Je ne suis pas là pour être aimé : Critique presse
Je ne suis pas là pour être aimé
Note moyenne
4,3
22 titres de presse
Brazil
Chronic'art.com
Elle
Le Parisien
Le Point
Les Inrockuptibles
Studio Magazine
TéléCinéObs
Télérama
Ciné Live
L'Express
Le Figaro
Le Figaroscope
Le Monde
Libération
Ouest France
Paris Match
Positif
Première
aVoir-aLire.com
MCinéma.com
Zurban
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Brazil
par Eric Coubard
(...) long-métrage admirable. Ce film intimiste, douloureux et profondément attachant n'est pas sans rappeler un certain Quand la mer monte pour sa justesse de ton, son étude riche de notre quotidien.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
(...) une puissance discrète mais habile qui permet au film de ne jamais réellement flancher en d'abordant les grandes scènes avec une agréable sérénité (...) Bonne mécanique, bon mécano, grand petit film.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Elle
par Florence Ben Sadoun
Chesnais, c'est Droopy au pays des PV qui rencontre l'émotion sur un double paso de tango avec Fanfan (Anne Consigny). Un trouble naît, un presque rien qui ébranle tout.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
"Je ne suis pas là pour être aimé" est un film qui fonctionne par effleurements, par petites touches toujours justes. (...) Allez voir ce film, qui met parfois les larmes aux yeux. (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Julien Gester
"Je ne suis pas là..." (...) esquisse avec fraîcheur, tendresse et parfois drôlerie l'existence parfaitement sinistres dans laquelle se morfond son protagoniste (...)
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Magazine
par Philippe Piazzo
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Philippe Piazzo
Porté par des interprêtes tous sensationnels (...) le deuxième long-métrage de Stéphane Brizé est (...) aussi modeste que réussi. Il dispense un petit bonheur si intense qu'il serait tout à fait déraisonnable de s'en priver.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Pierre Murat
Mais comme c'est visiblement un humaniste - et tant pis pour ceux qui trouvent le mot galvaudé -, le cinéaste a l'élégance de vouloir donner à chacun une chance de se, et de nous, surprendre. (...) Son audace, c'est de s'attacher à la fragilité de ses " coeurs simples ", sans les magnifier, ni les mépriser. Et, un peu comme Ozu jadis, de les filmer simplement, au ras de leurs émotions.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
par Laurent Dijan
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
par Brigitte Baudin
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
Stéphane Brizé (...) a réussi une jolie comédie toute en finesse. L'histoire reste de facture classique mais dévoile avec tendresse des êtres en quête d'un bonheur qu'ils espèrent mais n'attendent plus.
Le Monde
par Jean-Luc Douin
La grande qualité de ce film délicat est d'adopter la retenue pudique de ses personnages. En empathie avec ces handicapés de l'émotion, "Je ne suis pas là pour être aimé" structure les scènes autour des silences, trouve la bonne distance pour capter le choc et l'attirance des timidités.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Gilles Renault
"Je ne suis pas là pour être aimé" est un film de laissés pour compte. Par analogie, on aimera y voir comme la réévaluation d'acteurs qui n'ont, eux-mêmes, pas toujours été traités à leur juste niveau.
Ouest France
par La rédaction
Stéphane Brizé franchit avec le même succès le cap délicat du film suivant. Une déclinaison douce-amère de la difficulté à vivre en harmonie avec ses sentiments, ses désirs, ses blessures, ses rêves et ses échecs.
Paris Match
par Christine Haas
(...) Stéphane Brizé tricote avec sensibilité sur le thème mélancolique de la dernière chance. (...) Malgré un déroulement un peu prévisible et des séquences dansées un peu longuettes, l'humour et la poésie de l'auteur offre de jolis moments.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Franck Garbarz
(...) un respect, au sens le plus noble du terme, pour des personnages qui ne se respectaient plus eux-mêmes.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Sophie Grassin
Sensibilité de la mise en scène, mélancolie du propos, justesse et charme des deux comédiens principaux, tout concourt à faire de Je ne suis pas là... un film à voir et à considérer.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Catherine Le Ferrand
Le non-dit calfeutre un monde douillet où le malheur n'existe pas tant qu'on n'en parle pas. On ne sombre pas pour autant dans le conte de fées. Stéphane Brizé se tient toujours en équilibre entre la comédie et le drame intimiste, se pose en observateur et lance ses personnages dans la possibilité d'une vie. A eux de jouer... (...)
MCinéma.com
par Aurélien Allin
Autant de qualités d'écriture et d'interprétation qui font (...) oublier un certain manque d'originalité et une tendance parfois inutile à exacerber le décalage humoristique.
