Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Première
par Gaël Golhen
Carlos Saura se paie enfin un scénariste et signe son plus beau film depuis une éternité. Un conte chauffé à blanc par le soleil gitan (...) ; une fable intemporelle dans laquelle souvenirs et rancunes tissent une toile de violence poisseuse. Avec, en prime, un casting impeccable (Victoria Abril et José Garcia en contre-emplois).
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par G.D. Jones
Le nouveau Carlos Saura est une revenge story baignée de soleil andalou, un opéra de violence baroque et biblique (...). Carlos Saura retrouve l'énergie et la rage de ses premiers films.(...) Saura vient de livrer l'un de ses plus beaux films.
La critique complète est disponible sur le site Score
Studio Magazine
par Benoit Deschodt
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Ouest France
par La rédaction
(...) un casting détonnant, qui réunit entre autres Victoria Abril et José Garcia (...) dans des compositions qui renouvellent efficacement leur image et leur répertoire. (...) Très espagnol dans la forme, mais un drame éternel et universel, autour des sentiments tragiques que sont la haine, la vengeance, la trahison. Ça remue. Y compris au cinéma.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Classique mais captivant. Une folie, permanente et irrémédiable qu'entretiennent savamment Saura et son scénariste Ray Loriga (...) deux belles scènes à la résonance fantastique. C'est fort, et les comédiens y sont pour beaucoup, en particulier Victoria Abril, formidable (...). La poésie en plus, Le septième jour s'insérant dans un cadre esthétique ensoleillé et léché.
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Carlos Saura filme sans fioriture, avec une réelle tension cette histoire qui réunit tous les éléments d'une tragédie classique (...). Victoria Abril en vieille fille rancie par la haine est épatante et José Garcia se sort fort bien de son rôle. Le récit, lui-même déçoit, tant sa fin est annoncée.
Télérama
par François Gorin
Le scénario ne cherche pas à jouer sur la corde usée du terrible secret originel révélé à la fin (...). On discerne mal ce qui a passionné Carlos Saura dans cette saga oblitérée d'un " unhappy " end. Pour lui, ce n'est qu'un film de plus. Curiosités : Victoria Abril grisonnante, et José Garcia en espagnol dans le texte.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Brazil
par Caroline Vié
Son film s'étire interminablement (...). On se croirait dans Astérix en Corse s'il y avait des Gaulois et des gags. Les deux faisant furieusement défaut, on se rase dans les grandes largeurs. José Garcia a beau être comme toujours impeccable (...) l'ennui s'instaure pesamment pendant de longues scènes d'exposition. (...) Victoria Abril, totalement ridicule en folle hystérique (...).
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Thomas Sotinel
Victoria Abril (...) est transformée en ibère Erinye, imprécatrice vêtue de noir, voilà pourquoi personne ne sourit jamais et voilà pourquoi les hommes parlent tous une octave en dessous de la normale. Mais ces procédés ne suffisent pas à faire d'une sale histoire une tragédie. Malgré les plaintes flamenquisantes de la bande-son, malgré le soleil qui écrase les champs de blé, le film avance du pas tranquille d'une dramatique télévisée.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Vendetta académique en Andalousie. (...) Carlos Saura joue à fond les archaïsmes qu'il avait pourfendus sous Franco. Le vétéran espagnol met toute son énergie dans la création d'images d'Epinal (...). Dans cette mise en scène de la campagne qui frôle le pompiérisme, il ne manque que L'Angélus de Millet. Même José Garcia en reste coi.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Rémy Batteault
(...) ni Carlos Saura, ni son scénariste, ne parviennent à nous intégrer dans cette histoire nous nous en sentons vite très détaché. (...) les protagonistes principaux qui manquent cruellement de chair. (...) on aurait aimé (...) ressentir davantage les choses. Le film hésite entre récit initiatique (...) et chronique, mais sans choisir son camp. Faute de s'attacher à du solide, l'attention se dissout. Dommage.
TéléCinéObs
par Martine Noratz
Victoria Abril en fait des tonnes. Carlos Saura s'égare. Affligeant.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Véronique Le Bris
(...) ce conte cruel de la haine ordinaire n'a malheureusement pas l'envergure de son Cria Cuervos. Les flash-backs, les voix off, les images fixes et le jeu poussé des acteurs ne font que renforcer cette impression d'un film daté et poussif.
