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CrackO DingO
46 abonnés
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4,0
Publiée le 15 décembre 2017
Je ne suis pas fan de Johnny mais ce film m'a plu. Ravi de l'avoir vu tout de même. 2/4. -----Septembre 2010----- Des rôles très biens tenus. Un duo gagnant. Une fin clin d'œil pour le très bon Luccini. Les collectionneurs de canettes sont des grands malades... 4 étoiles sur 5!. -----Mai 2014-----
Impossible de passer à coté de ce film après la disparition de Johnny ! ----Décembre 2017----
Navrant tant sur la forme que sur le fond. Un plantage assez grandiose avec une scéne du grand stade pitoyable !!! Luchini est en roue libre et ne nous fait jamais rire, Johny est d'une insignifiance béante... Rien ne fonctionne dans ce sous téléfilm à part le ridicule de bien des situations !!!
Vraiment trop déçu !!! J'aime bien Jhonny et j'adore Luchini... Mais là je m'attendais à beaucoup mieux. Le début est pas trop mal mais la fin est incompréhensible. Le film manque cruellement de rythme et les dialogues sont sans vies. Trop long et trop lent, même l'énergie de Luchini est bridé par un film mal écrit. 09/20
Et si Johnny n'existait pas ??? Très bonne idée de départ pour une comédie avec un Johnny Hallyday et un Fabrice Luchini qui ont l'air de s'amuser comme des petits fous sur un scénario qui nous fait comprendre que le destin se joue souvent sur peu de choses. Un Feel-Good Movie sans prétention qui se regarde sans ennui mais on peut regretter que le réalisateur n'ait pas été plus ambitieux avec un tel sujet. Je ne sais pas moi, ça aurait pu donner une satire sur le statut d'idole ou du moins une réflexion sur ce dernier sans pour autant que le côté divertissant en soit sacrifié. Ce qui a pour résultat que l'ensemble est assez agréable mais anecdotique et oubliable.
N'en déplaise aux fans de notre Johnny, je parlerai pour ceux qui n'apprécient pas énormément cette personnalité. Les fans peuvent lire les commentaires des dithyrambiques, il n'y aura pas de jaloux. "Jean-Philippe" (en référence au nom réel de la star, Jean-Philippe Smet), est une comédie qui imagine la réaction d'un fan de Johnny projeté dans un monde où celui-ci est inconnu, si ce n'est un "monsieur-tout-le-monde". Si l'idée est drôle au début du film, et même originale, elle s'épuise vite et le rythme du film s'essouffle complètement à partir de la moitié du film. Le final est prévu dès la première minute de visionnage et c'est donc sans surprise que l'on assiste à une scène clairement destinée aux fans, tout comme le reste d'ailleurs... L'affiche de Jean-Philippe constitue à ce sujet l'un des plus grand spoiler jamais imaginé (comment douter de la fin en voyant l'affiche ?). Les acteurs, ou plutôt l'acteur qu'est Fabrice Lucchini car on ne peut pas en dire autant de Johhny, sont assez bons (mais il vaut mieux voir des films comme "Alceste à bicyclette" avec un grand Lucchini cette fois-ci). Une belle déception pour quelqu'un qui n'aime pas beaucoup ni le personnage ni les chansons stars du film...les scénaristes auraient pu adapter un peu le concept pour ne pas restreindre autant le public visé... Réservé aux fans.
