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Votre avis sur A bittersweet life ?
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Toutes les notes
Sublime polar coréen très noir dont chaque image est vraiment magnifique, qui nous rappelle les déjà excellents "memories of murder" et "old boy". Le noir y est intense et la lumière impeccable... J'ai hésiter à donner la 4ème étoile à cause de l'histoire qui n'est pas vraiment originale... mais vu la qualité de tout le reste... en tout cas il serait dommage de passer à côté!
Excellent de bout en bout ! certes il n'a pas la qualité d'écriture d'Old Boy et les thémes sont proches, mais peu importe ! il n'en demeure pas moins que ce film est brillament réalisé et interprété, que la violence n'est pas si gratuite car elle reflete la dureté du milieu et de la vie du héros qui désire, comme il le dit à la fin,une autre vie. Dans le genre, une réussite !
Décidément, le cinéma asiatique n'en fini pas de nous épater. Voilà encore un film dans la veine des tarantino, des westerns de la grande époque et du manga. Images super léchées, humour décalé, et scènes d'une rare violence sans jamais donné dans le gore à vous faire vomir. Un excellent film de gangstères de grand renom
C'est un très grand polar violent et sans pitié avec de grands moments emprunt de lyrisme et de tragédie.L'acteur principal est très doué et je perçois dans son interprétation une forte influence du film de melville "le samourai"(delon)sans oublier la photographie qui est de toute beauté
Pauline G.
Dans la forme, Kim Jee-woon nous gâte avec A bittersweet life, un film à l'image soignée et aux combats fluides et nets. En revanche, même si le scénario tient la route et qu'il se voit étoffé de l'évolution des personnages au fur et à mesure que l'histoire progresse,quelques longueurs et clichés du genre viennent trop souvent faire perdre quelques galons de crédibilité à l'oeuvre dans son ensemble.
Julien D
Il est sans doute préférable de voir ce film de Kim Jee-Woon pour profiter pleinement de son splendide esthétisme froidement léché. De ce joli tableau des mafias donc est aussi une occasion pour le réalisateur de nous prouver qu’il sait également filmer des gunfights et d’autres combats très impressionnants avec des montages en parfaite coordination avec la chorégraphie des acteurs. Mais cette beauté visuelle n’est pas tout l’essentiel de son long métrage, le plus appréciable étant sans doute le traitement de son scénario pourtant basé sur le principe classique de la vengeance. L’ouverture de l’esprit de ce tueur sans pitié servant d’antihéros, qui se fait à travers son observation d’une femme qu’il a pour cible, sert de départ à une vendetta qui lui permettront de réaliser, mais aussi aux spectateurs, la barbarie de ses complices. Une opposition pourra dès lors s’opposer entre la beauté pleine de poésie d’une femme et l’horreur, voir le ridicule, des hommes. Après une explosion de violence purement jubilatoire, une conclusion fataliste vient nous surprendre. Ce petit régal n’est pas à réservé qu’aux amateurs du genre.
Tout commence par une BO surprenante, prenante, les coréens se révélant très doués pour mèler belle musique et beau film. En effet, ce polar très axé vers l'action est un petit bijou qui montre que les corens ont encore de bien beaux jours devant eux et qu'ils rivalisent largement avec les japonais mais surtout avec les français et les américains. La réalisation est de tout beauté, les acteurs parfaitement dirigés, incarnent parfaitement à la fois le sentiment de vengeance, de tristesse, de mensonge ou encore de trahison. On ne s'ennuye pas une seule seconde car on est pris dans ce scénario ingénieux qui fait bien réfléchir sur ses propres actes. En somme, l'un des meilleurs films coréens que j'ai eu la chance de voir dans ma vie.
Après son chef d'oeuvre " A tale Of Two Sisters " (2004) , Kim Jee-Woon revient en 2006 avec " A bittersweet life ", un film d'action/policier très éfficace et redoutable.
La grande force du film vient de son scénario qui est extremment bien ficelé et très bien construit.
Toutes ces scènes d'actions sont vraiment géniale, certaines un peu violente et sanglante.
