Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Flex07
86 abonnés
1 705 critiques
Suivre son activité
0,5
Publiée le 29 octobre 2007
Walt Disney n'est plus ce que c'était... On est très loin de Shrek, L'age de Glace, Ratatouille, de Cars ou même de Némo ! Vous ne retiendrez rien de ce film. Ni l'histoire, ni les gags, ni même le prénom du héros. C'est nul !
Bienvenue Chez Les Robinson n'est pas le Disney le plus connu mais c'est un long-métrage fort sympathique. L'histoire de ce petit orphelin qui en grandissant va tomber amoureux de la science et crée des inventions met un peu de temps a démarrer et ne semble pas très prometteur mais très rapidement on rentre dans le vif du sujet. A partir du moment ou on se retrouve propulsé dans le futur ça décolle enfin et ça part même dans tous les sens. En effet ça devient original, pleins d'idées et les créateurs se sont sacrément fait plaisir. C'est décalé et sans limites. On se retrouve avec des scènes improbables et tant mieux car ça surprend. Les personnages sont plaisants et la famille Robinson est composé de sacrés énergumènes tous plus improbables les uns que les autres. J'ai particulièrement aimé le grand-père qui s'habille à l'envers. C'est stupide mais ça fonctionne. D'ailleurs l'humour est bien présent même si ça ne m'a pas arracher des fous rires mais ça fait sourire. J'ai aussi bien aimé le méchant et la révélation qui l'entoure à laquelle je ne m'attendais pas. C'est bien trouvé. De toute façon c'est bien écrit et on le voit à la fin quand on fait le lien entre les personnages. Pour ce qui est du visuel, c'est la que le film pêche. Les décors ne sont pas très inspirés, le design n'a rien de particulier même si les personnages sont réussis et les décors font souvent vides. Ce n'est pas ignoble mais il manque un cachet visuel à cette oeuvre pour marquer vraiment les esprits. Il en est de même pour la b.o. avec très peu de chansons et en plus elles sont loin d'être mémorables. La fin, elle m'a satisfait et au final Bienvenue Chez Les Robinson est un bon film d'animation mais on ne ressent pas énormément la patte du studio. Pourtant il mérite a être connu car on passe un bon moment devant et ça se veut original donc je vous le conseil.
Ce premier Disney entièrement en images de synthèse est loin d'être convaincant,tant sur la forme(design grossier et imprécis)que sur le fond(histoire abracadabrantesque de retour vers le futur)."Bienvenue chez les Robinson" bénéficie toutefois du savoir-faire de quelques têtes de chez Pixar,fraichement arrivée.Leur influence se fait sentir sur quelques moments de poésie concernant l'homme au chapeau melon,être pathétique au traumatisme expliqué sur la fin.Le garçonnet inventeur,Lewis,n'a rien de très attachant,et son ami du futur,Wilbur,est une vraie tête à claques.La morale Disneyienne sur la famille et la solidarité refait surface trop facilement,alors qu'un début de réflexion sur l'abandon des enfants orphelins commençait à peine son oeuvre.les séquences d'actions sont convenues,et l'humour franchement trop enfantin.Disney relèvait un peu le niveau après "Chicken Little" ou "The Wild" mais le traitement de son histoire réserve peu de place aux émotions sincères ou au rire franc(hormis les grenouilles jazzy).
SF fantaisiste à destination quelque peu exclusive des enfants. Ce film démarre sous de bons augures : personnage un peu épais (orphelin, inventeur raté...) mais un peu seul dans ce cas, machine mystérieuse (enfin...) et méchant débarquant du futur. Mais voilà que l'on plonge dans un futur un rien trop hystérique, bien plus grand et gros que finaud, et qui devient vite lassant. La moitié de l'intrigue est largement prévisible depuis longtemps et le twist final tombe pour moitié à l'eau. En fait l'intrigue est réellement classique dans le fond, sous ses allures science-fictionnelles, et le film est visuellement un peu froid. Plus de paradoxes temporels n'auraient pas fait de mal... aux adultes. LEs parents comprendront certains trucs que lesp lus jeunes ne comprendrons pas. Apres, maintenant face à l'évervescence des films d'animation, la barre devient de plus en plus haute. Ou comme certaines qui aurait pu exploiter un peu certains trucs. Mais globalement on y trouve son compte (sans le désigner shec d'oeuvre bien sur. A voir en famille.
Dans la lignée de Kuzko, les studios Disney sortent enfin un film à la fois dingue et pas raz-des-pâquerettes comme le fait trop souvent la concurrence. Bienvenue chez les Robinson est drôle, émouvant, beau, inventif (heureusement) et présentent une galerie de personnages impressionnante. Le scénario, peut etre un rien compliqué pour les bout-de-chou, est bourré de rebondissements. Un bon Disney, qui ne mérite pas cette sortie hâtive pré-vacances de Toussaint.