Dès les premières minutes, on sinterroge sur ce film que lon pourrait considérer une séquelle de « Podium », auquel dailleurs Laurent Tuel fait un hilarant clin dil. Même petite banlieue bien propre et univers étriqué dans lequel évolue un fan de Johnny cette fois-ci. Il déborde de passion pour son idole et cale sa vie sur lui à la limite de lintégrisme. Heureusement, une rupture sopère très vite et nous plonge dans une dimension quasi surréaliste provoquant quelques scènes savoureuses et bien vues, lui conférant un fond et un ton différent du film de Yann Moix. Tout sarticule sur le duo Fabrice/Jean-Philippe. Cela passe par les difficultés à imposer ce jeune talent de 60 ans, mais surtout sur la nature même de la relation humaine entre un vrai fan et son mentor, ce qui nous donne de beaux moments touchants. Seulement voilà, les effets tournent un peu en rond, et lon sennuie quelquefois. Reste un Fabrice Luchini totalement habité par son rôle. Il est brillant car habilement dirigé, avec juste ce quil faut de liberté pour ne pas sombrer dans les excès quon lui reproche souvent. Quant à Johnny Hallyday. Il est égal à lui-même et dégage même une certaine humanité, loin de son image de vedette devenue un peu trop caricaturale et dont le film se moque dailleurs gentiment.
Un film qui met de bonne humeur avec tout plein de mignonnes petites scènes dont un Caméo fort réussi de Bernard Frédéric (cf. « Podium »). L'interprétation de Fabrice Luchini est inoubliable. Il porte le film sur ses épaules. Ce film n'est pas très original en soi puisque existaient déjà d'autres bons films sur une distorsion du présent (« Monsieur Destinée » (Mr Destiny, 1990), « Un Jour sans Fin » (Groundhog Day, 1993), « Pile et Face » (Sliding Doors, 1997), « Cours, Lola, Cours » (Run Lola Run, 1998), « If Only » (The Man with rain in his shoes (1998)) mais il n'a pas à rougir de la comparaison. Ce film bénéficie en outre d'un bon rythme, du début à la fin. A ce propos, le dénouement, original et vraiment inattendu, est très sympathique.
Spécialement consacré aux fans du célèbre chanteur, "Jean Philippe" est un beau mélange entre la musique et la comédie. L'histoire, à mon sens, paraît un peu cauchemardesque : personne n'aimerait se retrouver dans ce monde parallèle ou quelque chose manque, qui appartient par exemple à notre culture. Ce ne serait pas habituel. Mais bon, passons. Ici est représenté un beau duo à la fois comique et touchant, puisque Luchini essaie tant bien que mal de ressusciter le Johnny Hallyday inconnu de ce monde parallèle, même si ce cher Johnny refuse ce chemin qu'il croit impossible. C'est également un film qui retrace le parcours d'un chanteur quelconque qui cherche à se faire connaître, donc ne retrace pas que l'histoire de Johnny, mais est fait à partir d'exemples d'apprentis chanteurs.
"Jean-Tillet". C'est ce qu'on pense de Jean-Philippe en sortant du cinéma. Ni réussi, ni mauvais, le film alterne le bon et le moins bon. Le film vaut essentiellement pour Johnny Hallyday, visiblement content de se moquer de sa légende. Il signe une belle performance et apporte, et c'est la surprise du film, beaucoup d'émotions. A ses côtés, Fabrice Luchini est supportable et arrache sans se force de nombreux rires. Jean-Philippe pèche par la réalisation de Laurent Tuel, conventionnelle et formatée. La musique est omniprésente et le point culminant du film (au Stade de France) est quand même raté, le montage digne d'une Star Académie et les plans sur les différents personnages du film sont très énervants. Inévitable de faire le rapprochement avec Podium de Yann Moix par son sujet, son générique (même boîte de prod') et par l'apparition de qui vous savez. Tuel, comme souvent le cas dans le cinéma français, filme un postulat de départ qui n'est pas sans rappeler Retour vers le futur, et a parfois du mal à donner du rythme à son film. On est vraiment agacé durant le premier quart d'heure de revoir les sempiternelles images de la bande-annonce mais le film prend immédiatement une autre tournure dès l'apparition de Jean-Philippe Smet. La morale du film a déjà certes été abordée de maintes fois au cinéma (il n'est jamais trop tard pour accomplir son destin et recoller les rêves brisés) et c'est donc du côté de l'émotion que vient la surprise à l'image de cette très belle scène où Johnny découvre la chanson "Quelque chose de Tennessee". Jean-Philippe est une comédie divertissante et remplit son contrat sans se foutre des spectateurs. Ce qui manque au film de Laurent Tuel pour être pleinement divertissant c'est la magie à laquelle on pouvait prétendre. Je ne suis pas particulièrement fan absolu du chanteur mais je suis touché par sa sensibilité, sa gentillesse qui transpire à l'écran, son regard bleu toujours plein de malices et son sens de l'humour indéniable. Plaisant.
