Jean-Philippe, voilà enfin une comédie française originale et stylée car il en manque de plus en plus de nos jours ! Il faut d'abord reconnaître que l'idée était assez osée, la rencontre entre un fan absolu et son idole dans un monde parallèle, cela ne s'était jamais fait avant à ma connaissance, ce concept marche très bien et on se laisse tout à fait prendre par ce film qui nous rappelle bien que c'est avant tout une comédie. Mais c'est surtout une histoire d'amitié et le duo Fabrice Luchini - Johnny Hallyday est tout simplement génial. Quelques scènes sont vraiment cool notamment la grande scène du stade de France et on remarquera quelques petits clins d'oeils très sympas comme l'amusante apparition de Benoît Poelvoorde. On rigole et on est totalement avec les personnages dans leur parcours original, Jean-Philippe est bien une comédie qui mérite les honneurs !
Petite comédie, portée par le numéro du super Fabrice Luchini, déchainé en fan de Johnny. L’idole des jeunes joue quant à lui la carte de l'auto-dérision et ça marche assez bien.
Le postulat de départ est basique mais génial, et de ce postulat Laurent Tuel tire un film à la fois très drôle et très touchant, porté par Fabrice Luchini survolté comme jamais dans son personnage de fan prêt à tout pour retrouver son idole. Truffé jusqu'à la gueule de références à la carrière et la vie de Johnny, le film suscite le rire presque à tous les plans, sans relâcher la pression un seul instant. Du très bel ouvrage qui n'est pas réservé aux seuls inconditionnels.
Une sympathique comédie originale et teintée d’autodérision sur notre « Johnny » national dont ce dernier parvient à nourrir son mythe. Pas hilarant mais cocasse. La fin est très inventive en tout cas.
Vu hier soir du Lundi 11 Décembre 2017 cela m’à fait ressentir une émotion assez particulière car il fut diffusé à la suite du décès d’un de ses 2 acteurs principaux, Jean-Philippe Smet alias Johnny Hallyday. J’avais déjà vu ce film y à quand même quelques années et le revoir en plus avec cette actu si particulière fut encore plus spéciale. J’avais adoré la première fois et cette seconde fois fut toujours aussi bonne car je me suis confirmé une première chose, Fabrice Luchini est réellement le Léonardo Dicaprio français. Autant dans sa façon d’interpréter que dans sa manière de parler et dans les moments de pur folie et bien c’est pareil un vrai fou mais c’est tellement bon. spoiler: Il faut dire par la suite que plusieurs instant auront été fort en émotion dont le premier est celui ou nos 2 héros se retrouve dans un bar avec animation karaoké, à cet instant on y voit en tant que figurante la femme de Johnny, Laéticia. Cette dernière jouant une cliente du bar mais ce qui est fort intéressant c’est que cette dernière est fortement sensible au ton de Johnny, comme s’il s’agissait d’une nouvelle rencontre entre les 2 tourtereaux.
spoiler: La deuxième est celle de la répétition en plein air de “On à tous quelque chose en nous de Tennessee�. A cet instant le temps est presque figé et presque poétique et de manière totale. J’avoue que j’ai pas été insensible pour le coup et surtout que Johnny ne la chantait pas comme de la ... Pour une presque première. Et puis bien sûr le final bien explosif au stade de France avec “le tube� de l’idole des jeunes “Allumez le feu� et une pyrotechnie numérique et effets lumineux dantesque. Autre fait très intéressant et ce sera ma grande phrase de fin c’est l’explication de pourquoi il n’est jamais devenu célèbre. En effet dans cette dimension parallèle ou Fabrice à atterri, Johnny à loupé son premier grand moment de début de célébrité en allant à ce fameux rendez-vous dans une émission de télé de jeune talent. Mais son premier grand moment sera donc au stade de France.
Puis sont réellement là mes derniers mots, Fabrice de retour dans vrai dimension. De retour au boulot et se rend compte qu’il à radicalement changé de statut. Ses collègue ne le voit plus comme le raté mais comme le manager de Johnny. Une comédie à la fois drôle et très émouvante qu’en au fait de la diffusion en lien avec une actualité extrêmement récente. A voir et à revoir sans aucune modération. Et comme dirait l’autre : “On à tous en nous, quelque chose de Johnny Hallyday. De son vrai Prénom et Nom, Jean-Philippe Smet�.
Bon film français à la gloire de la plus grande star française, qui joue plutôt bien d'ailleurs. Luchini est lui aussi très bon en fan inconditionnel de Johnny. Et le final est époustouflant sur fond d'allumer le feu en plein Stade de France.
Un Lucchini enfin marrant. Le film se laisse regarder, Hallyday est quand même sacrément imposant. Assurément pas un chef d'oeuvre mais l'idée et la mise en scène sont sympathiques.
Je n'étais pas chaud pour voir ce film car je ne suis pas du tout un fan de Johnny Hallyday, surtout en tant qu'acteur car il est en général très mauvais, contrairement à son grand copain Eddy Mitchell, mais j'ai été agréablement surpris. Même si l'histoire est bien sûr invraisemblable, on la suit d'un bout à l'autre en se demandant ce qu'il va se passer sans ennui et les acteurs sont excellents.
Très bon film Luchini est a mourir de rire et tiens sont rôle a la perfection. Johnny est Johnny ni plus ni moins , il ne livre pas vraiment une bonne prestation sauf pour la scène final.
Qu'on aime ou non Johnny, en tous cas moi je n'aime pas, il fait parti du patrimoine français qui comme un bâtiment traverse le temps. J'ai eu beaucoup d'émotion sur la fin alors que je me sentais ridicule devant "allumer le feu". Le film est gros, lourd, pas forcément bien joué puisque les acteurs reposent sur leurs acquis : luchini fait du luchini et halliday, du halliday. Mais le tout est amusant, entraînant et bon enfant. Mention spécial au Benoît Poelvoorde qui s'essaie à un clin d'oeil "Podium". On regrettera que le passage télé-réalité est parfaitement éludé pour tourner au plus court. Ce sont de grosses ficelles mais elles sont bien huilées.
C'est dommage on ressort de ce film avec la sensation que le pitch génial n'a pas été suffisamment exploité. Jean Philip tient en tout cas sur les épaules de... Luchini qui parvient à transformer son rôle de beauf en un personnage à la fois populaire et capable du sublime.