Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Tarantino signe un film ludique et jubilatoire.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Admirable de simplicité, fulgurant d'aisance et de spontanéité formelle, Inglorious basterds est le film le plus plein et le plus réconfortant réalisé par QT depuis Jackie Brown.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Ecran Fantastique
par Jean-Pierre Andrevon
(...) oeuvre au scénario bétonné, porté par un art de la mise en scène au cordeau.
La critique complète est disponible sur le site L'Ecran Fantastique
Paris Match
par Christine Haas
Avec un récit surprenant et des dialogues décoiffants, Tarantino mélange la guerre, l'horreur, le western spaghetti pour concocter une belle oeuvre pop art et signer sa plus vibrante lettre d'amour au 7e art.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Grégory Valens
Entre ses mains, le film de guerre, genre qu'il n'avait jamais abordé, devient une autre "tchatche" (...). Une réinvention de l'Histoire, entre Lubitsch et Guitry.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Jacques Morice
(...) c'est un concentré magistral de Tarantino. (...) Si l'on ne se comprend pas, reste encore une langue commune: le cinéma. (...) Chapeau, Quentin. Beau geste, schöner film, happy end.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
Tarantino exploite mieux que jamais les deux versants de sa croyance absolue dans les pouvoirs du cinéma. D'un côté, en affinant son style (...) de l'autre, en prêtant au 7ème Art la capacité fabuleuse et naïve de rectifier le cours de l'Histoire (...)
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
L'Humanité
par Dominique Widemann
Tarantino réinvente sans entraves le film de guerre et nous fait découvrir le grand acteur Christoph Waltz.
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Miner les genres hollywoodiens par le fun, réinventer le monde par le cinéma bis (...) : cette démarche a fait le style de Quentin Tarantino, sa gloire. Elle est jouissive quand il la maîtrise totalement (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Marie Sauvion
C'est drôle, violent, surprenant, sidérant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Philippe Azoury
Inglorious Basterds est un défi lancé à Hollywood : une fois n'est pas coutume, tout est présenté d'emblée comme faux, abracadabrant, ridicule, d'un comique déplacé, aux variations grotesques.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Danièle Heymann
(...) Inglourious Basterds, Terriblement malin, faussement naïf, sporadiquement violent, mystiquement cinéphile et indiscutablement divertissant, ressemble furieusement à un film de Quentin Tarantino. C'est sa limite et c'est sa gloire.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Première
par Gérard Delorme
(Pour) Plus inspiré que dans ses deux précédents films, Tarantino use de ses dialogues pour faire monter la sauce (...) Dans sa seconde moitié, le film trouve un rythme idéal.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Fabrice Leclerc
Voir le site de Studio Cinélive.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Dvdrama
par Nicolas Schiavi
Tarantino ne retrouve jamais la puissance narrative et formelle des débuts du film. Même s'il reste un fin dialoguiste et un directeur d'acteurs hors pair, le cinéaste tourne beaucoup trop autour du pot.
La critique complète est disponible sur le site Dvdrama
L'Express
par Eric Libiot
Inglourious Basterds est à l'image de ces extrêmes : du plaisir, de la frustration, du plaisir, de la frustration... Jusqu'à ce que fin s'ensuive.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Du film dans son ensemble, il est possible de dire tout et son contraire : qu'il est puéril et brillant, drôle et lassant, superficiel et vertigineux. (...) Tarantino n'innove plus guère, il suit les mêmes recettes, mais ce sont les siennes, et il est le seul à savoir les exécuter.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Carlos Gomez
Tarantino s'amuse à faire du cinéma et ça se sent. Mais pour la première fois, on note des signes clairs d'essouflement de son inspiration.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Avec cette relecture décalée du film de guerre, Tarantino dynamite une fois de plus les canons en vigueur. Mais, cette fois, le feu d'artifice n'a pas le brio ni le temps ni le tempo auxquels il nous a habitués.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Filmsactu
par Kevin Prin
Nous voilà face à un film très creux, (...) anodin et qui s'oublie pratiquement dès la sortie de la salle. Un triste sort lorsqu'on parle d'un film de Quentin Tarantino...
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Impact
par Fausto Fasulo
(...) Tarantino, dont le sérieux n'est visible que dans les brillantes premières minutes (...) laisse très rapidement place à une succession de saynètes au comique bavard, tournées dans des décors de carton-pâte rendant instantanément caduque toute velléité de réalisme historique.
TéléCinéObs
par La rédaction
Quelle déception ! De film en film, Tarantino semble régresser. (...) Où est le réalisateur de "Pulp Fiction", qui maîtrisait son scénario avec précision ? "Inglourious Basterds" dure 2 heures 28 minutes, et laisse pourtant un goût d`inachevé.
