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James Marsh (premier film de fiction après une carrière de documentariste) filme magnifiquement cette Amérique engluée dans un évangélisme de bazar (...) et tous les interprètes sont ambigus et féroces.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
(...) le réalisateur, trop conscient de ses effets, joue au plus malin avec les spectateurs (...) tout en se ménageant de beaux moments de cinéma dès qu'il quitte la trame d'un récit un peu trop rôdé.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Une histoire perverse avec en arrière-plan le portrait assez effrayant de l'Amérique profonde, républicaine, puritaine, où les intégristes religieux, rougeauds, font la promotion de la chasse et prêchent avec un micro, tels des rock stars.
Un scénario un peu prévisible, mais une atmosphère tendue pour une charge contre la fièvre évangélique à l'américaine. Et un étonnant Gael Garcia Bernal.
James Marsh porte sur le show-business fondamentaliste un regard européen un peu condescendant qui donne au film un ton déplaisant contre lequel le beau travail des acteurs ne peut pas grand-chose.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Il y a certes quelques moments bien vus, peu sont même franchement ratés. Mais, c'est insuffisant. Face au toupet annoncé par le projet, ces petites touches réussies ne font que souligner le manque de finesse globale de la mise en scène et le côté finalement peu subversif et donc décevant de l'histoire.
Libération
The King est le film à voir de l'heure (...)
Télérama
James Marsh (premier film de fiction après une carrière de documentariste) filme magnifiquement cette Amérique engluée dans un évangélisme de bazar (...) et tous les interprètes sont ambigus et féroces.
Score
(...) ce climat délétère qui fait le prix d'un film, suspendu entre esthétisme bluffant et encombrante grandiloquence.
TéléCinéObs
William Hurt est particulièrement impressionnat (...), mais c'est Gael Garcia Bernal qui s'impose définitivement dans ce tableau de moeurs (...).
Zurban
D'un cynisme assez fascinant, le film explose les tabous moraux, jusqu'à l'éclatement d'une violence quasi-biblique.
aVoir-aLire.com
Servi par des acteurs remarquables, The king est un premier essai brillant.
Chronic'art.com
(...) le réalisateur, trop conscient de ses effets, joue au plus malin avec les spectateurs (...) tout en se ménageant de beaux moments de cinéma dès qu'il quitte la trame d'un récit un peu trop rôdé.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Journal du Dimanche
Une histoire perverse avec en arrière-plan le portrait assez effrayant de l'Amérique profonde, républicaine, puritaine, où les intégristes religieux, rougeauds, font la promotion de la chasse et prêchent avec un micro, tels des rock stars.
Le Parisien
(...) film dur et âpre (...) Gael Garcia Bernal est étonnant de vérité.
Les Inrockuptibles
Il s'en faudrait de peu pour que ce premier et bon film soit un grand film.
Ouest France
Un scénario un peu prévisible, mais une atmosphère tendue pour une charge contre la fièvre évangélique à l'américaine. Et un étonnant Gael Garcia Bernal.
Positif
La réalisation est habile et policée, bénéficiant surtout d'une bonne distribution.
Première
(..) cette microtragédie, crititique d'un pays malade de sa foi, prend des airs de conte biblique. Paradoxe intrigant.
Cahiers du Cinéma
Le scénario, lui, ne s'en satisfait pas, qui massacre la tension au profit d'une inutile surenchère finale.
Le Monde
James Marsh porte sur le show-business fondamentaliste un regard européen un peu condescendant qui donne au film un ton déplaisant contre lequel le beau travail des acteurs ne peut pas grand-chose.
MCinéma.com
Il y a certes quelques moments bien vus, peu sont même franchement ratés. Mais, c'est insuffisant. Face au toupet annoncé par le projet, ces petites touches réussies ne font que souligner le manque de finesse globale de la mise en scène et le côté finalement peu subversif et donc décevant de l'histoire.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com