Zurban
par Véronique Le Bris
(...) ce deuxième film de Stéphane Brizé aurait gagné en empathie s'il avait évité les clichés sur le métier de son "héros" et la résurrection par le tango, pas très originale. Restent deux comédiens rares au cinéma et, ici, au meilleur de leur forme: la belle Anne Consigny et l'énigmatique mais parfait Patrick Chesnais.
Brazil
(...) long-métrage admirable. Ce film intimiste, douloureux et profondément attachant n'est pas sans rappeler un certain Quand la mer monte pour sa justesse de ton, son étude riche de notre quotidien.
Chronic'art.com
(...) une puissance discrète mais habile qui permet au film de ne jamais réellement flancher en d'abordant les grandes scènes avec une agréable sérénité (...) Bonne mécanique, bon mécano, grand petit film.
Elle
Chesnais, c'est Droopy au pays des PV qui rencontre l'émotion sur un double paso de tango avec Fanfan (Anne Consigny). Un trouble naît, un presque rien qui ébranle tout.
Le Parisien
"Je ne suis pas là pour être aimé" est un film qui fonctionne par effleurements, par petites touches toujours justes. (...) Allez voir ce film, qui met parfois les larmes aux yeux. (...)
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
"Je ne suis pas là..." (...) esquisse avec fraîcheur, tendresse et parfois drôlerie l'existence parfaitement sinistres dans laquelle se morfond son protagoniste (...)
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Porté par des interprêtes tous sensationnels (...) le deuxième long-métrage de Stéphane Brizé est (...) aussi modeste que réussi. Il dispense un petit bonheur si intense qu'il serait tout à fait déraisonnable de s'en priver.
Télérama
Mais comme c'est visiblement un humaniste - et tant pis pour ceux qui trouvent le mot galvaudé -, le cinéaste a l'élégance de vouloir donner à chacun une chance de se, et de nous, surprendre. (...) Son audace, c'est de s'attacher à la fragilité de ses " coeurs simples ", sans les magnifier, ni les mépriser. Et, un peu comme Ozu jadis, de les filmer simplement, au ras de leurs émotions.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Stéphane Brizé (...) a réussi une jolie comédie toute en finesse. L'histoire reste de facture classique mais dévoile avec tendresse des êtres en quête d'un bonheur qu'ils espèrent mais n'attendent plus.
Le Monde
La grande qualité de ce film délicat est d'adopter la retenue pudique de ses personnages. En empathie avec ces handicapés de l'émotion, "Je ne suis pas là pour être aimé" structure les scènes autour des silences, trouve la bonne distance pour capter le choc et l'attirance des timidités.
Libération
"Je ne suis pas là pour être aimé" est un film de laissés pour compte. Par analogie, on aimera y voir comme la réévaluation d'acteurs qui n'ont, eux-mêmes, pas toujours été traités à leur juste niveau.
Ouest France
Stéphane Brizé franchit avec le même succès le cap délicat du film suivant. Une déclinaison douce-amère de la difficulté à vivre en harmonie avec ses sentiments, ses désirs, ses blessures, ses rêves et ses échecs.
Paris Match
(...) Stéphane Brizé tricote avec sensibilité sur le thème mélancolique de la dernière chance. (...) Malgré un déroulement un peu prévisible et des séquences dansées un peu longuettes, l'humour et la poésie de l'auteur offre de jolis moments.
Positif
(...) un respect, au sens le plus noble du terme, pour des personnages qui ne se respectaient plus eux-mêmes.
Première
Sensibilité de la mise en scène, mélancolie du propos, justesse et charme des deux comédiens principaux, tout concourt à faire de Je ne suis pas là... un film à voir et à considérer.
aVoir-aLire.com
Le non-dit calfeutre un monde douillet où le malheur n'existe pas tant qu'on n'en parle pas. On ne sombre pas pour autant dans le conte de fées. Stéphane Brizé se tient toujours en équilibre entre la comédie et le drame intimiste, se pose en observateur et lance ses personnages dans la possibilité d'une vie. A eux de jouer... (...)
MCinéma.com
Autant de qualités d'écriture et d'interprétation qui font (...) oublier un certain manque d'originalité et une tendance parfois inutile à exacerber le décalage humoristique.
Zurban
(...) ce deuxième film de Stéphane Brizé aurait gagné en empathie s'il avait évité les clichés sur le métier de son "héros" et la résurrection par le tango, pas très originale. Restent deux comédiens rares au cinéma et, ici, au meilleur de leur forme: la belle Anne Consigny et l'énigmatique mais parfait Patrick Chesnais.