Première
par Gaël Golhen
(Contre) ni plus ni moins qu'une série Z indigne qui ne se soucie même plus de son public. (...) c'est navrant, théorique et vide, globalement soporifique et surtout sans chair.
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
Tarantino signe un film ludique et jubilatoire.
Chronic'art.com
Admirable de simplicité, fulgurant d'aisance et de spontanéité formelle, Inglorious basterds est le film le plus plein et le plus réconfortant réalisé par QT depuis Jackie Brown.
L'Ecran Fantastique
(...) oeuvre au scénario bétonné, porté par un art de la mise en scène au cordeau.
Paris Match
Avec un récit surprenant et des dialogues décoiffants, Tarantino mélange la guerre, l'horreur, le western spaghetti pour concocter une belle oeuvre pop art et signer sa plus vibrante lettre d'amour au 7e art.
Positif
Entre ses mains, le film de guerre, genre qu'il n'avait jamais abordé, devient une autre "tchatche" (...). Une réinvention de l'Histoire, entre Lubitsch et Guitry.
Télérama
(...) c'est un concentré magistral de Tarantino. (...) Si l'on ne se comprend pas, reste encore une langue commune: le cinéma. (...) Chapeau, Quentin. Beau geste, schöner film, happy end.
Charlie Hebdo
Tarantino exploite mieux que jamais les deux versants de sa croyance absolue dans les pouvoirs du cinéma. D'un côté, en affinant son style (...) de l'autre, en prêtant au 7ème Art la capacité fabuleuse et naïve de rectifier le cours de l'Histoire (...)
L'Humanité
Tarantino réinvente sans entraves le film de guerre et nous fait découvrir le grand acteur Christoph Waltz.
Le Monde
Miner les genres hollywoodiens par le fun, réinventer le monde par le cinéma bis (...) : cette démarche a fait le style de Quentin Tarantino, sa gloire. Elle est jouissive quand il la maîtrise totalement (...)
Le Parisien
C'est drôle, violent, surprenant, sidérant.
Libération
Inglorious Basterds est un défi lancé à Hollywood : une fois n'est pas coutume, tout est présenté d'emblée comme faux, abracadabrant, ridicule, d'un comique déplacé, aux variations grotesques.
Marianne
(...) Inglourious Basterds, Terriblement malin, faussement naïf, sporadiquement violent, mystiquement cinéphile et indiscutablement divertissant, ressemble furieusement à un film de Quentin Tarantino. C'est sa limite et c'est sa gloire.
Première
(Pour) Plus inspiré que dans ses deux précédents films, Tarantino use de ses dialogues pour faire monter la sauce (...) Dans sa seconde moitié, le film trouve un rythme idéal.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Cinélive.
Dvdrama
Tarantino ne retrouve jamais la puissance narrative et formelle des débuts du film. Même s'il reste un fin dialoguiste et un directeur d'acteurs hors pair, le cinéaste tourne beaucoup trop autour du pot.
L'Express
Inglourious Basterds est à l'image de ces extrêmes : du plaisir, de la frustration, du plaisir, de la frustration... Jusqu'à ce que fin s'ensuive.
L'Obs
Du film dans son ensemble, il est possible de dire tout et son contraire : qu'il est puéril et brillant, drôle et lassant, superficiel et vertigineux. (...) Tarantino n'innove plus guère, il suit les mêmes recettes, mais ce sont les siennes, et il est le seul à savoir les exécuter.
Le Journal du Dimanche
Tarantino s'amuse à faire du cinéma et ça se sent. Mais pour la première fois, on note des signes clairs d'essouflement de son inspiration.
Télé 7 Jours
Avec cette relecture décalée du film de guerre, Tarantino dynamite une fois de plus les canons en vigueur. Mais, cette fois, le feu d'artifice n'a pas le brio ni le temps ni le tempo auxquels il nous a habitués.
Filmsactu
Nous voilà face à un film très creux, (...) anodin et qui s'oublie pratiquement dès la sortie de la salle. Un triste sort lorsqu'on parle d'un film de Quentin Tarantino...
Impact
(...) Tarantino, dont le sérieux n'est visible que dans les brillantes premières minutes (...) laisse très rapidement place à une succession de saynètes au comique bavard, tournées dans des décors de carton-pâte rendant instantanément caduque toute velléité de réalisme historique.
TéléCinéObs
Quelle déception ! De film en film, Tarantino semble régresser. (...) Où est le réalisateur de "Pulp Fiction", qui maîtrisait son scénario avec précision ? "Inglourious Basterds" dure 2 heures 28 minutes, et laisse pourtant un goût d`inachevé.
Première
(Contre) ni plus ni moins qu'une série Z indigne qui ne se soucie même plus de son public. (...) c'est navrant, théorique et vide, globalement soporifique et surtout sans chair.