Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Beau film sur cette impuissance, justement, à rendre la complexité d'une situation qui dépasse avant tout ses garde-fous, et qui plutôt que de se rendre à la réduction, préfère plonger dans un abîme de questionnements ouverts sur la nuit (...) Le choc du Festival de Cannes 2005.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) le cinéaste israélien Avi Mograbi livre une analyse limpide, féroce, drôle et décapante des paradoxes de la société israélienne (...) Précipitez-vous.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Ouest France
par La rédaction
Un regard sans concession, un propos sans leçon. Et après tant d'images volées à la réalité, un montage qui peine à trouver des raisons d'espérer.
Paris Match
par Christine Haas
Cinéaste du malaise et pamphlétaire façon Michael Moore, militant de gauche dont les états d'âme évoquent Nanni Moretti, Avi Mograbi, depuis dix ans, fait de son oeuvre un lieu de débat politique et affectif dont l'écho est unique au monde.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Isabelle Danel
Ce documentaire engagé, complexe mais foisonnant, est le cri d'un homme armé de sa seule caméra et d'une saine colère.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Jean-Pierre Rehm
Enfermé dans le confort de son chez lui par les actus télé qui passent à côté de sa tête, le cinéaste tente vainement de raisonner, de faire rire, de redonner à son ami invisible le goût d'une vie que lui-même mène déjà en miniature, en bulle dans son studio, impuissant.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Ciné Live
par Gregory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Un regard très personnel qui dénonce l'exaltation d'un héroïsme mortifère pour prôner un dialogue plus quotidien et plus humain entre les deux peuples.
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Le message de Pour un seul de mes deux yeux est l'affirmation du droit de vivre pour chacun, le refus de sacrifier ses enfants.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Un brin "intello" et cependant passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Air déjà connu, mais c'est le genre d'injustice qu'il ne faut pas se lasser de dénoncer. Reste à savoir si les documentaires de la gauche israélienne ont un impact sur la politique. On n'en est pas convaincu. Cela n'empêche pas Mograbi d'être un pamphlétaire du cinéma comme on aimerait en avoir en Europe.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Nathalie Levisalles
Toujours percutant mais moins burlesque, "Pour un seul de mes deux yeux", son septième docu, démonte les modèles de la société israélienne.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Camille Brun
Avec une intelligence rare, il enchaîne des scènes qui se répondent et se développent à partir des conversations téléphoniques du cinéaste avec un ami palestinien, sans que jamais on ait l'impression d'être manipulés par les images.
Positif
par Vincent Thabourey
Cet autoportrait de cinéaste en territoire occupé laisse alors exploser une colère qui lui confère une humanité aussi brutale que nécessaire.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Cinéaste de la colère et de la provocation, Avi Mograbi lance ici un cri d'impuissance et de désespoir.
Télérama
par Cécile Mury
Le documentaire est touffu, parfois brouillon, toujours profondément personnel. Avi Mograbi a coutume de se mettre en scène, à la manière d'un Nanni Moretti proche-oriental, sur le mode comico-rageur, ne censurant ni son impuissance ni ses accès de révolte.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Eric Quéméré
(...) oeuvre où se mêlent colère et effacement.
aVoir-aLire.com
par Rania Hoballah
Cinéaste engagé, Avi Mograbi continue à ausculter les maux de son pays dans une sorte de journal intime filmé.
Chronic'art.com
Beau film sur cette impuissance, justement, à rendre la complexité d'une situation qui dépasse avant tout ses garde-fous, et qui plutôt que de se rendre à la réduction, préfère plonger dans un abîme de questionnements ouverts sur la nuit (...) Le choc du Festival de Cannes 2005.
L'Obs
(...) le cinéaste israélien Avi Mograbi livre une analyse limpide, féroce, drôle et décapante des paradoxes de la société israélienne (...) Précipitez-vous.
Ouest France
Un regard sans concession, un propos sans leçon. Et après tant d'images volées à la réalité, un montage qui peine à trouver des raisons d'espérer.
Paris Match
Cinéaste du malaise et pamphlétaire façon Michael Moore, militant de gauche dont les états d'âme évoquent Nanni Moretti, Avi Mograbi, depuis dix ans, fait de son oeuvre un lieu de débat politique et affectif dont l'écho est unique au monde.
Première
Ce documentaire engagé, complexe mais foisonnant, est le cri d'un homme armé de sa seule caméra et d'une saine colère.
Cahiers du Cinéma
Enfermé dans le confort de son chez lui par les actus télé qui passent à côté de sa tête, le cinéaste tente vainement de raisonner, de faire rire, de redonner à son ami invisible le goût d'une vie que lui-même mène déjà en miniature, en bulle dans son studio, impuissant.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Un regard très personnel qui dénonce l'exaltation d'un héroïsme mortifère pour prôner un dialogue plus quotidien et plus humain entre les deux peuples.
Le Monde
Le message de Pour un seul de mes deux yeux est l'affirmation du droit de vivre pour chacun, le refus de sacrifier ses enfants.
Le Parisien
Un brin "intello" et cependant passionnant.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Air déjà connu, mais c'est le genre d'injustice qu'il ne faut pas se lasser de dénoncer. Reste à savoir si les documentaires de la gauche israélienne ont un impact sur la politique. On n'en est pas convaincu. Cela n'empêche pas Mograbi d'être un pamphlétaire du cinéma comme on aimerait en avoir en Europe.
Libération
Toujours percutant mais moins burlesque, "Pour un seul de mes deux yeux", son septième docu, démonte les modèles de la société israélienne.
MCinéma.com
Avec une intelligence rare, il enchaîne des scènes qui se répondent et se développent à partir des conversations téléphoniques du cinéaste avec un ami palestinien, sans que jamais on ait l'impression d'être manipulés par les images.
Positif
Cet autoportrait de cinéaste en territoire occupé laisse alors exploser une colère qui lui confère une humanité aussi brutale que nécessaire.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Cinéaste de la colère et de la provocation, Avi Mograbi lance ici un cri d'impuissance et de désespoir.
Télérama
Le documentaire est touffu, parfois brouillon, toujours profondément personnel. Avi Mograbi a coutume de se mettre en scène, à la manière d'un Nanni Moretti proche-oriental, sur le mode comico-rageur, ne censurant ni son impuissance ni ses accès de révolte.
Zurban
(...) oeuvre où se mêlent colère et effacement.
aVoir-aLire.com
Cinéaste engagé, Avi Mograbi continue à ausculter les maux de son pays dans une sorte de journal intime filmé.