Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) Le réalisateur (...) sait y faire, il puise dans l'absurdité et le désespoir des situations la matière d'une comédie qui grince plus souvent qu'à son tour et qui, ainsi, dessine d'une réalité insaisissable par nature un tableau dont les contours s'impriment dans le cerveau aussi bien que sur la rétine.
L'Humanité
par Emile Breton
C'est que Hiner Saleem tourne avec rage cette histoire qui appartient à son peuple humilié. (...)Distanciation (...), mais aussi humour, font la force d'un film qui ressemble à peu d'autres(...) Sobriété, humour noir : on regrettera d'autant plus que, dans son prologue et son épilogue, heureusement brefs, (...) le cinéaste s'en écarte si visiblement. Non qu'on ne comprenne cette joie-là, mais tel qu'il est en son refus des effets, le film en disait les raisons avec assez de vigueur pour qu'on se passe du pathos.
Libération
par Antoine de Baecque
(...) C'est un petit poème en prose dérisoire, caustique, poignant, jamais grandiloquent. Pas une manière de prendre à témoin, mais une façon de pratiquer le cinéma par l'absurde. Pour mieux convaincre.
MCinéma.com
par Philippe Descottes
(critique cannoise) Le cinéaste trouve le ton juste. La guerre n'y est pas magnifiée et la violence de la dictature est traitée avec retenue. Le Kurdistan irakien est finalement libéré de Saddam, mais la route est encore longue vers la liberté. Puisse Hiner Saleem nous faire partager d'autres moments de la vie de son peuple.
Paris Match
par Christine Haas
(...) [Hiner Saleem] évite la violence sensationnelle. Mais alors que ses personnages s'égarent dans l'hystérie, le cinéaste tatônne entre réalisme et burlesque (...) malgré ses petites maladresses, le film s'affiche comme un touchant plaidoyer pour la paix et la liberté.
Score
par Yara de Lima
Un film très dépouillé qui tire avant tout sa force de ses interpètes, sans oublier la causticité de certaines scènes absolument jubilatoires. (...) Kilomètre zéro vient confirmer le talent de ce jeune cinéaste (...)
La critique complète est disponible sur le site Score
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
"Kilomètre zéro" possède le charme, parfois maladroit, des films tournés dans l'urgence. Il y transparaît surtout la joie du réalisateur de filmer son pays.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jean-Claude Loiseau
On pense à Kusturica, à cette manière de débusquer, sous les discours idéologiques, l'humanité dans sa version la plus triviale (...) mais la plus fragile, aussi. Ce qui appartient en propre à Hiner Saleem, c'est une vision douce-amère qui, soudain, donne toute la mesure de la folie ambiante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Télérama
par Frédéric Strauss
(critique cannoise) (...) un drôle de film, qui cahote comme le véhicule, avec beaucoup de charme le plus souvent, et reste attachant même quand son sens de la comédie stylisée se meut en une sorte de long sketch.
Brazil
par S. L.
Personne mieux que Saleem ne peut magnifier ces paysages répétitifs ou jongler avec un tel sujet, sans se ramasser au coin d'un bout de pellicule. Malheureusement, sa mise en scène n'est jamais à la hauteur de sa narration tout en retenue.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
L'Humanité
par Dominique Widemann
(critique cannoise) Plusieurs histoires en une composaient, entre autres, la vivacité de Vodka Lemon, son film précédent. Là, les liens ne se tissent pas et les protagonistes restent des archétypes auxquels on s'attache à grand-peine. Le talent du cinéaste, évident, cède sous la charge au drapeau.
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Ici pas de pathos, pas d'états d'âme, plutôt une ironie mordante et un incontestable talent pour pointer du doigt l'absurde dans la banalité du quotidien (...) Malheureusement, l'ensemble est disparate et l'on a l'impression d'un brouillon qui aurait pu être un chef-d'oeuvre s'il avait été plus maîtrisé.
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Olivier Séguret
(critique cannoise) Derrière ce titre se dessinent les lignes de force et de faiblesse d'un projet éminemment sympathique et casse-gueule (...) Saleem emprunte le sentier trop battu de la référence : entre le style Kiarostami et la touche Suleiman, il tâtonne sans trouver vraiment son style.
Positif
par Matthieu Darras
Manquant tour à tour de rythme et répondant à des ficelles éculées, "Kilomètre zéro" est au cinéma ce que le mauvais jeu de mot est à l'humour : il fait du surplace (...)
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Olivier De Bruyn
Entre plaidoyer critique et peinture absurde, entre réalisme cru et délires cocasses, le film semble constamment à la recherche de son propre style. Intéressant, mais bancal...
