de réciter par cœur les textes tant de fois psalmodiés ou hurlés dans la rue ; il porte en lui cette étincelle capable d’embraser le public – à condition qu’elle soit jetée au bon moment –, une étincelle qui l’anime et contribue à faire de lui ou un fidèle ou un magicien qui trouve dans son adoration suffisamment d’énergie et de force pour, à son tour, devenir un mythe que des spectateurs s’arrachent. Le long métrage interroge de façon pertinente, sans grandiloquence, le pouvoir de résurrection dont dispose le fan ainsi que sa propension à se substituer à son modèle par l’appropriation qu’il se fait des textes et des mélodies. Nul hasard, par conséquent, si les noms de Fabrice Luchini et de Johnny Hallyday surgissent côte à côte lors du générique d’introduction ; que les deux hommes chantent côte à côte lors du générique de clausule. L’artiste et le fan sont côte à côte, le fan reçoit l’artiste et crée du mythe, s’élève en élevant autrui parce qu’il restaure ce lien essentiel qui l’unit à l’infini. En dépit d’une adhésion commune au chanteur un peu trop facile quand ce dernier monte sur la scène et allume le feu, le long métrage de Laurent Tuel offre à Johnny Hallyday une réflexion sur son statut d’icône, et au fan l’occasion de prendre conscience que la grandeur n’est pas l’apanage de l’être cru, mais qu’elle tient aussi et surtout à celui ou celle qui croit.

L'histoire est une idée géniale. Et le duo Luchini/ Halliday fonctionne très bien. Même si Johnny apparaît bien marqué par l'âge et plus près de la retraite que d'un come back... Luchini par contre est au sommet de son art.

J'ai beaucoup aimé ce film, qui sonne très juste. Je pense que tout un chacun s'est interrogé, au moins une fois, en peu en fantasmant, ce que sa vie aurait pu être si telle ou telle chose s'était passée différemment. C'est un peu ce que montre ce film, surtout à travers la vie de Johny Halliday, qui dans la réalité parallèle que ce film montre à l'écran, n'est pas une star mais quelqu'un comme n'importe qui, appartenant à la classe moyenne et habitant dans un petit pavillon de banlieue. Ce décalage avec la réalité que l'on connait (celle d'une immense star, peut-être l'une des plus grandes stars françaises de tous les temps) m'a beaucoup plus, et nous montre en définitive un Johny Halliday à visage humain. Ainsi, Jean Philippe Smeth n'en revient pas quand on lui annonce que dans une réalité parallèle il serait une immense star (qui le croirait à sa place) et il prend donc Luchini pour un doux dingue, avant de changer d'avis avec quelques réserves. Je précise que je ne suis pas du tout fan de Halliday, mais ça ne m'a pas empêché d'apprécier ce film, car celui-ci montre en définitive que même les stars sont des êtres humains comme vous et moi (je le savais déjà mais c'est bien de nous le rappeler de temps en temps)...

Je ne suis pas un fan de l'artiste mais c'est avec un grand plaisir que j'ai découvert Jean philippe. Fiction au scénario plutôt léger il faut l'avouer mais le duo Luchini johnny fonctionne bien, Luchini donne tout et semble être un véritable fan du chanteur dans la vraie vie. La dernière scène dans le générique de fin le prouve, c'est très émouvant, Luchini semble atteindre les sommets du plaisir en chantant avec Johnny. Johnny joue assez moyen, c'est vrai, il n'excelle pas vraiment dans en tant qu'acteur mais surprend en jouant son propre rôle, se parodiant parfois dans la dérision. Le film est émouvant, entrainant, c'est un plaisir de voir le chanteur jouer sa propre vie.

Je n'apprécie pas spécialement ce film dédié à Johnny. C'est une tentative de faire jouer un type qui n'est pas un acteur. Et ça se sent. C'est un chanteur et le voir dans un film jouer semble un peu forcé. Oui Johnny ne joue pas super bien. Et je ne lui en veut pas, simplement que bah ça dégrade ce truc. C'est pas très bien. On assiste à un film avec une musique pété level France 3 série du mercredi après-midi. Comble pour un film parlant d'un des chanteurs Francophone les plus influant. Et sans oublier ces personnages secondaires déléguer au rend de clichés à négliger. Et c'est vilain. Comment peut on faire un film crédible où il n'y a que deux personnages que l'on ai envie de regarder. Autrement si l'on omet Fabrice Luchini et Polevorde j'ai l'impression que l'on me fait une blague. Vraiment c'est bâclé, les gars ce n'est pas par ce que vous avez Johnny que tout est pépère et qu'il n'y a pas d'effort à faire. C'est décevant? Non, car c'est de la comédie simple qui est intéressante beaucoup moins pour ceux qui ne connaissent pas johnny. Et c'est mon cas.

Je ne le cache pas, je ne suis pas le plus grand consommateur de film français, je n'aime généralement pas ça. Mais là je dois admettre, que j'ai bien rigolé. Je n'ai pas eu de crampe au ventre de rire, mais tout de même, j'ai rie de bon coeur à quelques reprises. Bon, ok, Hallyday ne sera pas oscarisé pour un film comme ça, mais Fabrice lui rattrape le niveau. Le scénario, malgré sa simplicité reste sympa et par moment original. Motion spécial pour le final qui est pour le coup bien trouvé. Le film a aussi bien compris, contrairement à d'autre, qu'il ne faut pas trop tirer sur la corde, ce qui amène à un film pas trop long et ayant le nombre de gags suffisant et non envahissant. Bref, ce n'est pas la plus grande comédie, mais elle est bien plus efficace que beaucoup de film.

Une comédie qui a en elle quelque de chose de Tennessee, où Johnny se refait une autre vie. C'est incontestablement originale, plutôt sympathique et drôle. Chanson et histoire se mêlent habilement. Un vrai moment de fraîcheur, à condition d'avoir la volonté de voir Johnny autrement que comme le chanteur d'"Allumez le feu" mais plutôt celui de chansons plus profondes empreintes de mélancolie.

Fabrice un cadre moyen fan incontournable de Johnny Hallyday a construit sa vie autour de son idole au grand désespoir de sa femme et de sa fille Laura. Tout bascule lorsque après un malaise il se réveille dans un monde parallèle où Johnny Hallyday n'existe pas. Commence alors une quête effrénée pour retrouver son idole et lui redonner sa place. Voilà un film surprenant joué de façon inspirée par Fabrice Luchini dans le rôle du cadre moyen dont la vie est monotone et Johnny Hallyday lui même. Ce côté auto dérision ajoute une vraie sympathie à notre rockeur national et Fabrice Luchini en fait des tonnes dans son jeu et c'est ce que l'on attend de lui. On se laisse donc embarquer aisément par ce périple rocambolesque et attachant.