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Un visiteur
4,0
Publiée le 29 août 2007
Excellent, Genial, Richard gere assure plus vraiment le mec de 40 ans mais il joue admirablement bien et ce film historique est très interressant, un scénario bien fait, bien mené, des acteurs remarquables, un film à voir, il aurait merité plus de médiatisation en europe aussi
Le film est globalement bon, un scenario bien ficelé, des idées interessantes, et une excélente fin. Seul bémol(s), l'ami du héros, la bonne patte gaffeuse, dont la bétise en début de film est énervante. Néanmoins cela reste un film très agréable à voir.
Un film correct, sans plus, avec Richard Gere qui a toujours du mal à revenir à son meilleur. Le scénario est bon, et original pour une fois, mais il manque un peu de rythme.
Un film qui commence bien. Même si l'idée en elle même n'est pas très originale on aime bien. Richard Gere bon dans son rôle de "faussaire". Le reste de la distribution est tout aussi agréable. Mais le film dure un peu trop longtemps et les situations semblent invraissembables. Le final m'a beaucoup déçu, laissant un gout un peu amère à la sortie. Donc un film sympa mais qui ne resteras pas dans ma mémoire bien longtemps.
Exellent film que ce faussaire, je ne m'attendais pas a une tel réussite en lisant le résumé, ne trouvant pas ça très passionnant.Mais ce fut tout l'inverse. l'histoire est incroyablement maitrisé, le scénario monte en puissance au fur et a mesure,l'histoire nous passione et nous captive complétement et Richard Gere n'a rien perdu de son charisme et de son grand talent.Bref, ce n'est pas du grand art, mais mieux vaut un petit film a petit budget matrisé par main de maitre, qu'un grand film a grand budget digne d'un film amateur. A voir.
Déjà l'histoire atypique de ce personnage vérédique (C.Irving) vaut le détour! Le jeu de Gere est renouvelé et donne plaisir à voir. La mise en scène est maitrisée et le suivi est fort attrayant. On s'emballe, se laissant aller à ce scénario très bien construit, et à cette ambiance bien définie, sans faille et carrément disjonctée dans le récit. L'affiche est au désavantage du film!
Excellent film d'atmosphère. On plonge dans les tourments du héros et on s'imprègne de son esprit troublé. La manière dont il avance est jubilatoire à suivre. Pourtant, ce film est très calme, sans la moindre action, mais on y est suspendu du début à la fin. Le genre était pourtant difficile à traiter. Magique !
Faussaire est l'un des bons films de Lasse Halstom, oncontestablement. Grace à un scénario intelligent et intéressant, le réalisateur nous permet de vivre un moment de cinéma plaisant, porté par de forts bons acteurs. Richard Gere est ici crédible, mais on lui préférera tout de même Alfred Molina, remarquable. L'ensemble n'est en rien prévisible, et c'est même plutot surpris que l'on suit les péripéties de notre héros, sympathique menteur, plutot attachant. C'est aussi là la réussite de ce Faussaire, qui a su rendre ses personnages de belle qualité. On pardonnera alors quelques petites longueurs et facilités de mise en scène, pour un résultat ma foi plus qu'honorable.
M'attendant à voir un film plutôt moyen, j'ai été très agréablement surpris par Faussaire qui est un film très prenant et sans temps mort. Les acteurs jouent bien et leur duo est vraiment bien réussi. L'intrigue parait parfois farfelue tant les ficelles sont grosses mais plus c'est gros, plus c'est facile à avaler! Faussaire est un bon film à ne pas bouder.
Lorsque j’ai été voir ce film, je ne m’attendais pas forcement à voir un chef d’œuvre comme dès le départ peut être à tort j’avais des à priori sur les choix de Richard Gere à jouer dans de très bon films. Je ne me suis donc pas trompé car le film est plutôt formaté et simplement divertissant même si le jeu de Richard Gere est remarquable en escroc génial. Faussaire comme le nom l’indique reprend le thème de l’imposture et porte à l’écran une partie de la vie de l’écrivain Clifford Irving devenu célèbre dans les années 70 pour sa fausse biographie du géant de l’aviation et du cinéma Howard Hugues. En effet, le film divertit en montrant comment Irving élabore son plan machiavélique, apprend à composer des faux papiers ou à imiter Hugues. De même lorsque l’étau se resserre et qu’on pense que Irving est piégé dans ses arguments parce qu’il va là où on ne l’attend pas en inventant des plus gros mensonges. Ainsi le film souligne le fait qu’en voulant devenir un écrivain à succès, Irving est tombé dans une spirale infernale où il devient un mythomane malade. Par ailleurs, il est donc intéressant de faire le parallèle avec Aviator le film de Scorsese où on voit dans les dernières scènes Di Caprio resté cloîtré chez lui ne pouvant plus contrôler ses phobies car à la fin de Faussaire, Irving reste aussi cloisonné dans une pièce mais avec des photos du célèbre aviateur accroché au mur et en s’inventant une fausse relation avec Hugues ou ses proches. Mais la comparaison des 2 films peut s’arrêter là car le réalisateur Lasse Hallström n’a pas réussi à faire passer autant d’émotions ou à créer des grandes scènes de cinéma comme dans le film de Scorsese malgré une bonne reconstitution des années 70.