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
The Hollywood Reporter
par Duane Byrge
(critique cannoise) Le film fait passer un message politique puissant, mais se révèle malheureusement souvent plat sur le plan esthétique.
Variety
par Deborah Young
(critique cannoise) Souvent très inspiré visuellement, le film (...) manque d'un scénario solide.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Zurban
par Véronique Le Bris
(critique cannoise) (...) une très belle photo, un évident talent visuel, des acteurs convaincants, un sujet attirant, dérangeant et d'une salutaire et stimulante réactivité aux événements politiques. Mais (...) Hiner Saleem ne parvient à choisir ni son sujet, ni son traitement, et nous laisse, comme son héros kurde, en errance.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Phillippe Tessé
Symboles épais (...) pour le saugrenu sous toutes ses formes, rythme road-movie usé jusqu'à la corde, et une séquence entière montée en faux raccord total. Kilomètres : zéro.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Recette périmée depuis longtemps, qui nous vaut un sempiternel et archi-convenu discours sur le rire comme politesse du désespoir, la poilade qui fait du bien quand tout va mal, la grandeur du sketch en terrain militaire.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
(critique cannoise)Cinématographiquement, tout est nul : la reconstitution de la guerre, les envolées lyriques et les métaphores grossières (...), la confrontation kurde-irakien servie par un comique au raz des pâquerettes dégoulinante de dignité humaniste. A ce point, c'en est presque touchant.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Thomas Sotinel
(...) tout est mis à plat, montré et remontré, comme cette statue de Saddam trimballée à travers le pays en même temps que le cadavre du héros de guerre. Ce ressassement est le signe, bien sûr, de la défaite du cinéaste face à son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Monde
par Jean-Luc Douin
(critique cannoise) Inspiré de l'histoire de son frère déserteur, ce road-movie accumule trop de maladresses et de caricatures pour susciter une adhésion qui ne soit pas seulement politique (...) Les officiers irakiens sont très méchants, mais fallait-il le souligner comme au guignol ?
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Hiner Saleem ne réinvente pas le cinéma, ni la psychologie prévisible, ni la symbolique à gros sabots. Mais sur le contenu politique de son film, le réalisateur se montre plus original (...)
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La rédaction
(...) [Hiner Saleem] ne fait que ressasser, aussi nobles soient-elles, des idées très en vogue sur les écrans sur les drames de son pays. Entre réalisme et fantastique, drame et absurde, un propos qui cherche du sens.
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
(...) cette tragi-comédie ne fonctionne que par intermittences faute de personnages qui échappent au manichéisme et d'une totale conviction dans le propos.
L'Obs
(...) Le réalisateur (...) sait y faire, il puise dans l'absurdité et le désespoir des situations la matière d'une comédie qui grince plus souvent qu'à son tour et qui, ainsi, dessine d'une réalité insaisissable par nature un tableau dont les contours s'impriment dans le cerveau aussi bien que sur la rétine.
L'Humanité
C'est que Hiner Saleem tourne avec rage cette histoire qui appartient à son peuple humilié. (...)Distanciation (...), mais aussi humour, font la force d'un film qui ressemble à peu d'autres(...) Sobriété, humour noir : on regrettera d'autant plus que, dans son prologue et son épilogue, heureusement brefs, (...) le cinéaste s'en écarte si visiblement. Non qu'on ne comprenne cette joie-là, mais tel qu'il est en son refus des effets, le film en disait les raisons avec assez de vigueur pour qu'on se passe du pathos.
Libération
(...) C'est un petit poème en prose dérisoire, caustique, poignant, jamais grandiloquent. Pas une manière de prendre à témoin, mais une façon de pratiquer le cinéma par l'absurde. Pour mieux convaincre.
MCinéma.com
(critique cannoise) Le cinéaste trouve le ton juste. La guerre n'y est pas magnifiée et la violence de la dictature est traitée avec retenue. Le Kurdistan irakien est finalement libéré de Saddam, mais la route est encore longue vers la liberté. Puisse Hiner Saleem nous faire partager d'autres moments de la vie de son peuple.
Paris Match
(...) [Hiner Saleem] évite la violence sensationnelle. Mais alors que ses personnages s'égarent dans l'hystérie, le cinéaste tatônne entre réalisme et burlesque (...) malgré ses petites maladresses, le film s'affiche comme un touchant plaidoyer pour la paix et la liberté.
Score
Un film très dépouillé qui tire avant tout sa force de ses interpètes, sans oublier la causticité de certaines scènes absolument jubilatoires. (...) Kilomètre zéro vient confirmer le talent de ce jeune cinéaste (...)
TéléCinéObs
"Kilomètre zéro" possède le charme, parfois maladroit, des films tournés dans l'urgence. Il y transparaît surtout la joie du réalisateur de filmer son pays.
