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    Le 7ème jour
    Note moyenne
    3,0
    15 titres de presse
    • Première
    • Score
    • Studio Magazine
    • Ouest France
    • aVoir-aLire.com
    • Le Figaroscope
    • Télérama
    • Brazil
    • Ciné Live
    • L'Express
    • Le Monde
    • Les Inrockuptibles
    • MCinéma.com
    • TéléCinéObs
    • Zurban

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    15 critiques presse

    Première

    par Gaël Golhen

    Carlos Saura se paie enfin un scénariste et signe son plus beau film depuis une éternité. Un conte chauffé à blanc par le soleil gitan (...) ; une fable intemporelle dans laquelle souvenirs et rancunes tissent une toile de violence poisseuse. Avec, en prime, un casting impeccable (Victoria Abril et José Garcia en contre-emplois).

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Score

    par G.D. Jones

    Le nouveau Carlos Saura est une revenge story baignée de soleil andalou, un opéra de violence baroque et biblique (...). Carlos Saura retrouve l'énergie et la rage de ses premiers films.(...) Saura vient de livrer l'un de ses plus beaux films.

    La critique complète est disponible sur le site Score

    Studio Magazine

    par Benoit Deschodt

    Voir la critique sur www.studiomag.com

    La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine

    Ouest France

    par La rédaction

    (...) un casting détonnant, qui réunit entre autres Victoria Abril et José Garcia (...) dans des compositions qui renouvellent efficacement leur image et leur répertoire. (...) Très espagnol dans la forme, mais un drame éternel et universel, autour des sentiments tragiques que sont la haine, la vengeance, la trahison. Ça remue. Y compris au cinéma.

    aVoir-aLire.com

    par Frédéric Mignard

    Classique mais captivant. Une folie, permanente et irrémédiable qu'entretiennent savamment Saura et son scénariste Ray Loriga (...) deux belles scènes à la résonance fantastique. C'est fort, et les comédiens y sont pour beaucoup, en particulier Victoria Abril, formidable (...). La poésie en plus, Le septième jour s'insérant dans un cadre esthétique ensoleillé et léché.

    Le Figaroscope

    par Françoise Maupin

    Carlos Saura filme sans fioriture, avec une réelle tension cette histoire qui réunit tous les éléments d'une tragédie classique (...). Victoria Abril en vieille fille rancie par la haine est épatante et José Garcia se sort fort bien de son rôle. Le récit, lui-même déçoit, tant sa fin est annoncée.

    Télérama

    par François Gorin

    Le scénario ne cherche pas à jouer sur la corde usée du terrible secret originel révélé à la fin (...). On discerne mal ce qui a passionné Carlos Saura dans cette saga oblitérée d'un " unhappy " end. Pour lui, ce n'est qu'un film de plus. Curiosités : Victoria Abril grisonnante, et José Garcia en espagnol dans le texte.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Brazil

    par Caroline Vié

    Son film s'étire interminablement (...). On se croirait dans Astérix en Corse s'il y avait des Gaulois et des gags. Les deux faisant furieusement défaut, on se rase dans les grandes largeurs. José Garcia a beau être comme toujours impeccable (...) l'ennui s'instaure pesamment pendant de longues scènes d'exposition. (...) Victoria Abril, totalement ridicule en folle hystérique (...).

    Ciné Live

    par Philippe Paumier

    Voir la critique sur www.cinelive.fr

    La critique complète est disponible sur le site Ciné Live

    L'Express

    par Julien Welter

    Voir la critique sur www.lexpress.fr

    Le Monde

    par Thomas Sotinel

    Victoria Abril (...) est transformée en ibère Erinye, imprécatrice vêtue de noir, voilà pourquoi personne ne sourit jamais et voilà pourquoi les hommes parlent tous une octave en dessous de la normale. Mais ces procédés ne suffisent pas à faire d'une sale histoire une tragédie. Malgré les plaintes flamenquisantes de la bande-son, malgré le soleil qui écrase les champs de blé, le film avance du pas tranquille d'une dramatique télévisée. ­

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Les Inrockuptibles

    par Vincent Ostria

    Vendetta académique en Andalousie. (...) Carlos Saura joue à fond les archaïsmes qu'il avait pourfendus sous Franco. Le vétéran espagnol met toute son énergie dans la création d'images d'Epinal (...). Dans cette mise en scène de la campagne qui frôle le pompiérisme, il ne manque que L'Angélus de Millet. Même José Garcia en reste coi.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    MCinéma.com

    par Rémy Batteault

    (...) ni Carlos Saura, ni son scénariste, ne parviennent à nous intégrer dans cette histoire nous nous en sentons vite très détaché. (...) les protagonistes principaux qui manquent cruellement de chair. (...) on aurait aimé (...) ressentir davantage les choses. Le film hésite entre récit initiatique (...) et chronique, mais sans choisir son camp. Faute de s'attacher à du solide, l'attention se dissout. Dommage.

    TéléCinéObs

    par Martine Noratz

    Victoria Abril en fait des tonnes. Carlos Saura s'égare. Affligeant.

    La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs

    Zurban

    par Véronique Le Bris

    (...) ce conte cruel de la haine ordinaire n'a malheureusement pas l'envergure de son Cria Cuervos. Les flash-backs, les voix off, les images fixes et le jeu poussé des acteurs ne font que renforcer cette impression d'un film daté et poussif.

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