C'est très bien fait.
L'acteur principaux est Byung-hun Lee, un très bon acteur ! Il joue le rôle de "La Brute" dans le dernier film de Kim Jee-Woon " Le Bon, La Brute et Le Cinglé".
Excellent Acteur !
Le point qui fache et qui fait que je ne met pas 4 étoiles, c'est pour la longueur du film, c'est un peu lent quelques fois ...
Néanmoins, A Bittersweet Life est vraiment un très bon film, très surprenant !
La grande force du film vient de son scénario qui est extremment bien ficelé et très bien construit.
Toutes ces scènes d'actions sont vraiment géniale, certaines un peu violente et sanglante.
C'est très bien fait.
L'acteur principaux est Byung-hun Lee, un très bon acteur ! Il joue le rôle de "La Brute" dans le dernier film de Kim Jee-Woon " Le Bon, La Brute et Le Cinglé".
Excellent Acteur !
Le point qui fache et qui fait que je ne met pas 4 étoiles, c'est pour la longueur du film, c'est un peu lent quelques fois ...
Néanmoins, A Bittersweet Life est vraiment un très bon film, très surprenant !
Il est facile de manquer le dernier plan de "A Bittersweet Life", et, du coup, de passer à côté du film. D'ailleurs, c'est exactement ce qui m'était arrivé la première fois que j'avais vu le film. Comme "Shutter Island" (cela me paraît le meilleur exemple récent de remise en question finale de ce que l'on a vu - et parfois critiqué - auparavant), "A Bittersweet Life" offre une conclusion expliquant certaines dérives formelles du film qui s'étaient avérées choquantes, comme cette outrance croissante d'un déluge de violence de moins en moins réaliste, ces éclairs d'humour grotesque, ce gunfight final interminable... qui semblaient - avant ce dernier plan - dénaturer la beauté du film. A travers cette remise en question subtile de ce que l'on a pu voir et comprendre tout au long des deux heures qui ont précédé, KIM Jee-Woon nous offre un portrait extrêmement pessimiste d'un monde rongé par la violence, où les vieilles notions d'honneur ne dissimulent que l'absence totale d'humanité des personnages : le "héros" rêvé du film, machine à tuer quasi indestructible réalisera que pour "réussir" professionnellement, il ne faut aimer personne. Mais il nous propose aussi une "sortie" : s'arrêter pour contempler la beauté (de feuilles qui vibrent dans le vent, du visage d'une femme absorbée sur la musique qu'elle joue au violoncelle), déguster une tasse de café en contemplant la ville à travers une vitre... prendre la bonne décision. Tout cela avec mis en scène puissante, juste, d'une grâce stupéfiante. Un chef d'oeuvre ?
L'histoire d'un gars qui pense que quand on est super bien habillé et qu'on travaille « proprement », on vous doit le respect. C'est vous dire s'il est c. !
« Le Samouraï », « Old Boy », « Police Python 357 », « The Mission », « In the Mood for love », les références cinématographiques mondiales ou asiatiques seraient nombreuses à énumérer. Il y a même quelques ralentis pour saluer le maître Woo. Il reste que pour un petit film, il y a quelques surprises.
Alors pourquoi parler si longtemps d'un petit film qui plagie tout le monde ?
D'abord parce que le film en lui-même est assez maîtrisé, que les thèmes retenus de chaque citation célèbre sont les plus intéressants du genre, et que l'ensemble a un charme presque italien dans la nostalgie, et que l'on est très loin d'un film de genre.
Tout est téléphoné, tout est facile à deviner, surtout la fin ! Mais ce petit pincement de coeur pour le « Gentleman Agreement » de la classe « chemise cravate veste weston » en toute circonstance est tellement sympathique et décalé que la sauce prend.
Le côté descente aux enfers d'un héros qui trouve que le monde des méchants est décidément bien compliqué et trop simpliste pour lui donne tout son sel à un scénario simple mais heureusement jonché de surprises.
Evidemment, comme tout film coréen qui se respecte, âmes sensibles, passez votre chemin, on a tout l'attirail du film de gangster sanguinolent, sinon plus.