Les interprétations de Fabrice Luchini en fan exalté et de Johnny Hallyday dans son propre rôle méritent le coup d'oeil. Les fans apprécieront de retrouver notre rocker national sur scène à la fin du film. L'histoire est astucieuse. Dans une dimension parallèle, Luchini découvre un monde sans Johnny Hallyday. En effet, dans le film, Jean-Philippe Smet est un patron de bowling qui a suivi un destin différent de "l'idole des jeunes" tel que nous le connaissons. Luchini va user de sa personne et de sa mémoire pour rétablir la réalité. Il est regrettable que la réalisation ne soit pas aussi bonne que les idées. Ce film manque de dynamisme et de seconds rôles un peu plus consistants.
Un film vraiment excellent.. Fabrice Lucchini hilarant, et Johnny Hallyday... C'est Johnny... Que dire d'autre ? C'est Johnny, c'est le mythe, le chanteur de tous les français, comme dit Fabrice. Un chanteur mythique et qui se revèle être aussi un très bon acteur. L'histoire en elle meme fait un peu déja vu, car il y a beaucoup de films du meme acabit (dimensions parallèles, etc.), mais elle reste originale tout de même et on passe un très bon moment, à rire, et aussi à être ému, quand Johnny nous chante son "Tenessee".. Que du bon ! 10/10
Un film plaisant sur un monde parallèle où notre Johnny nationale aurait manqué sa vocation de chanteur... Une idée amusante pour un film qui ne l'est pas moins grâce au numéro déjanté de Fabrice Luchini et à l'auto-dérision dont fait preuve Johnny Halliday et ce, sans compter sur l'excellent caméo de Benoît Poelvoorde en Bernard Frédéric. Jean-Philippe est tout sauf un film qui se prend au sérieux et par là, Laurent Tuel le rend fort sympathique avec un final dès plus surprenant. A voir donc !
"Jean-Philippe" n'est qu'une bonne idée de départ, celle de plonger un fan absolu de Johnny dans un monde où ce dernier n'est pas la star du rock francçais mais un patron de bowling minable en province. Pour le reste, le film se repose sur l'énergie d'un Lucchini moins affecté mais aussi moins drôle que d'habitude. Pour les fans de Johnny, le film peut avoir quelque chose d'amusant mais pour les autres, c'est un film paresseux qui manque cruellement d'idées, comme si l'idée de départ dispensait le réalisateur d'en avoir d'autres. Plutôt ennuyeux.
Exemple type de la fausse bonne idée qui aurait constitué un excellent court metrage mais qui peine a maintenir l'attention du spectateur durant 1h30.Si Luchini par son abattage habituel parvient a donner une certaine epaisseur a son personnage de fan hysterique (il cabotine par moment ,la faute a une direction d'acteurs absente) ,notre pauvre Johnny en monsieur tout le monde ,fait lui peine a voir tant son jeu elephantesque rappelle les pires sitcoms sans parler de son regard aussi expressif que celui de Loana.A coté d'un scenario abracadabrantesque ,je retiendrais les quelques sourires que m'auront procurés les imitations "Luchiniennes" de notre rockeur national ou bien les 2 interventions musclés du voisin.Pour resumer ,chacun devrait rester a sa place : Fabrice a faire l'acteur et Jojo a chanter car on ne peut pas etre bon partout.A resever en priorité aux fans de l'idole des jeunes.