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Votre avis sur A bittersweet life ?
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Sur un schéma classique de vengeance, Kim Jee-woon développe une histoire assez sombre, teintée de mélancolie et merveilleusement interprété par Lee Byung-Hun dont le visage impassible, le regard et la violence traduisent chacune de ses émotions. Le cinéaste l'acteur nuancent ce personnage et y donnent de la profondeur, le tout allié à une histoire rythmée qui plonge tout de suite dans l'action et à des scènes de violences magnifiques et cruelles.
Une mise en scène réussie, un acteur Lee Byung Hun au sommet, une musique mélodieuse et envoutante et un réalisme toujours bluffant dans ce cinéma coréen du genre, voila les points forts de ce thriller. Une vraie réussite !
Quel dommage ... Après une première partie très maîtrisée, le film retombe comme un soufflé en enchainant le n'importe nawak scénaristique prétexte à des scènes de fusillade pas extraordinaires. Reste les 5 avant-dernières minutes, lyriques en diable, qui remontent un peu le niveau.
Avec 'A Bittersweet life', Kim Jee-woon signe un thriller visuellement abouti où rien n’est laissé au hasard; la photographie est léchée et chaque mouvement de caméra est maîtrisé au millimètre près. Si le scénario peut sembler classique au premier abord, il nécessite un second visionnage pour en saisir toute la subtilité, notamment dans sa partie psychologique. Un film noir de qualité qui s’inscrit dans la lignée des réalisations de Chan-Wook Park et de Kitano
Classique du cinéma coréen, typiquement noir et malsain, teinté de mélancolie. Inutile de faire l'éloge de l'acteur, car ici, tout est à féliciter: les décors, l'ambiance, la narration, le découpage des scènes... Un grand opéra crescendo, qui arrive à son point culminant à la dernière minute du film. Si vous aimez les films de gangster, le cinéma coréen a trouvé son "Parrain".
Pas le meilleur polar coréen, mais un film noir qui s'inscrit dans la lignée de la nouvelle vague venue de ce pays. Un film parfois très dur qui devrait plaire aux amateurs du genre.
Passage obligé par la case interprétation pour apprécier cette oeuvre à sa juste valeur. A Bittersweet Life est plus qu'un film de gangsters, outre la performance plus que réussi de l'acteur principal, la profondeur du scénario, surement non apparente au premier coup d'oeil se révèle diaboliquement tragique et poétique. Une vie volée, un amour impossible et inavouable, des ennemis puissants, des combats impressionnants ... Le parfait cocktail à la sauce Shakespearienne ! Tout en sobriété sur le plan sentimental, le film réussi à retranscrire les émotions du Héros par son attitude et sa violence. Mais comme dit plus haut, il s'agit bien plus que cela, d'ou la profondeur du film au final. Il serait dommage de passer à côté de cet oeuvre, de regarder les dernières images sans les analyser ;) A voir voire revoir !
Certes, le genre a été sur-exploité récemment dans le cinéma coréen et le thème principal du film rappelle forcément la trilogie sur la vengeance de Chan-Wook Park (Old Boy), ainsi le récit ne sort que trop peu des sentiers battus. Mais c'est surtout la mise en scène et l'orchestration qui frappe, originale et limpide, et par dessus tout, la relation entre le héros et la jeune fille du début qui est, malgré sa faible exploitation (et c'est ça qui est bon justement), le nerf principal de thriller sanglant et éprouvant. Aussi, l'interprétation remarquable de finesse de Lee Byung-Hun force l'admiration. Si le film n'apporte peu de choses au genre, à part quelques scènes virtuoses, il reste cependant une référence tant le genre est respecté, les références évidentes et l'action époustouflante.
Par ou commencé? Par le début du film alors : Un acteur (maintenant, a mes yeux, grandiose), Lee Byung-Hun, au visage d'argile, impassible, charismatique. Une musique, mélodieuse, belle. La situation, l'enchainement rapide, efficace (un combat violent, entre membre de gangs) Il n'y a rien de dantesque dans cette scène, mais attention la caméra du réalisateur et efficace, unique, rapide, envoutante (Prouvé par la suite, et dans ses futur long métrages). Il y a donc une première partie, initiatique, qui dure environ une heure, la moitié du film. Les personnages s'installent, campent des rôles d'instinct, le personnage central reste mystérieux, et invoque le respect, jusqu'à son erreur, qui engendre sa chute. Là, tout s'enchaine, seconde partie : Ici Kim Jee-woon prouve qu'il est le maître dans un domaine : LA VIOLENCE. Toujours réel, jamais abusif, ni ridicule, les scènes s'en-quille, et la pression monte, petit à petit la chute va être lourde. Lee Byung-Hun dévoile son personnage dans la souffrance, un portrait d'homme de main violent, du jamais vu, le film est sanglant et jouissif, jusqu'à une magnifique fin, inévitable...Le maître Coréen est là, livrant un policier d'actions noir, et implacable : une réussite, COUP DE CŒUR !
A Bittersweet life nous fait suivre l'histoire d'un homme de main qui tombe amoureux de la maîtresse de son patron mafieux. L'acteur principal joue très bien, avec peu de parole, il arrive à nous faire passer les sentiments qu'il éprouve. La fin est très bonne avec une émotion à son comble. Le film est très bien tourné. Un très bon film Coréen à voir.
Une trame simpliste, mais beaucoup de travail derrière, autant dans la réalisation que dans la profondeur du personnage principal. Le fait de l'avoir sorti de la violence, avec une mission "d'espionnage", lui fait découvrir une sensation nouvelle, comme celle de l'enfant, au printemps, qui découvre la nature. S'ensuit une punition, grandiose, avec des retournements de situation, et une fin, emplie de poésie.
Comment une simple naissance de sentiment chez un homme de main provoque une secousse dans un milieu cruel et violent mené par un boss tyrannique, tel est le contexte de ce polar signé Kim Jee-woon. A la fois sombre, froid, brut mais également doux et poétique, 'A Bittersweet Life' est une oeuvre bouleversante. On se sent complètement immergé par le personnage de Sun Woo, personnage discret et peu bavard mais dont on devine parfaitement ses sentiments à travers son regard, ses faits et gestes.
Un must du cinéma asiatique !
Un must du cinéma asiatique !
Une histoire de vengeance calquée sur le modèle Park Chan-Wook. Un peu trop stylisé et parfois démonstratif mais efficace et incarné. 68%
Aux influences assumées et avec une mise en scène magistrale, a bittersweet life s'inscrit dans la lignée du genre, et si il ne brille pas par son originalité on ne peut que respecter la maîtrise d'un thème déjà lourdement exploité.
que dire que dire....c'est grand, bien joué, des idées a profusion, et un fantastique final. disont que c'est "le samourai" avec de l'action ou "hard boiled" avec un cerveau ahahaha si avec ca vous etes pas convaincu
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