C'est codé, c'est à la fois lent et rapide, c'est souvent beau, c'est stylé, c'est original malgré l'accumulation des emprunts aux maîtres du genre.
Voilà tout, c'est pas mal du tout, et impossible à résumer.
« Le Samouraï », « Old Boy », « Police Python 357 », « The Mission », « In the Mood for love », les références cinématographiques mondiales ou asiatiques seraient nombreuses à énumérer. Il y a même quelques ralentis pour saluer le maître Woo. Il reste que pour un petit film, il y a quelques surprises.
Alors pourquoi parler si longtemps d'un petit film qui plagie tout le monde ?
D'abord parce que le film en lui-même est assez maîtrisé, que les thèmes retenus de chaque citation célèbre sont les plus intéressants du genre, et que l'ensemble a un charme presque italien dans la nostalgie, et que l'on est très loin d'un film de genre.
Tout est téléphoné, tout est facile à deviner, surtout la fin ! Mais ce petit pincement de coeur pour le « Gentleman Agreement » de la classe « chemise cravate veste weston » en toute circonstance est tellement sympathique et décalé que la sauce prend.
Le côté descente aux enfers d'un héros qui trouve que le monde des méchants est décidément bien compliqué et trop simpliste pour lui donne tout son sel à un scénario simple mais heureusement jonché de surprises.
Evidemment, comme tout film coréen qui se respecte, âmes sensibles, passez votre chemin, on a tout l'attirail du film de gangster sanguinolent, sinon plus.
C'est codé, c'est à la fois lent et rapide, c'est souvent beau, c'est stylé, c'est original malgré l'accumulation des emprunts aux maîtres du genre.
Voilà tout, c'est pas mal du tout, et impossible à résumer.
alors que le "president" a des doute sur sa maitresse, il demande a Sun Woo (Byung-hun Lee) de la surveillé, mais au moment d'executé les ordre de son patron, il va desobéir pour des raison irrecevable quand on fait partie de cette organisation.
decidé a le faire tué, Sun Woo va en ressortir plus fort et sa vengeance sera terrible.
Kim Jee-Woon nous montre un film violent mis parfaitement en scene.
Byung-hun Lee est clairement la force de se film, sa performance est excellente, malgres tout, le scenario reste un peu trop previsible
a noté la magnifique musique
decidé a le faire tué, Sun Woo va en ressortir plus fort et sa vengeance sera terrible.
Kim Jee-Woon nous montre un film violent mis parfaitement en scene.
Byung-hun Lee est clairement la force de se film, sa performance est excellente, malgres tout, le scenario reste un peu trop previsible
a noté la magnifique musique
Très bon film, tendu d'un bout à l'autre. Les acteurs amène bien la rivalité, le sens de l'honneur, la vengeance. La fin est bien tissée en amont dans le scénario. Juste qq scènes pas tout à fait crédibles dans certaines castagnes mais ça passe et ça reste un bon film.
Encore un grand film venu d'Asie! Sobre et esthétique dans sa réalisation Kim Jee-woon réussi encore un coup de maître, aidé par le jeu d'acteur de Lee Byung-Hun d'une parfaite justesse.
Le cinema asiatique reprend souvent à sa sauce des thémes principaux que le cinéma américain ressort souvent,comme la vengeance,ou la rebellion.Dans A bittersweet life,tous ces thémes sont mélangés,seul contre un gang,vengeance,tragédie amoureuse,tout ca regroupé dans un polar à l'atmosphére noire.Filmé de façon très correcte,le film aux scénes d'actions peu nombreuses mais intéréssante allie réalisme et fantaisie, ce qui résume assez bien le film,un salad bowl de thématiques qui contraste avec la pérsonnalité du héros déterminée d'ailleurs très bien travaillée par les auteurs.
Abarai
Un très bon film, à l'esthétique très travaillée. Le film sombre peu à peu dans la violence, révélant quelques rebondissements mémorables, pour se terminer dans une apothéose d'action dramatique. Un régal!
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