Avis : Flyboys - Page 5

Les gentils américains qui tuent les méchants allemands, qui sauvent la veuve et l'orphelin et qui pleurent leurs amis mort à la guerre, un film clichesque et rempli de bons sentiments avec des maquettes mal faites et des explosions de fêtes foraines, bref pour un film de 2006 c'est raté comme effet spécial, allez je me remate la série avec papy boyington.

Bof..! Un film cliché, long, lent.. avec toujours ces Américain qui sont des héros. On n'arrive pas à s'attacher à ces personnages, et donc certaines disparitions nous laissent sans aucune émotion, d'autant qu'on a du mal à reconnaître qui est qui dans les scènes aériennes. Point positif : mettre en avant ces escadrille Lafayette peu connue.

Les commémorations du centenaire de 1918 font ressortir ce film peu connu et passé un peu inaperçu sur la deuxième guerre mondiale, film essentiellement de combats aériens. Réalisé en 2006 il met en vedette surtout James Franco et un peu Jean Reno avec l'histoire d'une escouade de pilotes américains venant prêter main forte aux français et cela avant l'entrée en guerre des États Unis. C'est la vie de cette petite section de chevaliers volants que l'on suit, à terre et dans les airs, le tout sous l'autorité administrative et militaire au sol de Jean Reno. On suit surtout le héros James Franco et l'évolution des compétences de ces jeunes pilotes avec après chaque mission quelques pertes. Constitution d'époque juste correcte, combats aériens dans ces coucous d'antan assez spectaculaires et plutôt bien filmés mais cela devient vite un peu répétitif et sans grande consistance narrative, une petite romance sans beaucoup d'intérêt et surtout d'âme et d'émotion, se glissant au milieu au passage. Un film très moyen qui ne laissera pas beaucoup de traces.

« Flyboys » revient sur une histoire peu connue de la grande histoire c’est-à-dire ici la constitution au sein de l’armée française d’une escadrille de pilotes américains : l’Escadrille Lafayette. Alors le propos est traité à la manière hollywoodienne avec des héros pleins de fêlures qui trouvent au sein de cette aventure un moyen de se retrouver, des bons sentiments, l’incontournable histoire d’amour, de la musique lourdement démonstrative et des scènes d’actions. On pourrait lui trouver en somme les mêmes défauts que « Pearl Harbor » le patriotisme yankee en moins. Mais si le premier se vautrait lourdement dans ces écueils, « Flyboys » s’y complait moins et traite le sujet avec un peu plus de délicatesse. Il demeure également le charme d’une époque où l’aviation en était encore à ces balbutiements et où monter dans un avion relevait presque de l’acte de foi. Les personnages sont attachants tant ils sont loin de l’image que l’on se fait des pilotes de chasse modernes à mi-chemin entre l’ingénieur en mathématiques et G.I Joe, ici une bande de jeunes paumés au parcourt très divers (fils à papa, propriétaire de ranch, ex-boxers, criminel en fuite…) qui se lancent dans cette aventure avec un enthousiasme qui n’a d’égal que leurs profonde ignorance de la guerre et de l’aviation. Les scènes de combats aériens sans être incroyablement spectaculaires sont vraiment très bonnes et donne des séquences vraiment inédites tant cette période de l’aviation a été peu montrée même dans les films traitant de cette époque. Une œuvre attachante à défaut d’être exempte de tout reproche et qui réussit à maintenir un intérêt constant du spectateur tout en lui faisant adhérer sans restriction à l’aventure de ces fous du ciel. Un film à voir avec beaucoup de tendresse.

"Top gun" à la 1ère guerre mondiale. Nos amis outre-atlantique ne lésinent pas sur les moyens quand il s'agit de rappeler l'héroisme dont ils ont fait preuve. Les scènes d'action sont très spéctaculaires mais peu crédibles, l'histoire assez simple mais le scenario bien ficelé dans un enchainement sans temps morts appréciable. Mais pour un hommage c'est un peu trop hollywoodien...

