Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
(...) un film monstre. Non pas tant en raison du milieu qu'il pénètre, des systèmes qu'il documente et peu à peu rapproche (...) que par sa longueur, son ampleur, la puissance des forces qui l'animent.
Ambitieux, habité, rongé par la fameuse "inquiétante étrangeté" freudienne par où tout se dérègle, le Klotz rejoint les grands films-comètes et sans descendance (...) qui traversent parfois le ciel gris et blanc d'un cinoche hexagonal de salon définitivement gagné à la chronique naturaliste plate.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Nicolas Klotz à réussi un film énigmatique sur la banalité et parvient à rendre mystérieux les déplacements chorégraphiques et la beauté des jeunes gens qui se donnent corps et âme à leur emploi.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Ce n'est pas tous les jours que l'on voit des films aussi puissants, retors, fascinants, malaisants, traversés de zones d'ombre et de mystères, qui vous hantent longtemps après la projection (...)
POUR : Dans ce puzzle intrigant, thriller politique et psychologique fait de longues séquences tout en clairs-obscurs, chaque gros plan sur un corps, sur les éclats tranchants d'une " rave " ou la grisaille ouatée d'un bureau suggère un glissement du réel, à la limite de l'étrange. Une formidable expérience.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'idée, présente dans le roman de François Emmanuel dont le film est tiré, c'est que les horreurs du nazisme continuent à hanter notre temps. (...) D'où un certain malaise. Et c'est dommage, car le film vaut mieux que cela, que cette illustration d'une idée défendue par le romancier et adoptée sans assez de recul par le cinéaste.
Il y avait tout à craindre d'une adaptation cinématographique de "la Question humaine", roman allégorique sur l'élimination des faibles par la broyeuse capitaliste (...) Mais l'improbable est survenu : le film est à la hauteur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Taraudés par "la question humaine", Amalric et Lonsdale sont (...) magnifiques. Ils donnent de la chair à une réflexion intellectuelle sur les pratiques et le langage du totalitarisme, mise en scène avec une belle rigueur, même si elle n'est pas dénuée d'emphase.
C'est parce que travailler en entreprise nous engage malgré tout et nous transforme malgré nous qu'il est si important que le cinéma aille voir ce qui s'y passe. Klotz ouvre la voie avec souffle.
CONTRE : (...) il est des horreurs à ne comparer jamais. Et des générosités qui se révèlent, parfois, aussi maladroites qu'ont pu l'être, jadis, le silence et l'oubli.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
(...) un film monstre. Non pas tant en raison du milieu qu'il pénètre, des systèmes qu'il documente et peu à peu rapproche (...) que par sa longueur, son ampleur, la puissance des forces qui l'animent.
Chronic'art.com
Ambitieux, habité, rongé par la fameuse "inquiétante étrangeté" freudienne par où tout se dérègle, le Klotz rejoint les grands films-comètes et sans descendance (...) qui traversent parfois le ciel gris et blanc d'un cinoche hexagonal de salon définitivement gagné à la chronique naturaliste plate.
Elle
Nicolas Klotz à réussi un film énigmatique sur la banalité et parvient à rendre mystérieux les déplacements chorégraphiques et la beauté des jeunes gens qui se donnent corps et âme à leur emploi.
Le Monde
La Question humaine (...) et tient ses promesses, de bout en bout. La Question humaine est (...) un beau film (...) un grand film politique.
Les Inrockuptibles
Ce n'est pas tous les jours que l'on voit des films aussi puissants, retors, fascinants, malaisants, traversés de zones d'ombre et de mystères, qui vous hantent longtemps après la projection (...)
Télérama
POUR : Dans ce puzzle intrigant, thriller politique et psychologique fait de longues séquences tout en clairs-obscurs, chaque gros plan sur un corps, sur les éclats tranchants d'une " rave " ou la grisaille ouatée d'un bureau suggère un glissement du réel, à la limite de l'étrange. Une formidable expérience.
aVoir-aLire.com
Admirable de densité (...) Courageux et insensé.
L'Humanité
L'idée, présente dans le roman de François Emmanuel dont le film est tiré, c'est que les horreurs du nazisme continuent à hanter notre temps. (...) D'où un certain malaise. Et c'est dommage, car le film vaut mieux que cela, que cette illustration d'une idée défendue par le romancier et adoptée sans assez de recul par le cinéaste.
L'Obs
Il y avait tout à craindre d'une adaptation cinématographique de "la Question humaine", roman allégorique sur l'élimination des faibles par la broyeuse capitaliste (...) Mais l'improbable est survenu : le film est à la hauteur.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Taraudés par "la question humaine", Amalric et Lonsdale sont (...) magnifiques. Ils donnent de la chair à une réflexion intellectuelle sur les pratiques et le langage du totalitarisme, mise en scène avec une belle rigueur, même si elle n'est pas dénuée d'emphase.
TéléCinéObs
Le film démontre de manière implacable le parallèle existant entre les méthodes fascistes et celles d'un libéralisme poussé à l'extrême.
Libération
C'est parce que travailler en entreprise nous engage malgré tout et nous transforme malgré nous qu'il est si important que le cinéma aille voir ce qui s'y passe. Klotz ouvre la voie avec souffle.
MCinéma.com
Si La question humaine a des attraits d'exception (...) l'ambition du film passe parfois pour de la prétention un peu boursouflée.
Ouest France
Une enquête entre démonstration, documentaire, thriller et drame autour d'une pathétique prestation de Mathieu Amalric.
Première
Le film (...) se réchauffe et s'aére, traversé d'indocilité (...)
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Télérama
CONTRE : (...) il est des horreurs à ne comparer jamais. Et des générosités qui se révèlent, parfois, aussi maladroites qu'ont pu l'être, jadis, le silence et l'oubli.