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Alimentation générale filme la banlieue comme on la voit au 20h, (...) mais avec l'humanité en plus, (...) loin des clichés journalistiques. Alimentation générale est plus proche de Smoke que de La Haine.
La critique complète est disponible sur le site Africultures.com
Il y a dans ce film la quintessence de ce qu'ont toujours cherché, en forçant sur le trait, Mocky, Jérôme Deschamps ou Scola. Une chronique documentaire très humaine.
Tout le mérite de la cinéaste-documentariste est d'avoir posé sa caméra dans ce lieu universel de la banlieue en dehors de toute actualité événementielle, d'avoir pris le temps de perdre du temps là où les caméras ne font généralement que de brefs allers-retours.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Les séquences consacrées aux individues rencontrés chez Ali [l'épicier] composent, par touches successives, un "visage collectif". La réussite du film tient à sa mise en scène théâtrale.
La critique complète est disponible sur le site Positif
On perçoit le temps qui passe, une certaine angoisse et la solitude qui perce. Les alentours, tristes, vides, sans âme, suintent l'exclusion. L'épicerie donne une image humaine de la banlieue.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Africultures.com
Alimentation générale filme la banlieue comme on la voit au 20h, (...) mais avec l'humanité en plus, (...) loin des clichés journalistiques. Alimentation générale est plus proche de Smoke que de La Haine.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
Il y a dans ce film la quintessence de ce qu'ont toujours cherché, en forçant sur le trait, Mocky, Jérôme Deschamps ou Scola. Une chronique documentaire très humaine.
Libération
Tout le mérite de la cinéaste-documentariste est d'avoir posé sa caméra dans ce lieu universel de la banlieue en dehors de toute actualité événementielle, d'avoir pris le temps de perdre du temps là où les caméras ne font généralement que de brefs allers-retours.
Positif
Les séquences consacrées aux individues rencontrés chez Ali [l'épicier] composent, par touches successives, un "visage collectif". La réussite du film tient à sa mise en scène théâtrale.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Le Monde
On perçoit le temps qui passe, une certaine angoisse et la solitude qui perce. Les alentours, tristes, vides, sans âme, suintent l'exclusion. L'épicerie donne une image humaine de la banlieue.
Télérama
Alimentation générale (...) assume, un an après les émeutes en banlieue, sa dimension politique en pointant du doigt le désengagement de l'Etat.