Première
Carlos Saura se paie enfin un scénariste et signe son plus beau film depuis une éternité. Un conte chauffé à blanc par le soleil gitan (...) ; une fable intemporelle dans laquelle souvenirs et rancunes tissent une toile de violence poisseuse. Avec, en prime, un casting impeccable (Victoria Abril et José Garcia en contre-emplois).
Score
Le nouveau Carlos Saura est une revenge story baignée de soleil andalou, un opéra de violence baroque et biblique (...). Carlos Saura retrouve l'énergie et la rage de ses premiers films.(...) Saura vient de livrer l'un de ses plus beaux films.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ouest France
(...) un casting détonnant, qui réunit entre autres Victoria Abril et José Garcia (...) dans des compositions qui renouvellent efficacement leur image et leur répertoire. (...) Très espagnol dans la forme, mais un drame éternel et universel, autour des sentiments tragiques que sont la haine, la vengeance, la trahison. Ça remue. Y compris au cinéma.
aVoir-aLire.com
Classique mais captivant. Une folie, permanente et irrémédiable qu'entretiennent savamment Saura et son scénariste Ray Loriga (...) deux belles scènes à la résonance fantastique. C'est fort, et les comédiens y sont pour beaucoup, en particulier Victoria Abril, formidable (...). La poésie en plus, Le septième jour s'insérant dans un cadre esthétique ensoleillé et léché.
Le Figaroscope
Carlos Saura filme sans fioriture, avec une réelle tension cette histoire qui réunit tous les éléments d'une tragédie classique (...). Victoria Abril en vieille fille rancie par la haine est épatante et José Garcia se sort fort bien de son rôle. Le récit, lui-même déçoit, tant sa fin est annoncée.
Télérama
Le scénario ne cherche pas à jouer sur la corde usée du terrible secret originel révélé à la fin (...). On discerne mal ce qui a passionné Carlos Saura dans cette saga oblitérée d'un " unhappy " end. Pour lui, ce n'est qu'un film de plus. Curiosités : Victoria Abril grisonnante, et José Garcia en espagnol dans le texte.
Brazil
Son film s'étire interminablement (...). On se croirait dans Astérix en Corse s'il y avait des Gaulois et des gags. Les deux faisant furieusement défaut, on se rase dans les grandes largeurs. José Garcia a beau être comme toujours impeccable (...) l'ennui s'instaure pesamment pendant de longues scènes d'exposition. (...) Victoria Abril, totalement ridicule en folle hystérique (...).
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Victoria Abril (...) est transformée en ibère Erinye, imprécatrice vêtue de noir, voilà pourquoi personne ne sourit jamais et voilà pourquoi les hommes parlent tous une octave en dessous de la normale. Mais ces procédés ne suffisent pas à faire d'une sale histoire une tragédie. Malgré les plaintes flamenquisantes de la bande-son, malgré le soleil qui écrase les champs de blé, le film avance du pas tranquille d'une dramatique télévisée.
Les Inrockuptibles
Vendetta académique en Andalousie. (...) Carlos Saura joue à fond les archaïsmes qu'il avait pourfendus sous Franco. Le vétéran espagnol met toute son énergie dans la création d'images d'Epinal (...). Dans cette mise en scène de la campagne qui frôle le pompiérisme, il ne manque que L'Angélus de Millet. Même José Garcia en reste coi.
MCinéma.com
(...) ni Carlos Saura, ni son scénariste, ne parviennent à nous intégrer dans cette histoire nous nous en sentons vite très détaché. (...) les protagonistes principaux qui manquent cruellement de chair. (...) on aurait aimé (...) ressentir davantage les choses. Le film hésite entre récit initiatique (...) et chronique, mais sans choisir son camp. Faute de s'attacher à du solide, l'attention se dissout. Dommage.
TéléCinéObs
Victoria Abril en fait des tonnes. Carlos Saura s'égare. Affligeant.
Zurban
(...) ce conte cruel de la haine ordinaire n'a malheureusement pas l'envergure de son Cria Cuervos. Les flash-backs, les voix off, les images fixes et le jeu poussé des acteurs ne font que renforcer cette impression d'un film daté et poussif.