Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
(...) on appelle aussi cela une autocritique.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Emile Breton
Ce qui en fait le prix, en effet, c'est moins le " document ", et son traitement travaillé comme on l'a dit, que les amorces de fiction, les pistes vers d'autres histoires qui soudain se dessinent.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
"Ronde de nuit" semble d'abord le froid enregistrement d'une réalité sombre sans être glauque, avant de prendre une dimension d'étrangeté de nature presque fantastique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jean-François Rauger
La beauté de Ronde de nuit réside donc là, dans l'exquise impossibilité de décider au bout d'un moment de la véritable nature de ce que l'on voit.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Si le temps dilaté du film semble jouer contre lui, c'est pourtant de cette matière même, de cette absence -risquée- de progression apparente que va émerger sa véritable cohérence.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Pierre Murat
En fait, c'est la perte de l'innocence que filme le cinéaste dans cette ville sombre, misérable et fascinante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Olivier Pélisson
Entre balade onirique et défilé de sa faune nocturne, Buenos Aires devient le personnage central d'un étrange voyage au rythme lent et au ton sec.
aVoir-aLire.com
par Julien Elalouf
Le retour du cinéaste à Buenos Aires, sa ville natale, est de ce fait réussi et se démarque vivement de l'imagerie de carte postale qui menace toujours cette cinématographie.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par La Rédaction
Entre réalisme et symbolisme, une errance originale qu'on aurait voulu encore plus fantaisiste.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Positif
par Eric Derobert
Au total, l'unité de temps d'une nuit que le personnage consacre à la prostitution et à la vente de substances illicites, l'unité d'une violence scandée par la scène récurrente des personnes poussées sous un véhicule sont pourtant traitées dans une étonnante et non ostentatoire douceur.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Bernard Achour
En contrepartie, la faiblesse des enjeux dramatiques et le charme un rien crispant de l'acteur principal ne lui permettent pas de dépasser le stade du trip éphémère.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Libération
par Philippe Azoury
(...) ralentis fantomatiques, notes de fado et toute une quincaillerie argentine comme obligatoire qui empêche le film de trouver une quelconque épaisseur.
Première
par Benjamin Mallet
Un film en roue libre, au symbolisme pesant, tout juste sauvé du désastre par la spontanéité de ses interprètes.
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par Romain Cole
On avance donc à tâtons dans cette oeuvre plus arty que passionnante.
La critique complète est disponible sur le site Score
MCinéma.com
par Aurélien Allin
(...) peu marquant et faussement profond. Au contraire de l'ennui qu'il procure.
Cahiers du Cinéma
(...) on appelle aussi cela une autocritique.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Ce qui en fait le prix, en effet, c'est moins le " document ", et son traitement travaillé comme on l'a dit, que les amorces de fiction, les pistes vers d'autres histoires qui soudain se dessinent.
L'Obs
"Ronde de nuit" semble d'abord le froid enregistrement d'une réalité sombre sans être glauque, avant de prendre une dimension d'étrangeté de nature presque fantastique.
Le Monde
La beauté de Ronde de nuit réside donc là, dans l'exquise impossibilité de décider au bout d'un moment de la véritable nature de ce que l'on voit.
Les Inrockuptibles
Si le temps dilaté du film semble jouer contre lui, c'est pourtant de cette matière même, de cette absence -risquée- de progression apparente que va émerger sa véritable cohérence.
Télérama
En fait, c'est la perte de l'innocence que filme le cinéaste dans cette ville sombre, misérable et fascinante.
Zurban
Entre balade onirique et défilé de sa faune nocturne, Buenos Aires devient le personnage central d'un étrange voyage au rythme lent et au ton sec.
aVoir-aLire.com
Le retour du cinéaste à Buenos Aires, sa ville natale, est de ce fait réussi et se démarque vivement de l'imagerie de carte postale qui menace toujours cette cinématographie.
Le Journal du Dimanche
Entre réalisme et symbolisme, une errance originale qu'on aurait voulu encore plus fantaisiste.
Positif
Au total, l'unité de temps d'une nuit que le personnage consacre à la prostitution et à la vente de substances illicites, l'unité d'une violence scandée par la scène récurrente des personnes poussées sous un véhicule sont pourtant traitées dans une étonnante et non ostentatoire douceur.
TéléCinéObs
En contrepartie, la faiblesse des enjeux dramatiques et le charme un rien crispant de l'acteur principal ne lui permettent pas de dépasser le stade du trip éphémère.
Libération
(...) ralentis fantomatiques, notes de fado et toute une quincaillerie argentine comme obligatoire qui empêche le film de trouver une quelconque épaisseur.
Première
Un film en roue libre, au symbolisme pesant, tout juste sauvé du désastre par la spontanéité de ses interprètes.
Score
On avance donc à tâtons dans cette oeuvre plus arty que passionnante.
MCinéma.com
(...) peu marquant et faussement profond. Au contraire de l'ennui qu'il procure.