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chrischambers86
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2,5
Publiée le 26 février 2014
Bienvenue aux amateur de cèrèmonie funèbre et de fumette dans un crâne! Bien que sans prètention documentaliste, le collage s'est rèvèlè un excellent jeu pour l'underground, et des mecs comme Bruce Conner ou Richard Preston en ont fait une pratique systèmatique! Maintes fois, le collage devient un mèlange abstrait qu'on pourrait considèrer comme une seconde forme de l'underground, utilisèe souvent dans les films à tendance mythique! Parmi les plus connus ceux de Kennegh Anger dont "Invocation of my Demon Brother", introduit dans le circuit commercial français! Dans ce court, la superposition des images prètend reproduire les effets de la magie et de la cigarette à base de haschisch comme dans « Lucifer Rising » . Pour les initiès uniquement, avec une musique composèe par le grand Mick Jagger...
Un délire mystique et coloré d’une petite quinzaine de minutes, sur une musique répétitive signée Mick Jagger. Du cinéma expérimental de la fin des 60’ dans toute sa splendeur.
Un ramassé des obsessions de K. Anger. Symbolisme ésotérique, sataniste, nazi, corps érotiques de garçons, rock, images de guerre... Les images sont bombardées en vrac sur un son répétitif, avec un sens de la couleur, du transparent et de la superposition qui fait la marque du cinéaste. Pas grand chose d'autre à ajouter. Ça doit être ce qu'il a fait de plus elliptique, lapidaire et gratuit.
Un bon film magique avec des référence à l'enfant lune d'Aleister Crowley mais surtout à l'église satanique de Anton Lavey (Que l'on voit dans le film). Anger fait avec son mélange d'image de rite d'invocaion, image de concert, démon portant une pancarte, image de la guerre du vietnam et autres, envoyer comme nous étions vraiment dans un rite où, à la fin on voit le diable qui se trouve ètre un jeune rebelle (frére de Mick Jagger).