Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Paris Match
par Alain Spira
Ce film social et familial (...) prend aux tripes comme un thriller (...) de la même veine que La raison du plus faible de Lucas Belvaux. Une référence. Aucun doute, Nos retrouvailles est une bonne trouvaille.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Le cinéaste impose une atmosphère, une inquiétude permanente. Il colle à l'humanité de ces hommes perdus avec une violence émotive impressionnante.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
[David Oelhoffen] signe une oeuvre noire et corsée, aux cadres serrés, servie par un casting irréprochable (...) Un film intense, de la première à la dernière image.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télérama
par Pierre Murat
La beauté de ce premier film, c'est d'être classique, au sens le plus noble du terme, un peu comme l'était le grand cinéma américain de l'époque, celui de John Huston, par exemple, qui, lui aussi, filmait des misfits, des décalés, des paumés croyant dur comme fer à leur avenir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
Un premier film d'une belle maturité, sachant toucher à l'essentiel sans avoir recours au moindre effet superflu. L'une des surprises de cette rentrée.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Brazil
par Eric Coubard
Nos retrouvailles est un film dur et pesant. Ce n'est pas toujours beau une ville, la nuit.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
par Dominique Borde
Si le duo est prenant, le style, parfois monotone, lasse et déconcerte.
Le Journal du Dimanche
par Jean-Luc Bertet
Le ton juste et subtil de ce film aurait sans doute gagné à un montage moins chaotique, alourdi d'un excès de gros plans.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par La Rédaction
Entre polar école Jacques Audiard et drame de la filiation à la manière du Sautet d'Un Mauvais fils, un premier long-métrage bien ficelé à découvrir.
Ouest France
par La rédaction
Un thème assez classique, que ce premier film traite avec sensibilité et vigueur. David Oelhoffen donne parfois l'impression de se regarder filmer, et il reste encombré par les références de ses modèles. Mais le tandem Jacques Gamblin-Nicolas Giraud est plein de présence fiévreuse.
Première
par La Rédaction
(...) un film noir séduisant (...) Un premier film aux allures modestes mais aux personnages ambigus très bien défendus par les acteurs (...)
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Philippe Piazzo
C'est sur le terrain du forfait sentimental que s'inscrit vraiment le film, accompagnant chaque personnage dans leur dérive (...) La rigueur classique de la mise en scène semble alors tenir tête aux dérapages, mettant à nu, sans les exposer, les failles de ses "héros".
L'Humanité
par Vincent Ostria
le film (...) se complaît dans le romantisme du film noir à la française c'est-à-dire qui suit les conventions du réalisme poétique d'antan. Mais, en même temps, on abuse d'artifices de montage pour faire moderne ; une foison d'images cut, de faux raccords, d'ellipses, qui ne rend pas le film plus nerveux, mais lacunaire.
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
(...) il y a quelques scènes correctes, mais on sent quelque chose qui coince. Le montage est vraiment trop haché (...) De telles failles dans un film plein de bonne volonté n'arrangent rien, même si les décors de banlieue glauque sont bien utilisés.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Philippe Descottes
David Oelhoffen se focalise sur la confrontation père/fils (...) l'intrigue policière devient presque secondaire (...) l'une des conséquences les plus dommageables est le traitement réservé aux autres personnages du film (...) réduits au au rang de " seconds (voire troisièmes) couteaux ".
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
On a rarement vu polar aussi blasé, dépressif et rasant que ce no man's land culturel où tout est mimé, singé et joué d'avance.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Paris Match
Ce film social et familial (...) prend aux tripes comme un thriller (...) de la même veine que La raison du plus faible de Lucas Belvaux. Une référence. Aucun doute, Nos retrouvailles est une bonne trouvaille.
Le Monde
Le cinéaste impose une atmosphère, une inquiétude permanente. Il colle à l'humanité de ces hommes perdus avec une violence émotive impressionnante.
Le Parisien
[David Oelhoffen] signe une oeuvre noire et corsée, aux cadres serrés, servie par un casting irréprochable (...) Un film intense, de la première à la dernière image.
Télérama
La beauté de ce premier film, c'est d'être classique, au sens le plus noble du terme, un peu comme l'était le grand cinéma américain de l'époque, celui de John Huston, par exemple, qui, lui aussi, filmait des misfits, des décalés, des paumés croyant dur comme fer à leur avenir.
aVoir-aLire.com
Un premier film d'une belle maturité, sachant toucher à l'essentiel sans avoir recours au moindre effet superflu. L'une des surprises de cette rentrée.
Brazil
Nos retrouvailles est un film dur et pesant. Ce n'est pas toujours beau une ville, la nuit.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Si le duo est prenant, le style, parfois monotone, lasse et déconcerte.
Le Journal du Dimanche
Le ton juste et subtil de ce film aurait sans doute gagné à un montage moins chaotique, alourdi d'un excès de gros plans.
Libération
Entre polar école Jacques Audiard et drame de la filiation à la manière du Sautet d'Un Mauvais fils, un premier long-métrage bien ficelé à découvrir.
Ouest France
Un thème assez classique, que ce premier film traite avec sensibilité et vigueur. David Oelhoffen donne parfois l'impression de se regarder filmer, et il reste encombré par les références de ses modèles. Mais le tandem Jacques Gamblin-Nicolas Giraud est plein de présence fiévreuse.
Première
(...) un film noir séduisant (...) Un premier film aux allures modestes mais aux personnages ambigus très bien défendus par les acteurs (...)
TéléCinéObs
C'est sur le terrain du forfait sentimental que s'inscrit vraiment le film, accompagnant chaque personnage dans leur dérive (...) La rigueur classique de la mise en scène semble alors tenir tête aux dérapages, mettant à nu, sans les exposer, les failles de ses "héros".
L'Humanité
le film (...) se complaît dans le romantisme du film noir à la française c'est-à-dire qui suit les conventions du réalisme poétique d'antan. Mais, en même temps, on abuse d'artifices de montage pour faire moderne ; une foison d'images cut, de faux raccords, d'ellipses, qui ne rend pas le film plus nerveux, mais lacunaire.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Inrockuptibles
(...) il y a quelques scènes correctes, mais on sent quelque chose qui coince. Le montage est vraiment trop haché (...) De telles failles dans un film plein de bonne volonté n'arrangent rien, même si les décors de banlieue glauque sont bien utilisés.
MCinéma.com
David Oelhoffen se focalise sur la confrontation père/fils (...) l'intrigue policière devient presque secondaire (...) l'une des conséquences les plus dommageables est le traitement réservé aux autres personnages du film (...) réduits au au rang de " seconds (voire troisièmes) couteaux ".
Chronic'art.com
On a rarement vu polar aussi blasé, dépressif et rasant que ce no man's land culturel où tout est mimé, singé et joué d'avance.