Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
France Soir
par Monique Pantel
[Bruce Willis] est génial dans ce rôle, simple jusque dans l’héroïsme, le genre d’homme qu’on aimerait avoir toujours à côté de soi au cas où un pépin arriverait. France-Soir, 4 octobre 90
Positif
par Hubert Niogret
Le spectateur, suivant l'expression populaire, en a pour son argent. Pour ce qui est du septième art, la chose est moins sûre. Positif 356, octobre 90.
Télérama
par Bernard Génin
[Bruce Willis] réussit à rendre sympathique cette grosse machinerie bruyante et un peu lourde. Télérama, 3 octobre 90
Le Monde
par Colette Godard
Bruce Willis joue gros et en rajoute de façon insupportable. Il ne sait pas comment remplir le vide de son personnage. Le Monde, 4 octobre 90
Le Figaro
par Claude Baignères
[Renny Harlin] s’est ancré dans des péripéties contées au premier degré, et qu’il préfèrerait voir prises au sérieux. Impossible. Trop c’est trop. Le Figaro, 5 octobre 90
France Soir
[Bruce Willis] est génial dans ce rôle, simple jusque dans l’héroïsme, le genre d’homme qu’on aimerait avoir toujours à côté de soi au cas où un pépin arriverait. France-Soir, 4 octobre 90
Positif
Le spectateur, suivant l'expression populaire, en a pour son argent. Pour ce qui est du septième art, la chose est moins sûre. Positif 356, octobre 90.
Télérama
[Bruce Willis] réussit à rendre sympathique cette grosse machinerie bruyante et un peu lourde. Télérama, 3 octobre 90
Le Monde
Bruce Willis joue gros et en rajoute de façon insupportable. Il ne sait pas comment remplir le vide de son personnage. Le Monde, 4 octobre 90
Le Figaro
[Renny Harlin] s’est ancré dans des péripéties contées au premier degré, et qu’il préfèrerait voir prises au sérieux. Impossible. Trop c’est trop. Le Figaro, 5 octobre 90