Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Critikat.com
par Ferhat Abbas
Piégé par un souci esthétique prenant rapidement le pas sur le traitement de l’intrigue autant que sur la construction des personnages, le filmage de Glenio Bonder tombe dans le piège d’un maniérisme qu’on pourrait soupçonner de vouloir masquer un manque d’inventivité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Les aficionados du chef-d'oeuvre d'Albert Cohen ont sans doute tout intérêt à retourner aux pages de ce roman réputé inadaptable.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Ici, le luxe, les exaltations des personnages ne semblent que caprices d’enfant gâté, aussi agaçant qu’argenté.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Caroline Derache
Inspiré du roman d'Albert Cohen, ce film, à la mise en scène parfois maladroite, plonge le spectateur dans une atmosphère oppressante.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
TéléCinéObs
par Marie-Elisabeth Rouchy
[Le] scénario [de Glenio Bonder] est habile (...). La mise en scène est moins heureuse. Gravement malade au moment du tournage, le réalisateur n’a pu en achever le montage, donnant davantage à son film valeur de témoignage que de véritable œuvre.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Le Monde
par Sandrine Marques
Incapable de restituer le tragique de cette relation destructrice et de lui donner de la profondeur, Glenio Bonder aligne une série de poncifs qu'accentue une mise en scène de papier glacé.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Christophe Narbonne
Le résultat ressemble à un banal roman de gare à l'esthétique publicitaire tapageuse.
Critikat.com
Piégé par un souci esthétique prenant rapidement le pas sur le traitement de l’intrigue autant que sur la construction des personnages, le filmage de Glenio Bonder tombe dans le piège d’un maniérisme qu’on pourrait soupçonner de vouloir masquer un manque d’inventivité.
La Croix
Les aficionados du chef-d'oeuvre d'Albert Cohen ont sans doute tout intérêt à retourner aux pages de ce roman réputé inadaptable.
Le Journal du Dimanche
Ici, le luxe, les exaltations des personnages ne semblent que caprices d’enfant gâté, aussi agaçant qu’argenté.
Les Fiches du Cinéma
Inspiré du roman d'Albert Cohen, ce film, à la mise en scène parfois maladroite, plonge le spectateur dans une atmosphère oppressante.
TéléCinéObs
[Le] scénario [de Glenio Bonder] est habile (...). La mise en scène est moins heureuse. Gravement malade au moment du tournage, le réalisateur n’a pu en achever le montage, donnant davantage à son film valeur de témoignage que de véritable œuvre.
Le Monde
Incapable de restituer le tragique de cette relation destructrice et de lui donner de la profondeur, Glenio Bonder aligne une série de poncifs qu'accentue une mise en scène de papier glacé.
Première
Le résultat ressemble à un banal roman de gare à l'esthétique publicitaire tapageuse.