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Benjamin A
711 abonnés
1 922 critiques
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3,0
Publiée le 7 août 2014
Suite du très réussi « Piège de Cristal », « 58 minutes pour vivre » reprend les mêmes éléments avec un avion à la place de l’immense building. On y suit John McClane qui attend dans un aéroport que l’avion de son épouse atterrisse… Malheureusement pour lui, toutes les communications vont être coupées et les avions auront un temps limité pour se poser… sous peine d’être à court de carburant.
Comme le premier, on mélange ici action et humour et si le résultat est plutôt honnête, plaisant et efficace, ce n’est guère transcendant. John McTiernan n’est plus là, il est remplacé par Renny Harlin et ca se ressent. On a l’impression de voir un « sous-Piège de cristal » et, sans être honteux, c’est un peu moins bien mis en scène, un peu moins décalé, un peu moins de tensions et un peu moins surprenant… L’histoire semble vraiment calquée sur le premier et notamment dans la première partie du film avant que l’action commence à se dérouler à l’extérieur.
Alors, si c’est bien évidemment en dessous du premier « Die Hard », c’est loin d’être mauvais. Ce deuxième opus a la bonne idée d’introduire un compte à rebours où l’on voit McClane combattre le temps, surtout que dans la deuxième partie, Harlin utilise bien l’espace qu’il a sa disposition. De plus, les scènes d’actions sont plutôt bien foutues et parfois même spectaculaire, à l’image des 20 dernières minutes. Le personnage de McClane est toujours assez cool et intéressant, avec des punchlines savamment pensées (« Ca fait chier d’avoir toujours raison ! »). Il est, une fois de plus, très bien incarné par Bruce Willis qui trouve là un rôle sur mesure. Face à lui, Franco « Django » Nero s’en sort convenablement en méchant de service qui manque quand même de subtilités, surtout dans les motivations.
Une suite qui, à défaut d’être surprenante et transcendante, s’avère un minimum efficace, agréable et explosive. Une fois de plus dans la peau de ce flic qui n’a rien demandé et qui ne demande qu’à être peinard, Bruce Willis est toujours convaincant.
On peut reprocher à ce DIE HARD quelques moments de retenue (McClane n'agit pas immédiatement et est mis sur la touche de nombreuses fois) et surtout quelques absurdités de scénario mais, dans l'ensemble, ce DIE HARD est loin d'être mauvais. McClane reste fidèle à lui-même : aucun tact, aucune discrétion, aucune délicatesse. Willis amplifie le caractère incontrôlable du personnage.
58 minutes pour vivre est le deuxième volet de la célèbre franchise de films d'action Die Hard. Piège de cristal ayant été un monument du cinéma d'action, il est plutôt normal que les suites en reprennent la forme. En effet, McClane est encore une fois pris au piège dans un lieu où il doit sauver des innocents ( cette fois ci c'est un aéroport et plus un building ). L'action est plus présente, la violence aussi ( certaines scènes sont très gores, mais sans être non plus intenables ). Le plus gros problème de 58 minutes pour vivre, c'est que McClane devient un vrai super-héros ( il l'était déjà un peu dans le premier film, mais beaucoup moins ); et pour ça, j'ai deux théories : ou John McClane est un fantôme, et donc les balles lui passent à travers, ou ses ennemis sont vraiment très, mais alors très nuls en tir. On ajoute à cela un antagoniste moins charismatique que celui du premier volet, et on obtient un bon film d'action, qui n'est toutefois pas à la hauteur de Piège de cristal. On passe un bon moment quand même.
La suite direct de Piège de Cristal. Toujours plus spectaculaire, la saga revient en force dans un second volet toujours plus rythmé, haletant et original. A voir.
Opus 2 encore plus (h)ardu pour John McClane, dont le terrain de jeu/chasse est cette fois-ci un aéroport international. Renny Harlin a réussi un film spectaculairement rythmé et excessif. Plus d’action, plus de poursuites et de fusillades, plus d’explosions et effets pyrotechniques, plus de violence et de sang, plus de pourris à dégommer et donc, au final, beaucoup plus de morts. Cependant, « plus » ne veut pas dire « mieux ». Tout est trop « gros », exagéré et invraisemblable dans ce scénario moins bon que celui de « Piège de Crystal ». Mais comme Bruce Willis est au top et qu’il fait toujours autant d’étincelles, on ne va pas bouder notre plaisir. « 58 Minutes Pour Vivre » demeure un pur divertissement d’action non-stop assez jouissif.
Second volet de la saga Die Hard. Celui-ci reprend la même recette quitte à faire un peu réchauffé. Cette fois John McClaine doit sauver un aéroport paris d'assaut par des terroristes. Même si le méchant se révéle assez charismatique, l'absence de McTiernan à la réalisation se fait ressentir, en effet les codes du premier opus sont juste copié sans réelle originalité. Bon la mise en scène, les dialogue et les scènes d'action n'en demeurent pas moins excellentes. A noter l'absence en VF du fameux "Yippie Kai mother fucker", qui à été traduit inutilement en français par une réplique que j'ai préféré oublié ...
