Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Merytamon
21 abonnés
566 critiques
Suivre son activité
3,0
Publiée le 2 septembre 2011
Un bon petit film, bon casting dont Gad Elmaleh aussi bon humoriste qu'acteur. Il y a beaucoup de scénes assez drôles, malgrés quelques une qui tentent d'être sérieuses. Les paysages de l'Andalousie sont magnifiques et il y a de trés belles musiques !!! Cependant, un petit bémol de rien du tout, c'est que le scénario ne commence véritablement qu'au milieu du film. Bref c'est a voir au moins une fois, attention tout de même a ne pas finir par s'en lasser !!!
On apprécie la présence de Gad Elmaleh et de Gérard Depardieu mais à part ça, le film tourne à vide. Ne vous fiez pas au titre, c'est loin d'être aussi exaltant qu'une fête andalouse.
Attention, vous entrez dans un magazine de déco Cest le point fort de ce film ou tout est beau, smart, clean En ce qui concerne lhistoire, on ne peut pas dire que ça casse 3 pattes à un canard. Mais la bonne humeur de Gad Elmaleh, Gerard Depardieu, Sabine Azema et Valeria Golino est communicative et le moment partagé avec eux est agréable bien que non jouissif. Le fait de mettre laccent sur le caractère éphémère et intéressé des relations professionnelles est rare au cinéma et mérite dêtre soulevé.
pas mal bonne comédie, gad est exellent ... depardieu et gad sont un exellent duo bravo a eux ... je ne comprend pas tous ceux qui ont mis 0 étoile ils sont un peu ...
Depardieu cachetonne sans se forcer, Gad Elmaleh débute sur grand écran et se retrouve un peu à la ramasse; les situations et les dialogues ne sont pas drôles. Une comédie française loupée comme il en existe trop.
EMBROCHER. Le making of ne peut qu'être plus drôle. Triste spectacle (olé). Sans sourire, un Gad sans étincelle et un Depardieu trop caché derrière son immense carapace. Florence Quentin est passé à coté, olé.
Depardieu a du mal a porter cette comédie, sans saveur, sur ces épaules. Je ne me m'était même pas rendu compte que c'est un François Pignon. Très moyen. ----Avril 2016----
Longtemps on se demande quand le film va commencer en se lamentant sur l'humour qui tombe à plat. Quand enfin l'intrigue se noue avec un légèreté de pachyderme, l'humour est toujours absent. Gérard Depardieu, Sabine Azema, Gad Elmaleh nous font leur numéro avec le minimum syndical et on finit par se demander ce qu'on fait là, sans doute reste-t-on pour la beauté et le jeu extraordinaire de Valeria Golino. Elle éclaire le film mais ne le sauve pas.
L’affiche exotique est symptomatique : voici une nouvelle comédie sur les “pays étrangers“, à peine abordés dans les faits, & dont les personnages font semblant d’assumer qu’ils ne maîtrisent pas la langue. Quentin, forte d’avoir été la scénariste de La Vie est un long fleuve tranquille, a choisi d’opter pour le maximum de piliers possibles en matière de déjà-vu : le beauf cuistre, la mégère hypocondriaque, le gentil qui se fait avoir, une femme compréhensive mais caractérielle & un petit chien pour décorer : tout est enfermé, quoiqu’une grande bonne volonté pétrit tout ça à peu près bien.
Olé! se laisse regarder grâce à Elmaleh qui virevolte entre ses scènes pendant plus d’une demi-heure, parfait chauffeur-valet à qui il sied d’être ultracompétent. Mais la comédie de genre a dit non : il fallait que Depardieu se détachât du serviteur pourtant attachant afin de distiller l’antagonisme ; l’acteur flotte vaguement dans cette coquille trop grande pour lui & Elmaleh y perd de sa superbe.
La faute du film repose peut-être en grande partie dans ce glissement d’une notion vers l’autre, qui prive soudain le spectateur de ses repères, même réchauffés (la secrétaire angoissée était très bien, on reconnaît d’ailleurs en elle ce que Quentin faisait de mieux pour Chatiliez), & qui le condamne à des tentatives de plus en plus médiocres de convenir à une audiencequi n’aura finalement que faire de cette soupe scénaristique s’hispanisant longtemps dans le vide.
Quentin a laissé quelques traces d’une volonté de faire quelque chose qui n’a pas abouti. Pourtant elle finit elle-même par réduire Golino au silence, elle qui avait, en plus d’une prononciation espagnole parfaite, cent fois la possibilité & le talent de remettre les pieds sur terre à tout le monde, & en premier lieu à Elmaleh, son mari dans l’histoire qu’elle regarde se noyer dans des absurdités évacuées de moins en moins efficacement par le rire.
On entrevoit, par l’embrasure de beaucoup de portes refermées sur les bonnes idées, une entreprise plus grande qui en valait la peine avant d’être écrasée par le standard.