Je ne comprends pas pourquoi ce film a été boudé par les spectateurs et les critiques. C’est vrai que le contexte de la première guerre mondiale n’est guère à la mode. Moi qui voue une certaine admiration aux légendes de l’aviation et leurs exploits militaires (comme le pilote allemand Von Richthofen alias le Baron rouge et ses 80 victoires durant la guerre 14-18 à bord de son Fokker) ; ce film ne pouvait que m’intéresser. Les scènes de combats aériens avec les biplans et autres triplans sont impressionnantes. Le côté historique du film (l’escadrille La Fayette) est instructif. Seules les scènes sentimentales bourrées de clichés ralentissent le rythme inutilement. A voir, d’autant qu’un film avec des as de l’aviation, c’est plutôt rare sur les écrans.

Flyboys est un film médiocre de Tony Bill. La mise en scène du réalisateur n’a rien d’exceptionnelles, le scénario aurait mérité d’être un peu plus travaillé et affiné et les dialopgues également. De plus le film n’a pas beaucoup d’intérêt. Néanmoins, les acteurs comme James Franco, Jean Reno ou encore Jennifer Decker sont corrects dans leurs interprétations.

Sans être un chef d'oeuvre, ce Flyboys est largement sous estimé. On passe un agréable moment a découvrir l'ambiance et le quotidien des as volants de la "grande guerre". Un travail honnete avec ses morceaux de bravoure et ses personnages relativement attachants meme si le résultat reste inégale. Dommage que le public ne se passionne pas pour cette période de l'histoire pas si lointaine (il faut y chercher surement la la raison de l'echec du film). En résumé, une valeur sure du cinema "pop corn" en DVD.

Ce film est un très bon film de guerre. Malgré les critiques, le casting relève très bon défis grâce au charisme grandissant de James Franco et celui implacable de Jean Reno. Les scènes de vol sont très bien orchestrées coupés par des scènes de romance dans le film. Un très bon film historique basé sur un très récit de guerre.

2ème visionnage pour moi de ce film de guerre sur l'escadrille LAFAYETTE composée de volontaires américains qui rejoignirent les soldats français pour se battre dans les airs à leur côté bien avant l'entrée officielle des USA dans la Ière Guerre Mondiale.
Un film hommage avec de très belles scènes de combat aériens ! La boucherie n'avait pas seulement lieux dans les tranchées mais parfois dans les airs même si un certain code d'honneur prenait place entre adversaires, la victoire restait primodiale !
Un bonne réalisation avec de bons acteurs secondaires accompagnant les acteurs stars (James Franco et Jean Reno), des bons effets spéciaux, de fomidables duels aériens !
Dommage que ce film soit si peu connu

Flyboys est beaucoup trop long et mou du genoux, les effets spéciaux ont un goût d'inachevé et les dialogues sont vides. Le casting est bon sur le papier mais ça se révèle insuffisant pour rattraper le coup.

Pas mal d’incohérences et de choses irréelles (particulièrement dans les airs), de flagornerie yankee. C'est toujours cinématographique de filmer des combats aériens même si ce n’est pas transcendant (cf Dunkerque). Le scénario est cliché, pas original (malgré le fait historique), mou et pas assez crédible. Au final c'est trop long et on finit par décrocher.
Un film relativement niais et mièvre.

Rien à retenir de ce film. Des acteurs simple dans leur prestation, et une histoire; qui bien que rarement exploité au cinéma. N'arrive pas à sortir du lot. L'histoire d'amour ainsi que les scènes d'action manque cruellement d'énergie et aucune surprise du début à la fin... Bref, on ne peut que l'oublier une fois le générique de fin terminé.

Une bonne surprise que ce film racontant l'histoire (vraie) de l'escadrille Lafayette, des pilotes US venus prêter main forte aux alliés pendant la 1ère guerre mondiale. Les combats aériens sont vraiment excellents, la reconstitution des conditions de vie d'époque font un peu kitsch, ainsi que les scènes entre James Franco et sa chère et tendre française, mais cela ne nuit pas à la bonne impression d'ensemble.