Lasse Hallström, réalisateur américain d’origine suédoise, nous raconte l’incroyable histoire d’un écrivain qui, en manque de notoriété, a réussi à faire croire à sa maison d’édition et à l’Amérique toute entière, qu’il avait réussi à obtenir les droits autobiographiques d’un certain Howard Hughes (homme de pouvoir, multimilliardaire, qui possède entre autre : un empire immobilier, une compagnie d’aviation, etc ). Clifford Irving parviendra à mentir à tous ceux qu’il rencontrera, jusqu’au moment de la publication de son autobiographie (chose qui ne se fera jamais suite à son procès). Avec dans les rôles principaux, l’étonnant Richard Gere, l’hilarant Alfred Molina et dans un petit rôle, la Frenchy Julie Delpy. Une histoire troublante et fascinante où se mêlent mensonges et machination. On est même fasciné de voir à quel point cet homme a du mentir pour arriver à ses fins. Il est tellement réaliste dans sa façon de mentir, qu’il en arrive même à transformer ses fantasmes en réalité ! C’est franchement culotté et incroyablement stupéfiant !
Le canular était presque parfait. Le tapis est déroulé. Clifford Irving ( pas John, dont "L'oeuvre de Dieu, la part du diable" a été adapté par le même Hallström) attend, au sommet de la tour des éditions McGraw-Hill, l'arrivée imminente d'Octavio en hélicoptère. Impossibilité immédiate de découvrir son identité puisque d'un coup, on revient quatre mois en arrière. L'écrivain Irving décide de s'attaquer à la biographie du nabab hollywoodien Howard Hughes ( interprété par DiCaprio dans "The aviator"). L'originalité est qu'il va l'écrire sans son consentement, usant de stratagèmes plus fous les uns que les autres. Aussi invraisemblable que cela puisse paraître ( sa biographie !), cette histoire inimaginable est pourtant bien réelle. Comme à ses débuts ( "Ma vie de chien", "Gilbert Grape"), le réalisateur suédois Lasse Hallström étonne positivement par une mise en scène très inspirée, grâce à la multitude de ses trouvailles. Il est aidé par un Richard Gere magistral dans un rôle de composition schizophrénique ( il a pris les mimiques de l'écrivain mais aussi celles du magnat, qui donnent lieu à une scène d'anthologie). Le film atteint son apothéose quand l'écrivain avoue, semble-t-il, tous ces micmacs. A l'image de son héros roublard, Hallström parvient à manipuler le spectateur. A trop vouloir s'identifier au mystérieux producteur, reclus dans son palais de "Xanadu", il va y laisser ses plumes. Or, seuls les anges ont des ailes.
Pas un mauvais moment que cette chronique sur un banal écrivain ordinaire qui est tenté par la célébrité, bien aidé par sa propre folie. Je ne sais pas ce qui s'est réellement passé et comment cela s'est passé mais on a du mal a croire vraiment que la mayonnaise ait pris dans la vraie vie ! Voilà, deux étoiles pour passer le temps entre deux orages.
Faussaire ou l'histoire vrai d'un des plus gros canulars (Hoax) jamais orchestré, avec des impacts nombreux, et non des moindres. C'est sur cette base que démarre ce très bon film plutôt Hollywoodien, avec en tête d'affiche une star qu'on ne présente plus, Richard Geere (tout bonnement parfait). Il incarne avec justesse Clifford Irving, cet homme qui n'hésite pas à manipuler son ami (excellent Alfred Molina) pour obtenir sa collaboration, tromper sa femme, et à mentir à tout le monde. Un homme détestable dira-t-on. Et pourtant, durant tout le film, on ne peut s'empêcher d'éprouver de la sympathie pour lui, car malgré tout il reconnait certains de ses défauts (comme l'infidélité), et s'il est obligé de monter un canular, ce n'est que par frustration. Il finit tout de même par être rattraper par ses mensonges (peut être est-ce aussi grâce à cette punition que l'on apprécie Clifford). Dans tous les cas c'est le réalisateur qui mérite les louanges, pour cet exploit. Il se sert également de ce film pour faire le portrait d'une époque politiquement troublée (les 70's), avec la guerre du Vietnâm, les scandales du Watergate... tout en adressant un regard satirique sur la politique à venir (lorsque la radio lance: "L'arrivée de Bush au poste de gouverneur de californie est un bon présage pour les années à venir"). Et même si parfois l'ensemble apparaît quelque peu brouillon, on finit oujours par s'y retrouver, grâce à des scènes dynamiques rythmées par une excellente musique! Voici un très bon film.