Télérama
On pense à Kusturica, à cette manière de débusquer, sous les discours idéologiques, l'humanité dans sa version la plus triviale (...) mais la plus fragile, aussi. Ce qui appartient en propre à Hiner Saleem, c'est une vision douce-amère qui, soudain, donne toute la mesure de la folie ambiante.
Télérama
(critique cannoise) (...) un drôle de film, qui cahote comme le véhicule, avec beaucoup de charme le plus souvent, et reste attachant même quand son sens de la comédie stylisée se meut en une sorte de long sketch.
Brazil
Personne mieux que Saleem ne peut magnifier ces paysages répétitifs ou jongler avec un tel sujet, sans se ramasser au coin d'un bout de pellicule. Malheureusement, sa mise en scène n'est jamais à la hauteur de sa narration tout en retenue.
L'Humanité
(critique cannoise) Plusieurs histoires en une composaient, entre autres, la vivacité de Vodka Lemon, son film précédent. Là, les liens ne se tissent pas et les protagonistes restent des archétypes auxquels on s'attache à grand-peine. Le talent du cinéaste, évident, cède sous la charge au drapeau.
Le Figaroscope
Ici pas de pathos, pas d'états d'âme, plutôt une ironie mordante et un incontestable talent pour pointer du doigt l'absurde dans la banalité du quotidien (...) Malheureusement, l'ensemble est disparate et l'on a l'impression d'un brouillon qui aurait pu être un chef-d'oeuvre s'il avait été plus maîtrisé.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
(critique cannoise) Derrière ce titre se dessinent les lignes de force et de faiblesse d'un projet éminemment sympathique et casse-gueule (...) Saleem emprunte le sentier trop battu de la référence : entre le style Kiarostami et la touche Suleiman, il tâtonne sans trouver vraiment son style.
Positif
Manquant tour à tour de rythme et répondant à des ficelles éculées, "Kilomètre zéro" est au cinéma ce que le mauvais jeu de mot est à l'humour : il fait du surplace (...)
Première
Entre plaidoyer critique et peinture absurde, entre réalisme cru et délires cocasses, le film semble constamment à la recherche de son propre style. Intéressant, mais bancal...
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
The Hollywood Reporter
(critique cannoise) Le film fait passer un message politique puissant, mais se révèle malheureusement souvent plat sur le plan esthétique.
Variety
(critique cannoise) Souvent très inspiré visuellement, le film (...) manque d'un scénario solide.
Zurban
(critique cannoise) (...) une très belle photo, un évident talent visuel, des acteurs convaincants, un sujet attirant, dérangeant et d'une salutaire et stimulante réactivité aux événements politiques. Mais (...) Hiner Saleem ne parvient à choisir ni son sujet, ni son traitement, et nous laisse, comme son héros kurde, en errance.
Cahiers du Cinéma
Symboles épais (...) pour le saugrenu sous toutes ses formes, rythme road-movie usé jusqu'à la corde, et une séquence entière montée en faux raccord total. Kilomètres : zéro.
Chronic'art.com
Recette périmée depuis longtemps, qui nous vaut un sempiternel et archi-convenu discours sur le rire comme politesse du désespoir, la poilade qui fait du bien quand tout va mal, la grandeur du sketch en terrain militaire.
Chronic'art.com
(critique cannoise)Cinématographiquement, tout est nul : la reconstitution de la guerre, les envolées lyriques et les métaphores grossières (...), la confrontation kurde-irakien servie par un comique au raz des pâquerettes dégoulinante de dignité humaniste. A ce point, c'en est presque touchant.
Ciné Live
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L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
(...) tout est mis à plat, montré et remontré, comme cette statue de Saddam trimballée à travers le pays en même temps que le cadavre du héros de guerre. Ce ressassement est le signe, bien sûr, de la défaite du cinéaste face à son sujet.
Le Monde
(critique cannoise) Inspiré de l'histoire de son frère déserteur, ce road-movie accumule trop de maladresses et de caricatures pour susciter une adhésion qui ne soit pas seulement politique (...) Les officiers irakiens sont très méchants, mais fallait-il le souligner comme au guignol ?
Les Inrockuptibles
Hiner Saleem ne réinvente pas le cinéma, ni la psychologie prévisible, ni la symbolique à gros sabots. Mais sur le contenu politique de son film, le réalisateur se montre plus original (...)
Ouest France
(...) [Hiner Saleem] ne fait que ressasser, aussi nobles soient-elles, des idées très en vogue sur les écrans sur les drames de son pays. Entre réalisme et fantastique, drame et absurde, un propos qui cherche du sens.
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(...) cette tragi-comédie ne fonctionne que par intermittences faute de personnages qui échappent au manichéisme et d'une totale conviction dans le propos.