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    Body Count
    Note moyenne
    2,2
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    5 critiques spectateurs

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    Renaud  de Montbas
    Renaud de Montbas

    30 abonnés 683 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 septembre 2021
    "body count" connu en France sous le titre "le camping de la terreur" est un film de Ruggero Deodato de la fin des années 80. Ce slasher ultra basique, co production franco américaine, décevra ceux qui connaissent de Deodato son sulfureux "cannibal holocaust". Là tout est bas de gamme : les acteurs / actrices (au secours), la musique (d'époque), les meurtres (le plus souvent hors champ), le scenar vu et revu (15 ans après un double meurtre dans un camping un groupe de jeunes y retourne, devinez ce qui va se passer...), même la pellicule qui a beaucoup souffert du passage des ans. Décidemment en dehors de "cannibal holocaust", deodato est vraiment un réalisateur mineur. 1 / 5
    globi C.
    globi C.

    9 abonnés 451 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 avril 2016
    Un série Z, il n' y a rien à garder dans ce film d'horreur même pas pour rire, un triste chant du cygne pour Mimsy Farmer
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 399 abonnés 4 438 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 janvier 2014
    Venant de Deodato, ce film (Camping del terrore ou Body Count) est forcément assez décevant, dans le sens où il reste très impersonnel, et peu original.
    Coté acteurs le film est assez inégal. Il y a de solides interprètes plutôt rodés qui se débrouillent bien et donnent aux seconds rôles principalement pas mal de volume, je pense à Mimsy Farmer, Charles Napier ou encore David Hess, bien que ce-dernier soit parfois un peu cabotin. Ce n’est pas génial, mais on sent qu’ils connaissent leur boulot, et ils assurent plutôt bien. Coté des jeunes en revanche c’est couci-couça. Certains se débrouillent pas mal (je pense à l’héroïne principale par exemple), en revanche d’autres sont d’une très grande fadeur, et ne parviennent vraiment pas à accrocher. C’est toujours dommage dans ce genre de film, sachant qu’il faut quand même que l’on partage un minimum leur détresse pour se sentir concerner. De surcroit le tueur est loupé, il faut le reconnaitre, et la scène finale fera furieusement penser à Troll 2 (film d’ailleurs souvent assassiné et au fond pas si mauvais).
    Le scénario est acceptable mais sans plus. L’idée de l’indien est peu exploitée, le déroulement du film est on ne peut plus classique, et réserve bien peu de surprises. La fin est moyenne, par ailleurs, et ne m’a pas complètement convaincu malgré ses rebondissements. Le souci de Body Count c’est qu’il reste sur des chemins tellement balisés, qu’à moins d’être excellent un film apparaitra toujours assez quelconque et dispensable, et c’est relativement le cas de Body Count. En revanche il est assez bien rythmé, les meurtres sont bien dispatchés, Deodato sait faire patienter le spectateur avec quelques scènes de nudité, le film n’est pas ennuyeux, d’autant qu’il est court.
    La mise en scène est meilleure. Deodato prouve encore une fois que c’est un metteur en scène de qualité, capable de faire de bonnes choses avec une matière assez faible. Il y a de très bonnes choses (vue subjective, caméra tournoyante au milieu des arbres et donnant une impression de vertige, accélération vers l’avant qui donne une certaine angoisse soudaine…) et globalement Deodato parvient à transmettre par là, un peu de la personnalité manquante à l’histoire. Au niveau de la photographie Body Count revendique clairement sa double paternité américaine et italienne. Tantôt la photographie est plutôt crue et réaliste, dans une tendance Vendredi 13 assumée, tantôt c’est des éclairages vifs (la scène avec Napier et son fusil à pompe par exemple), plus rares mais sensibles tout de même. Le résultat est assez convaincant, d’autant que le film fait le choix de ne pas en surajouter dans l’obscurité. Les décors sont très bons. Surement le meilleur point du film, non seulement l’ambiance Amérique profonde est très bien restitué, mais en plus il y a quelques paysages sublimes. Coté effets horrifiques c’est moyen. Assez nombreux, ca reste sur un terrain soft et balisé sans grande surprise, et tous les effets ne sont pas égaux. Certains ne sont pas très crédibles tout de même. Enfin solide bande son signée Simonetti, qui pour le coup sonne pleinement italienne. Elle apporte un réel plus au film.
    Au bout du compte Body Count reste un film moyen, qui dans la filmographie de Deodato n’est clairement pas le plus mémorable. En fait il n’a pas beaucoup de goût, et seule la mise en scène du réalisateur, tendue et précise parvient à réellement apporter du piquant à l’ensemble. Il sauve les meubles, certes, maintenant ce n’est pas suffisant pour aller au-delà e la moyenne sur ce coup, et cela, même en ajoutant des décors plutôt bons.
    Toutou to you
    Toutou to you

    35 abonnés 599 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 juin 2013
    Body Count ou Camping del Terror, réalisé en 1986 par l'inégal Ruggero Deodato (réalisateur du mythique Cannibal Holocaust), est une production italo-américaine. Le cinéaste transalpin, maître du bis, sort de productions décevantes (Amazonia en 1985, Les Prédateurs du Futur en 1983) et semble se diriger avec body Count dans du cinéma horrifique plus classique. Et l'impression se change en certitude après visionnage de ce slasher qui reprend un à un les codes d'un genre à l'époque, déjà moribond. Deodato paraît être un élève qui veut plaire à ses professeurs (ici les producteurs américains), il évite une violence graphique trop visuelle façon film de jungle (mais certaines séquences sont tout de même assez brutales) et ne se focalise jamais sur elle. Il use d'ailleurs de quelques hors champs loin d'être troublants. Body Count est donc un slasher stéréotypé et vraiment aseptisé. Enfin, connaissant le marché US, il offre quelques plans de poitrines féminines histoire de nourrir un spectateur nécessairement obsédé.

    Un meurtre odieux a eu lieu il y a 15 ans dans un camping. De nos jours, une bande de djeuns s'offre 2 jours de break et devinez quoi, ils ont choisi ce camping. Le lieu abrite une légende sur un Indien chaman meurtrier et ils ne vont pas tarder à y être confronté...

    Le bon slasher est une denrée rare et Ruggero Deodato s'y essaie ici avec une certaine application (il essaie de donner corps à une légende, son montage permet une montée 'en puissance' et sa mise en scène est convenable) mais le film déçoit. Dialogues débiles, comportements singuliers et un des boogeymen les moins charismatiques que j'ai vus. On frôle presque le ridicule. Body Count ne restera pas dans ma mémoire. 2/5
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 11 mars 2011
    Un slasher basique mal joue et mal tourne. A oublier.
    Dans la lignée de la filmographie de deodato: du plagiat et peu d'idées
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