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    La question humaine
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    2,0
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    136 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 octobre 2007
    Une belle idée que de réunir tous ces monstres vieillissants hantant le cinéma français (Scob, Lonsdale, etc) et de leur donner des rôles de monstres. Le réalisme n'est pas du tout le propos de Klotz. La question humaine est un film fantastique et délirant sur la naissance d'une paranoïa. A voir absolument. Certaines scènes resteront à jamais gravées dans vos mémoires de cinéphiles.
    Niko0982
    Niko0982

    67 abonnés 1 331 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 janvier 2008
    Ce film est un peu long et le personnage principal pas très intéressant. Néanmoins, c'est bien réalisé, bien joué (M. Amalric est très fort) et le sujet est original.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 4 octobre 2007
    Une fois de plus, Mathieu Amalric m'a impressionné.
    Le film, même s'il est un peu longuet, mérite d'être examiné.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 8 avril 2008
    film long, très long.... intrigue pas forcément passionnante.... et le seul sujet qui est intéressant n'est traité qu'une dizaine de minutes dans le film. Les acteurs sont insipides (mais c'est le film qui le veut). Le seul moment un temps soit peu sympa et qui réveille au bout d'une longue période de film soporifique est la rave-partie. Je ne le conseil pas à ceux qui ne sont pas cinéphiles et à ceux qui ont tendance à s'endormir devant les films(l'effet y est accentué).....
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 28 octobre 2007
    Franchement ? Très déçue...je n'ai pas aimé. C'est "violent", glauque...Il faut etre en forme, avoir le moral pour voir ce film. Cela traine en longueur et on se sent mal à l'aise. C'est particulier.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 2 novembre 2007
    Magistral ! Ce film est superbement inspiré, la déshumanisation du monde du travail est palpable. Les clones en costume noir qui bossent, vivent et se reproduisent entre eux (d’où la scène du baiser selon moi), le parallèle avec l’idéologie nazie et les théories de l’aryanisme, l’entretien d’embauche, le plan final, forcément noir, parce qu’on ne peut voir l’indicible, etc., tout est génial dans ce film. Du grand cinéma, vraiment !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 8 novembre 2007
    Il y a très longtemps que je n'étais pas sortie avant la fin d'un film mais là c'était vraiment pas possible. J'ai jeté l'éponge au bout d'1 h 15. Le film n'est pas mauvais en soi mais tellement mal traité et avec des acteurs tellement inintéressant que janais on n'arrive à entrer dans l'histoire.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 4 janvier 2008
    Je n'ai pas compris !!! Le film est abscons. Improbable. Amalric est fade. Juste les décors, le choix des couleurs et des cadres sont interessants.
    Drec33
    Drec33

    1 abonné 5 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 septembre 2009
    Film fastidieux et fermé à triple tour. Difficile de ne pas décrocher tant le rythme est pesant, solennel par moments malgré quelques belles prestations de comédiens, notamment Lonsdale. Pour montrer des dirigeants d'une grande multinationale en grands fauves glaçants, les filmer dans une lumière blafarde, était-ce vraiment pertinent ou juste démonstratif? On peut aussi trouver que le parallèle entre les méthodes de la grande entreprise et la Shoah est franchement douteux.
    brandade
    brandade