Pour son deuxième essai en solo (comprenez “sans Pixar”), la branche animation 3D de Disney nous emmène dans le futur. Une manière, peut-être, pour le studio, de nous faire comprendre son souhait d’arrêter de courir après la gloire d’antan, et de repartir dans le bon sens de la marche, en faisant fi des échecs passés. Une hypothèse que vient corroborer le message (certes un peu surligné) de “Bienvenue chez les Robinson” : aller de l’avant. Une pensée que peine à appliquer Lewis, petit génie orphelin de 12 ans, qui ne trouve aucune famille voulant de lui, la plupart de ses inventions farfelues aboutissant, le plus souvent, à un “boum” retentissant. Mais comme nous sommes dans un dessin animé familial, les choses finissent par s’arranger. Ceci dès lors qu’apparaît Wilbur Robinson, jeune homme venu du futur, et qui va emmener Lewis y rencontrer sa famille. Déjà peu avare en humour, le long métrage bascule alors dans le délire le plus complet, en même temps qu’il change d’époque : personnages déjantés (chaque membre de la famille Robinson vaut son pesant de cacahuètes), références multiples (“Toy Story”, “Robots”, “Les Indestructibles”, sans oublier “Retour vers le futur”), poursuites à grande vitesse… De quoi satisfaire, sans mal, les plus jeunes, tandis que les autres se plairont à décoder l’intertextualité d’un film qui, s’il reste un peu éloigné du niveau d’un Pixar (en terme de graphismes et de narration surtout), confirme le retour en force de Disney dans la guerre de l’animation. De bon augure pour son propre futur donc.
Comme quoi la présence de John Lasseter au générique est un signe trompeur puisque nous sommes à des années lumières des belles réussites de Pixar. Le début est pourtant prometteur, l’idée de base est bonne (reprendre le thème classique SF du voyage dans le temps en l’adaptant pour les plus jeunes) mais le scénario part en vrille de façon totalement incompréhensible rendant même le film quasi insupportable.
Je ne connaissais pas ce Disney de 2007 pourtant listé dans les classiques, il a quelques côtés surprenants et un peu moyens mais par d'autres côtés il est complétement abouti, distrayant, original et bienveillant. C'est de la S.F. d'opérette concernant les paradoxes temporels mais un vrai Disney sur ses aspects gentils et imaginatifs, familial et aventure cohérente. L'humour n'y est jamais bas de gamme, on a de vrais personnages et de vraies explications qui viennent à point. Des univers bien différents sont présentés dans l'histoire. Il y a un mélange et une diversité paraissant simpliste, bâclé et/ou saugrenue mais en fait c'est assez complexe et bien composé ; cela en rebute beaucoup et c'est dommage.
Alors, on les meet ces Robinson, ben ouais et ça vaut même deux étoiles et il n'y a même pas de mites, tout est bon à prendre dans ce dessin animé gentillet où même la petite morale sent bon, sp'a Joyce!
Une agréable surprise avec un dessin animé de science-fiction (en dehors des mangas il faut reconnaître que c'est très rare!). L'histoire est accrocheuse même si plutôt cousue de fils blancs mais bon, il s'agit d'un agréable divertissement, fort sympatique, mais tout de même loin de tout révolutionner et qui ne restera pas dans les mémoires.
Bienvenue chez les Robinson est certainement le plus mauvais film d’animation Disney. La mise en scène de Stephen J. Anderson n’a rien d’exceptionnelle et l’animation ne l’est pas non plus. De plus, l’histoire ne m’a pas intéressée et je pense qu’elle aurait mérité d’être un peu plus développé. De plus, les personnages ne sont pas intéressants.
Désordonné, très (trop ?) farfelus, mais drôle et attendrissant par moments. L'histoire et l'évolution du héros orphelin est pleine de bons sens tout au long du film, les personnages secondaires (surtout l'Homme au chapeau-melon et son tyrannosaure aussi patauds l'un que l'autre) sont drôles, et le scénario fait preuve d'une originalité déconcertante dans un genre de film qui commence à tourner en rond sur les intrigues... Ce qui, en revanche, ne prend pas, c'est l'enchaînement des péripéties qui est trop tranché et rapide, voire parfois chaotique (la séquence de découverte de la maison et de la famille est un joyeux n'importe quoi qui fait très fouillis !), et la fin est un peu facile et pleine de bons sentiments... Comme bien d'autres films d'animation et dessins animés après tout. Des gags sont prévus pour les adultes qui accompagnent leurs bouts de choux : la prof accro au café qui est hystérique, certaines allusions à double sens... Malgré une succession d'intrigues parfois chaotique, on rit bien et on se laisse facilement entraîner dans la famille déjantée. Divertissant pour toute la famille !
La 3D et l’image de synthèse ont tendance à parfois briser quelque peu la magie de Disney pour certains Grands Classiques, en effet ici, l’histoire, ainsi que les personnages se différencient encore un peu plus de tout ce à quoi pouvait ressembler à un Disney auparavant… De plus, cette sorte de « Dreamworks caché » commence son histoire assez bien pour finalement basculer dans un côté un peu loufoque en plein milieu de film. Heureusement, la seconde partie de l’histoire sauve radicalement le film, s’achevant sur une note très positive et très touchante, délivrant un message d’amour magnifique. Il est évident que l’on regrettera un peu l’ambiance habituelle et irremplaçable d’un Disney classique, ici plutôt inexistante mais Bienvenue chez les Robinson réussie tout de même à nous embarquer dans son univers futuriste détonnant, mené par un petit garçon très touchant au physique rappelant le petit acteur du Petit Vampire. Mention particulière à son acolyte de chambre, le poissard du Base-ball légèrement mollasson, qui fera hurler de rire à chacune de ses répliques sorties.