Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
(critique cannoise)Le spectacle ne dépasse pas son honorable condition d'instrument pédagogique, alors qu'on le sent parcouru d'aspirations plus élevées.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Laeticia Mikles
Mais les écueils sont nombreux et le réalisateur les frôle de très près.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
The Hollywood Reporter
par Duane Byrge
(critique cannoise) La première partie (...) est enthousiasmante. Surtout, le talent du vibrant Matteo Gadola dans le rôle de Sandro nous éclabousse (...) Mais à partir du moment où le garçon tombe dans la mer, le film commence à prendre l'eau.
Variety
par Jay Weissberg
(critique cannoise) (...) Giordana et ses scénaristes tombent dans le piège du didactisme, allant à l'encontre de la subtilité des premières scènes. Ce sont de merveilleux conteurs, et si le dernier quart de film est plus faible, la fin est puissante.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Zurban
par Charlotte Lipinska
[car] entre un (trop) long prologue sur la jeunesse dorée, la prise de conscience de la misère du monde et la culpabilité, le film s'égare sur pusieurs pistes et perd du temps.
Brazil
par Caroline Vié
On est sidéré par la lourdeur d'une démonstration qui parvient rapidement à distiller (...) un agacement progressif qui se transforme vivement en puissant ennui.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Cahiers du Cinéma
par Eugenio Renzi
Plus noble, mais aussi plus dur et radical, aurait été, de la part du réalisateur et de ses scénaristes, de s'intéresser au point de vue du père ou de la mère, auxquels n'est pourtant réservé qu'une caricature pénible.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Non seulement la mise en scène de Giordana est à peine plus vive qu'un poisson mort, mais surtout elle ne fait qu'entretenir, par ses propres moyens, la situation qu'elle entend dénoncer en agitant les bras et à grand renfort de pathos faux-derche.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Laurent Dijan
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Monde
par Thomas Sotinel
La volonté de traiter par la fiction un thème d'actualité, le recours à des artifices de scénario (...) et un souci d'éducation civique se conjuguent pour donner une sensation de pesanteur qui ne peut que conforter les déjà convaincus et exaspérer les autres.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Beau sujet, mais noyé ici dans des flots d'images lisses, de caractérisations manichéennes outrées (...) et de "bien-pensance" au kilo.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Philippe Descottes
(critique cannoise) (...) le bât blesse au niveau du scénario (...) des scènes (...) auraient mérité quelques coupes, tandis que d'autres auraient gagné à être développées (...) D'où cette impression qui se dégage du film : bien trop long, confus et inachevé.
Score
par Alex Masson
C'est Tullio Giordana qui tombe à l'eau avec un film navigant sur les bons sentiments, mais surtout sur un dangereux sens du politiquement correct.
La critique complète est disponible sur le site Score
TéléCinéObs
par Bernard Achour
Engluée dans une bonne conscience sans recul, l'histoire de ce gamin (...) ne dépasse jamais le stade du tract naïf, parasitée en outre par une sorte de populisme de gauche souvent ambigu.
Télérama
par Pierre Murat
La mission du gamin - provoquer notre empathie - est écrasante. Sandro s'en sort avec les honneurs, mais sans panache. A l'image du cinéaste, dont la générosité se perd en langueurs et longueurs. Voire dans l'outrance dramatique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Télérama
par Aurélien Férenczi
(critique cannoise) Dommage que [Giordana] accède à la compétition avec son film le plus faible, sujet respectable gâché par des facilités de style (et notamment un penchant pour la manip' émotionnelle) (...)
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Parcours initiatique convenu, personnages taillés dans le marbre manichéen, artificialité des situations, mise en scène inexistante...
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
(critique cannoise)Le spectacle ne dépasse pas son honorable condition d'instrument pédagogique, alors qu'on le sent parcouru d'aspirations plus élevées.
Positif
Mais les écueils sont nombreux et le réalisateur les frôle de très près.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
The Hollywood Reporter
(critique cannoise) La première partie (...) est enthousiasmante. Surtout, le talent du vibrant Matteo Gadola dans le rôle de Sandro nous éclabousse (...) Mais à partir du moment où le garçon tombe dans la mer, le film commence à prendre l'eau.
Variety
(critique cannoise) (...) Giordana et ses scénaristes tombent dans le piège du didactisme, allant à l'encontre de la subtilité des premières scènes. Ce sont de merveilleux conteurs, et si le dernier quart de film est plus faible, la fin est puissante.
Zurban
[car] entre un (trop) long prologue sur la jeunesse dorée, la prise de conscience de la misère du monde et la culpabilité, le film s'égare sur pusieurs pistes et perd du temps.
Brazil
On est sidéré par la lourdeur d'une démonstration qui parvient rapidement à distiller (...) un agacement progressif qui se transforme vivement en puissant ennui.
Cahiers du Cinéma
Plus noble, mais aussi plus dur et radical, aurait été, de la part du réalisateur et de ses scénaristes, de s'intéresser au point de vue du père ou de la mère, auxquels n'est pourtant réservé qu'une caricature pénible.
Chronic'art.com
Non seulement la mise en scène de Giordana est à peine plus vive qu'un poisson mort, mais surtout elle ne fait qu'entretenir, par ses propres moyens, la situation qu'elle entend dénoncer en agitant les bras et à grand renfort de pathos faux-derche.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
La volonté de traiter par la fiction un thème d'actualité, le recours à des artifices de scénario (...) et un souci d'éducation civique se conjuguent pour donner une sensation de pesanteur qui ne peut que conforter les déjà convaincus et exaspérer les autres.
Les Inrockuptibles
Beau sujet, mais noyé ici dans des flots d'images lisses, de caractérisations manichéennes outrées (...) et de "bien-pensance" au kilo.
MCinéma.com
(critique cannoise) (...) le bât blesse au niveau du scénario (...) des scènes (...) auraient mérité quelques coupes, tandis que d'autres auraient gagné à être développées (...) D'où cette impression qui se dégage du film : bien trop long, confus et inachevé.
Score
C'est Tullio Giordana qui tombe à l'eau avec un film navigant sur les bons sentiments, mais surtout sur un dangereux sens du politiquement correct.
TéléCinéObs
Engluée dans une bonne conscience sans recul, l'histoire de ce gamin (...) ne dépasse jamais le stade du tract naïf, parasitée en outre par une sorte de populisme de gauche souvent ambigu.
Télérama
La mission du gamin - provoquer notre empathie - est écrasante. Sandro s'en sort avec les honneurs, mais sans panache. A l'image du cinéaste, dont la générosité se perd en langueurs et longueurs. Voire dans l'outrance dramatique.
Télérama
(critique cannoise) Dommage que [Giordana] accède à la compétition avec son film le plus faible, sujet respectable gâché par des facilités de style (et notamment un penchant pour la manip' émotionnelle) (...)
aVoir-aLire.com
Parcours initiatique convenu, personnages taillés dans le marbre manichéen, artificialité des situations, mise en scène inexistante...