    5 abonnés 110 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 octobre 2007
    Etrange film qui suscite à la fois dégoût et admiration. Jamais réaliste, totalement cérébral et pourtant très charnel : les scènes de groupe (entreprise, séminaire, boîte de nui) mettent en scène le monde des cadres dynamiques comme des insectes en proie à l'hystérie, grouillant de manière nauséabonde devant nos yeux ébahis qui ne savent plus trop à quel film ils assistent.
    Quelques scenes subliminales (hommes entre eux en boite de nuit, arrière plan de Lonsadel sur son lit pendant une scene censée se passer chez sa secrétaire, lavage du corps d'amalric-vision chrétienne- finissent de déstabiliser le spectateur.
    La forme est intéresante, le glissement progressif du film traduisant bien la chute de son "héros" (terme assez mal choisi je l'avoue). Quant au parallèle osé entre nazisme et culture d'entrerise là je joue mon joker ...
    Mention spaciale a Michael Lonsdale, très fort, et au comédien qui se soumet au test de recrutement (seule scene quasiment réaliste du film, tres réussie)
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 septembre 2007
    Quelque soit le propos, on ne dit et ne montre que ce dont on veut parler et mettre en évidence. Nicolas Klotz n'agit pas autrement en s'accrochant à un postulat précis : la similarité des moyens et finalités envisagés par le monde de l'entreprise actuel et la solution finale théorisée par les nazis sous le IIIè Reich. Pour cet aspect purement politique du film, il est bien sûr possible de s'élever spontanément contre une telle présomption. Klotz noirci le trait, assène, et renchéri, et cela pour faire le lumière sur la déshumanisation contemporaine, où le mot "pièce" est plus criant que jamais. Car on ne peut que louer la démarche qui décloisonne historiquement ici l'horreur des camps de concentration afin de traquer la rémanence de leur essence dans la période actuelle, à savoir la volonté d'une superstructure aux traits indiscernables de poursuivre ce travail d'élimination de l'être, de l'annihilation des sentiments. La ficelle peut paraître grosse, mais le discours est tout à fait pertinent. C'est la mise en scène qui apporte cette crédibilité tant difficile à acquérir : tout est dépouillé, les bureaux sont glacials, les hommes aussi. Une sclérose semble habiter les relations humaines, et tout juste des chants pittoresques et autres soirées enfiévrées exhalent une chaleur improbable. Le monde réel devient peu à peu impalpable et indolore, comme tétanisé par la perspective cataclysmique du quotidien. Soulignons ici les performances remarquables de Mathieu Amalric et Michael Lonsdale, ce dernier campant un gardien de l'Histoire comme pétrifié, le premier glissant sur la pente de la démence au fil que la vérité se dévoile à ses yeux. Observons enfin la géométrie des lieux captés dans chaque plan pour signifier la rigidité de l'univers décris, et les diverses métaphores, telles le quatuor fantomatique, la traversée nocturne en barque comme l'effacement du groupe, les émanations des cheminés d'usines, comme marque de la consumation des âmes, évanouissement de l’Homme
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 août 2010
    Ce film m'a profondément bouleversé, je crois.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 20 juillet 2009
    Au secours ! A côté de ce Monsieur Klotz ultra-prétentieux verbeux et (pour tout dire) chiant, Desplechin prendrait presque des allures de Jean Girault tournant "Le gendarme de Saint-Tropez" avec Louis de Funès. Insupportable de pédanterie, parsemé d'interminables scènes-alibis n'ayant qu'un très lointain rapport avec la (très mince, soit dit en passant) intrigue, ce film est une catastrophe cinématographique. Tout celà au service d'une idéologie très douteuse (voire nauséabonde), à savoir que le capitalisme est moralement équivalent à la doctrine nazie ou, pour l'exprimer autrement, qu'un dirigeant de multinationale se situe moralement sur le même plan que Hitler. C'est très "tendance" prout-prout-ma-chère, mais à mon sens tout aussi malsain. Le propos est sans doute sincère (j'en veux pour preuve les seules scènes intéressantes du film, où Mathieu Amalric lit d'une voix volontairement atone des instructions écrites destinées à des gardiens de camps de concentration, et qui provoquent un réel et profond malaise), mais c'est très loin d'être suffisant. En résumé, à fuir !
    Renaud d
    Renaud d

    13 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 septembre 2007
    Au secours.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 25 octobre 2007
    C’est bizarre comme la relativité du temps se constate quand on voit ce genre de film, autant 2h21 de bonheur paraissent courtes autant 2h21 de ce film peuvent paraître aussi longues que la vie d’une tortue, car ce film est une torture, vilain jeu de mots. Ce film n’a vraiment rien d’exceptionnel aucune beauté visuelle, une histoire qui donne envie de dormir et un jeu d’acteur qui laisse parfois à désirer.
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