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(...) il y a Beyoncé Knowles, parfaite. Mais la révélation de ce "musical", c'est la très grande Jennifer Hudson (...) à la fois puissamment convaincante et d'une fraîcheur émouvante.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Plus qu'une suite de numéros musicaux à grand spectacle (...) Dreamgirls évoque l'avènement douloureux de la musique afro-américaine, entre glamour et sordide.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Mélodrame énergique, le film de Bill Condon avance vite et fort à coups de chansons, apportant au passage deux révélations : le talent d'une nouvelle venue, Jennifer Hudson, et la qualité de comédien complet d'Eddie Murphy, qui se contentait depuis un quart de siècle de son statut de clown.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Difficile (...) de ne pas se laisser emporter par la magnificence des décors et des costumes transportant le spectateur dans ces années 1960 et 1970 rêvées, voire fantasmées.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le film pêche en longueur, manque de rythme, préfère la grandiloquence de Broadway à l'énergie de la soul et sombre à plusieurs reprises dans un pathos peu convaincant.
La critique complète est disponible sur le site Africultures.com
Reste que Dreamgirls reste étrangement excitant, peut-être parce qu'il met en romance et en images l'emprise grandissante du show-business (qui est le nom exact qui se cache sous le mot "rêve"), décorant de joliesse pailletée et de facticité glamour la politique, la morale, les relations intimes. Jusqu'à écoeurement.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Dommage qu'il n'ait pas pris plus de liberté avec l'oeuvre originale. Il reste très attaché à la description de l'univers du show-buziness, avec son lot convenu de coups bas, de réussites, de trahisons, de réconciliations et de reniements.
Quand il joue pleinement le jeu de la comédie musicale (...) le film ne manque pas de vigueur (...) le reste est, hélas, plus conventionnel, le montage-mitraillette ne laissant pas beaucoup de place aux interprètes pour bâtir de vrais personnages.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
(...) cette adaptation d'un musical de Broadway manque de caractère, braille ses dialogues jusqu'à épuisement du spectateur, et au final, ne touche pas.
La critique complète est disponible sur le site Score
(...) le film de Bill Condon souffre d'un profond déséquilibre qualitatif entre le fond et la forme. Sous l'enveloppe attrayante, on ne relève qu'un total manque de consistance.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Dreamgirls, trop poli pour faire un choix, ne s'intéresse à aucun de ses personnages en voulant s'intéresser à tout le monde. En ressort une vilaine purée sans forme et surtout sans âme, ce qui est un comble pour un film sur la soul music.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Elle
(...) il y a Beyoncé Knowles, parfaite. Mais la révélation de ce "musical", c'est la très grande Jennifer Hudson (...) à la fois puissamment convaincante et d'une fraîcheur émouvante.
20 Minutes
Plus qu'une suite de numéros musicaux à grand spectacle (...) Dreamgirls évoque l'avènement douloureux de la musique afro-américaine, entre glamour et sordide.
Le Figaroscope
Pas de fausse note dans cette évocation musicale très rythmée (...)
Le Monde
Mélodrame énergique, le film de Bill Condon avance vite et fort à coups de chansons, apportant au passage deux révélations : le talent d'une nouvelle venue, Jennifer Hudson, et la qualité de comédien complet d'Eddie Murphy, qui se contentait depuis un quart de siècle de son statut de clown.
Le Parisien
Difficile (...) de ne pas se laisser emporter par la magnificence des décors et des costumes transportant le spectateur dans ces années 1960 et 1970 rêvées, voire fantasmées.
Télé 7 Jours
(...) Un show brillant, 100% divertissant. Comme seul Hollywood en a le secret.
Africultures.com
Le film pêche en longueur, manque de rythme, préfère la grandiloquence de Broadway à l'énergie de la soul et sombre à plusieurs reprises dans un pathos peu convaincant.
Brazil
(...) le film démarre fort, mais subit un sérieux coup de mou au bout d'une heure.
Cahiers du Cinéma
La récréation ne manque ni d'attrait, ni d'allant (...)
Libération
Reste que Dreamgirls reste étrangement excitant, peut-être parce qu'il met en romance et en images l'emprise grandissante du show-business (qui est le nom exact qui se cache sous le mot "rêve"), décorant de joliesse pailletée et de facticité glamour la politique, la morale, les relations intimes. Jusqu'à écoeurement.
MCinéma.com
Mais si aucune paillette, aucune perruque ne fait défaut à cette évocation de la musique afro-américaine, il manque quand même un peu d'âme.
Metro
(...) une adaptation soignée de la célèbre comédie musicale (...)
Ouest France
Dommage qu'il n'ait pas pris plus de liberté avec l'oeuvre originale. Il reste très attaché à la description de l'univers du show-buziness, avec son lot convenu de coups bas, de réussites, de trahisons, de réconciliations et de reniements.
Positif
Malgré les problèmes d'adaptation et le peu d'invention de certaines séquences, Dreamgirls n'est pas déplaisant.
Télérama
Quand il joue pleinement le jeu de la comédie musicale (...) le film ne manque pas de vigueur (...) le reste est, hélas, plus conventionnel, le montage-mitraillette ne laissant pas beaucoup de place aux interprètes pour bâtir de vrais personnages.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
(...) cette comédie musicale (...) embrasse trop et étreint mal.
Le Journal du Dimanche
Une succession de clips à la gloire de Beyoncé, elle-même sans grand talent.
Les Inrockuptibles
L'histoire romancée des Supremes mais avec une sale guimauve a la place de leurs tubes.
Score
(...) cette adaptation d'un musical de Broadway manque de caractère, braille ses dialogues jusqu'à épuisement du spectateur, et au final, ne touche pas.
aVoir-aLire.com
(...) le film de Bill Condon souffre d'un profond déséquilibre qualitatif entre le fond et la forme. Sous l'enveloppe attrayante, on ne relève qu'un total manque de consistance.
Chronic'art.com
Dreamgirls, trop poli pour faire un choix, ne s'intéresse à aucun de ses personnages en voulant s'intéresser à tout le monde. En ressort une vilaine purée sans forme et surtout sans âme, ce qui est un comble pour un film sur la soul music.
L'Obs
Que le junkie du genre soit prévenu : très, très mauvais trip en perspective.
TéléCinéObs
C`est un empilement de numéros musicaux sans intérêt et filmés comme un prime de la " Star Ac ".