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Malevolent Reviews
981 abonnés
3 207 critiques
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3,0
Publiée le 6 août 2013
Cinq ans après l'immense succès des Indians, une suite est mise en route avec la même équipe, quasiment le même casting mais hélas aussi le même scénario... Avant tout, les changements : si les acteurs sont toujours présents (y compris Rene Russo qui revient sous forme de cameo), certains disparaissent pour laisser place à d'autres comme Wesley Snipes, remplacé par le tout aussi excité Omar Epps, et les nouveaux venus David Keith en joueur antipathique, Eric Bruskotter en receveur demeuré et surtout Takaaki Ishibashi, clou du spectacle en nouvel arrivant nippon, véritable samouraï survolté... Pour l'histoire, elle reste foncièrement la même : nos héros sont devenus des stars, ont changé leurs habitudes et se reposent sur leurs lauriers, redevenant peu à peu une équipe de losers. Et tandis que Jake Taylor (Tom Berenger) devient le nouvel entraîneur de l'équipe, les Indians vont devoir à nouveau se surpasser pour gagner la Série de Championnat de la Ligue Américaine de Baseball (la fameuse ALCS). Du classique quoi... Le film montre surtout les nouvelles personnalités de nos héros, beaucoup plus appuyées que le précédent, avec un Rick Vaughn (Charlie Sheen) assagi, un Willie Hayes (Epps) devenu une star de cinéma, un Pedro Cerrano (Dennis Haysbert) reconverti en bouddhiste pacifiste et un Roger Dorn (Corbin Bernsen) passé dirigeant de l'équipe. Reprenant pourtant le schéma redondant du "on était bon mais faut qu'on le reste", Les Indians 2 s'avère finalement un poil meilleur que son prédécesseur, notamment grâce à un humour plus efficace, des personnages plus travaillés et des matchs plus dynamiques, au "suspense" désormais palpable. Bien entendu, l'effet de surprise est passé et certains protagonistes restent en retrait mais dans l'ensemble cette séquelle s'inscrit dans la lignée du premier film et réussit à nous faire passer un bon moment, c'est le principal.
Encore plus nul que le premier. Des blagues vaseuses, une meilleure coupe de cheveux pour Charlie Sheen mais l'humour est à nouveau complètement nul car mal joué. Une catastrophe. C'est sans appel, ils n'auraient pas du tourner de suite !
Le premier Major League est une vraie légende dans la comédie sportive américaine et même mondiale. Drôle, très sympathique, d’une durée parfait et d’un rythme défiant toute épreuve, le film était exceptionnel.
Le deuxième Major League démarre sans Wesley Snipes, remplacé par Omar Epps, dans un de ses premiers rôles, où il assure le remplacement de bonne manière, sans nous faire regretter l’interprète de Blade. Malheureusement, le film n’est pas à son image. S’il reste quand même immensément sympathique, encore principalement du à un Corbin Bernsen absolument fantastique, le film n’atteint jamais ne serait-ce que la cheville du premier opus. On rit souvent, mais loin de rire aussi souvent que dans le premier film, le scénario ressemble plus à un assemblage de matches qu’à une véritable comédie recherchée. Et en plus, Bernsen est sous-utilisé. L’ajout de Takaaki Ishibashi au casting est une idée de génie, qui réhausse le niveau du film.
Major League II est donc un bon film, qui souffre de la comparaison avec son illustre ancêtre, un chef d’œuvre de la comédie sportive.
13 657 abonnés
12 397 critiques
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3,0
Publiée le 28 juillet 2010
Cinq ans après le beau succès des "Indians" et toujours rèalisè par David S. Ward, la fine èquipe de tocards et de bras cassès, autrefois animès par la rage de vaincre, s'est endormie sur ses lauriers et a laissè place à des stars soucieuses de leur image! Sous la houlette de Tom Berenger alias "Jake Taylor", reconverti en entraîneur ronchon, Charlie Sheen, alias "Wild Thing", et ses coèquipiers ont bien du mal à reconquèrir leur titre de gloire! Une suite virile et gentiment sympa qui fait la part belle au base-ball! A savoir qu'un troisième opus des "Indians" a ètè rèalisè en 1998 par John Warren mais sans Tom Berenger et Charlie Sheen...