"Flyboys" a un double intérêt. Tout d’abord, du fait qu’il s’appuie sur des faits historiques bien réels, on apprend des choses, comme l’existence de cette escadrille Lafayette, constituée en grande partie de jeunes soldats américains venus prêter main forte bien avant que leur propre patrie entre dans le conflit. J’ai beau me creuser la cervelle, je ne me souviens pas que ce genre de détail ait été enseigné en cours d’histoire. L’autre intérêt réside dans les prises de vue, alors que les aéroplanes ne sont encore qu’une invention toute récente, et déjà on ne peut que constater l’immense pouvoir de créativité des ingénieurs pour concevoir des avions plus sûrs, plus maniables, et plus rapides. Ainsi nous voyons la formidable opposition des biplans français aux fameux triplans allemands. Et quand on voit leur architecture, on doit reconnaître que les pilotes étaient dotés d’un sacré courage pour oser défier les lois de la gravité en se transformant en de véritables funambules. Et c’est en partie en cela que les prises de vue sont intéressantes : malgré des contraintes de portance poussées à leur paroxysme, les avions paraissent frêles, révélant toute leur fragilité, notamment lorsque leur structure est mise à mal par les salves de projectiles. Bien qu’on voit que certaines séquences, en particulier les gros plans sur les pilotes, ont été tournées en studio, quel rendu dans les combats aériens ! Notamment lors de l’attaque du Zeppelin, ballon dirigeable développé par les allemands. Les avions s’affrontent se croisent, se suivent, se font face à face, se surplombent, au prix de grandes boucles serrées, et manquent de se percuter à chaque seconde, réduisant l’espace aérien à un véritable mouchoir de poche dès lors qu’il est utilisé en champ de bataille. En vrais funambules, les pilotes les plus doués deviennent des légendes, comme le fameux Faucon noir (en vérité un as des as de l’aviation de chasse allemande lors de la Seconde Guerre Mondiale) ou le célèbre Baron rouge (pas du tout évoqué), ce dernier étant lui aussi porté à l’écran par l’intermédiaire d’un autre film se nommant "Baron rouge". Pour ce qui est de la réalisation, il n’y a pas grand-chose à dire, si on excepte les nombreuses erreurs historiques : c’est très correct, et les 140 minutes passent assez vite. On peut cependant reprocher une certaine convenance dans le déroulé du scénario, mais je rappelle que le film est basé sur des faits réels. "Flyboys" comporte également quelques clichés, comme l’héroïsme et une certaine arrogance, mais je pense que ce sont des qualités incontournables pour être pilote, notamment en un temps où l’aviation n’en est encore qu’à ses balbutiements alors qu’elle est déjà promue comme une arme d’ordre tactique, malgré le fait qu’elle n’était pas encore considérée comme un instrument de combat avant la Grande Guerre. Pour revenir sur l’héroïsme, il est cependant un peu écorné avec ce pilote cloué au sol par ses peurs. Le récit est romancé, et nous gratifie d’une amourette dont bon nombre d’internautes cinéphiles se demandent comme moi ce qu’elle vient faire là-dedans. Car elle n’apporte pas grand-chose au propos, d’autant plus que le personnage principal est purement fictif, tout comme la plupart des autres, excepté le capitaine. C’est dommage, j’aurai aimé un peu plus d’exactitude dans les faits historiques relatifs aux pilotes, même si on voit effectivement le premier et unique pilote de chasse noir de toute la Première Guerre Mondiale, pilote dont seul le prénom a été gardé. Quant au casting, James Franco rend une copie honorable, même si je le trouve un peu fade au niveau de la bravoure. Pour ce qui est des sentiments vis-à-vis des pilotes morts au combat ou de Lucienne, il est davantage convaincant. En parlant de Lucienne, son interprète suscite des avis controversés. Eh bien je dirai qu’elle n’est pas si mal que ça, puisqu’elle parvient à refléter un personnage marqué et qui ne veut pas s’autoriser le moindre sentiment, à plus forte raison envers un pilote de chasse dont l'espérance de vie est par définition très courte. La surprise vient de Jean Reno, que je n’attendais pas là, et représente parfaitement la tenue d’un haut-gradé. Vous voulez que je vous dise ? Les postures qu’il a adopté m’a fait penser aux attitudes habitées de prestance qui caractérisaient le Général de Gaulle… Après j’avoue que Jean Reno a une forme de maladresse qui convient bien à celle qui peut être ressentie lorsqu’on est confronté à des différences culturelles notables provoquées par l’arrivée de jeunes américains. Il y a bien quelques petites choses qui me gênent, comme le fait que Rawlings dispose de son avion comme il l’entend. Mais après tout, pourquoi pas ? Ca a le mérite au moins d’apporter un peu de fun. Non, "Flyboys" n’est pas un chef-d’œuvre, mais il reste visuellement agréable à regarder, et prenez-le comme un film de guerre, et non comme un film historique.