Un film d'action cultissime qui défoule comme rarement peut-être moins abouti que "Piège de cristal" mais plus sauvage et violent. Bruce Willis toujours au top dans son rôle fétiche de John MacClane. Les effets spéciaux et la mise en scène ont vieilli mais ça reste personnellement l'un des mes références dans le genre et l'un des films préférés de mon adolescence que je regarde 20 ans plus tard avec toujours autant de plaisir. Mon K2.
Une nouvelle nuit de Noël tourmentée pour notre cher McClane. Dans cet opus qui reprend le concept d'être au mauvais endroit au mauvais moment, un des éléments qui a contribué au succès de "Piège de cristal", l'histoire est toujours aussi bien trouvée et bien pensée et offre plusieurs scènes d'action dantesque parsemée de cette éternelle touche d'humour de la saga. L'histoire se déroule une nouvelle fois au réveillon de Noël pendant que l’inspecteur de police John McClane attend dans un aéroport de Washington que l’avion de sa femme atterrisse pour qu’ils puissent se retrouver pour fêter Noël ensemble. D’étranges allers et venues vont attirer son attention. Il suit les hommes et va se retrouver dans une fusillade et va réussir à les éliminer. Quelques heures plus tard des mercenaires prennent contrôle de l’aéroport, coupant toutes communications avec les avions. Ils sont là pour libérer le général Esperanza un baron de la drogue récemment arrêter et qui doit être transféré par avion jusqu’à l’aéroport de Washington. Les mercenaires avaient tout prévus mais pas l’intervention de McClane. Bon déjà, cet épisode est moins abouti que son prédécesseur qui était excellent. Le scénario est un peu le même que celui de "Piège de cristal", sauf que cette foi-ci, sa se passe dans un aéroport. Pas très original me direz vous mais cet opus reste un très bon divertissement malgré le réalisateur qui est à la barre. Dans cet opus, McTiernan n’est pas du projet et c’est le médiocre Reny Harling qui prend le relais. Le résultat demeure donc un peu bancal et moins maitrisé que son prédécesseur. Cela dit, le visionnage de "58 minutes pour vivre" reste très agréable, surtout avec un Bruce Willis toujours aussi bon dans le rôle de McClane.
Décidément,John McClane n'a pas de chance.A chaque veille de Noël,il se retrouve aux prises avec des terroristes très déterminés.Le gars qui n'est jamais au bon endroit au bon moment!Pour cette nouvelle mission dont l'action se passe à l'aéroport de Washington,McClane doit stopper le complot par tous les moyens,avant que tous les avions en manque de kérosène ne s'écrasent les uns après les autres(dont celui de sa chère femme).Un synopsis prometteur de sensations fortes et de sueurs froides.C'est un vrai tour de montagnes russes que réalise là Renny Harlin.Les embûches s'accumulent pour un McClane à fleur de peau(et de la gâchette!).Le cadre enneigé donne lieu à de superbes confrontations:une poursuite en moto-neige,un combat sur l'aile d'un avion en décollage,une échappée par un siège éjectable...Bruce Willis,avec toujours plus de conviction et d'opiniâtreté,incarne ce héros des temps modernes.Plus sanglant et plus spectaculaire que le premier Die Hard,"58 Minutes pour vivre"(1990)est aussi un peu moins bien fignolé.La galerie de méchants vaut le détour entre un commandant rénégat barré,un ponte de la drogue colombienne qui sait piloter,et un chef d'une unité anti-terroriste qui cache son jeu.Accrochez-vous à votre siège,car ce film est terriblement addictif!
Après ses exploits agités dans le buiding Nakatomi de Piège de Cristal, Bruce retrouve son personnage de John McClane, ce policier couillu aux répliques qui font mouche. Il fallait trouver un sujet aussi fort et il fallait que le personnage reste le même. C'est une mission dont s'acquitte avec une énergie formidable Renny Harlin grâce à un budget colossal ; il multiplie les effets pyrotechniques, les poursuites dans la neige, les cascades démentes et les bagarres hard, imposant ainsi un rythme infernal certes sans doute surpassable dans le registre du thriller, mais pas si en-dessous du premier opus, contrairement à ce qu'affirment certaines critiques. Je le trouve plutôt bon ce film, il a sa dose d'adrénaline, et bénéficie d'un très bon casting, avec notamment un très bon William Sadler en méchant crispant, et un excellent Dennis Franz en flic pénible... Un film injustement sous-estimé, mais très distrayant.
Pris en sandwich pas les 2 films de McTiernan ce 2nd Die Hard réalisé par Renny Harlin bien qu'en deçà de Piège de cristal reste néanmoins un très bon film d'action américain avec son lot de scènes d'action. Mouvementé et prenant, 58 minutes pour vivre voit Bruce Willis reprendre avec aisance le personnage de McClane face à Franco Nero en méchant de service.