La 1ère impréssion qu'il me vient à l'esprit c'est : LENT. Ce film est vraiment lent, des passages ne servent pas à grand chose, mais comme se sont des faits réels on ne peux pas les effacer. Par contre, l'intrigue principale est assez intéréssante. On voit le personnage principal se faire bouffer petit à petit par la schizophrénie... une réussite. Richard Gere, y est quand même pour beaucoup. En résumé donc, ce film m'a quand même laisser une bonne impréssion, surtout que je partait sur l'idée que ca allait être nul, je suis donc plutot agréablement surpris.
n'importe quoi, ce film : l'histoire ne tient pas debout et ce pauvre richard gere qui surjoue pour tenter de donner de la consistance à ce rôle si creux.......à tel point qu'on peut féliciter le scénariste qui a trouvé un si parfait nom à ce film : faussaire, ça va bien pour un role de fumiste...
Regardable, mais pas réellement captivant. Je n'irais pas jusqu'à dire qu'on s'ennuie, c'est faux, mais on survole le film sans vraiment rentrer dedans. Pourtant les acteurs et l'histoire de base sont bons, mais ça ne décolle à aucun moment. Avis mitigé donc.
Le canular était presque parfait. Le tapis est déroulé. Clifford Irving ( pas John, dont "L'oeuvre de Dieu, la part du diable" a été adapté par le même Hallström) attend, au sommet de la tour des éditions McGraw-Hill, l'arrivée imminente d'Octavio en hélicoptère. Impossibilité immédiate de découvrir son identité puisque d'un coup, on revient quatre mois en arrière. L'écrivain Irving décide de s'attaquer à la biographie du nabab hollywoodien Howard Hughes ( interprété par DiCaprio dans "The aviator"). L'originalité est qu'il va l'écrire sans son consentement, usant de stratagèmes plus fous les uns que les autres. Aussi invraisemblable que cela puisse paraître ( sa biographie !), cette histoire inimaginable est pourtant bien réelle. Comme à ses débuts ( "Ma vie de chien", "Gilbert Grape"), le réalisateur suédois Lasse Hallström étonne positivement par une mise en scène très inspirée, grâce à la multitude de ses trouvailles. Il est aidé par un Richard Gere magistral dans un rôle de composition schizophrénique ( il a pris les mimiques de l'écrivain mais aussi celles du magnat, qui donnent lieu à une scène d'anthologie). Le film atteint son apothéose quand l'écrivain avoue, semble-t-il, tous ces micmacs. A l'image de son héros roublard, Hallström parvient à manipuler le spectateur. A trop vouloir s'identifier au mystérieux producteur, reclus dans son palais de "Xanadu", il va y laisser ses plumes. Or, seuls les anges ont des ailes.
Une première partie très intéressante avec la présentation d' une abracadabrantesque histoire de fausse autobiographie de Howard Hughes rédigée par Richard Gere aidé de Richard Molina. La deuxième partie met en exergue la mythomanie de Richard Gere qui met en péril son arnaque. Le tout est la foirade d'un superbe pieds de nez au monde l'édition et du scoop. Un bon film inégal mais bon.
Le scénario sorti d'un fait divers réel a tout pour séduire . Un écrivain invente une autobiographie d'H.Hugues et prétend le voir régulièrement . Malheureusement rien ne fonctionne et l'ennui guette ! la mise en scène est paresseuse les acteurs Geere et Molina semblent peu concernés et au final c'est d'une platitude ennuyeuse . à éviter .
Voila une bien drôle d'histoire vraie, célèbre outre-atlantique, que vient nous conter Lasse Hallström. Celle de l'écrivain Clifford Irving qui ne trouvant pas grâce aux yeux de ses éditeurs, décide de leur faire croire qu'il a obtenu les "prétendues" confidences de l'homme le plus célèbre de l'époque, le multimilliardaire Howard Hughes. Ce dernier vit en effet désormais reclus chez lui, entretenant ainsi un véritable mystère autour de sa personne. Comprenant tout de suite la mine d'or se trouvant à sa portée, la société éditrice décide donc de le financer généreusement pour écrire la plus importante autobiographie officielle du XXème siècle. L'écrivain, sa femme et son fidèle compère vont alors devoir aller jusqu'au bout d'un des plus gros canular jamais inventé. C'est à partir de se postulat que l'on retrouve un Richard Gere convaincant et investi dans la peau du "faussaire" et un Alfred Molina bien trop rare, dans celle de son ami. Malgré le potentiel scénaristique de cette histoire, on pourra reprocher au réalisateur suédois de passer outre certains détails de celle-ci et de ne pas avoir "creuser" plus loin la schizophrénie naissante de l'écrivain. "Faussaire" aurait sans doute gagné à bénéficier d'au moins 2h30 pour raconter cette histoire passionnante.
Excellent film sur ce faussaire interprété par Richard Gere. L'histoire est très bien orchestré : on est tenu en haleine tout au long. Plus le mensonge est gros et plus il a de chance de passer, c'est ce qu'il ressort de ce film.
Excellent film d'atmosphère. On plonge dans les tourments du héros et on s'imprègne de son esprit troublé. La manière dont il avance est jubilatoire à suivre. Pourtant, ce film est très calme, sans la moindre action, mais on y est suspendu du début à la fin. Le genre était pourtant difficile à traiter. Magique !
Un Richard Gere au sommet de sa forme , une ambiance si particulière des 70's de l'autre coté de l'Atlantique bien retranscrite. L'Affaire Clifford Irving est tout bonnement acadabrantesque , on en vient meme à prendre parti pour ce dernier , qui tombe peu à peu dans la spirale infernale mensongière.. Des scenes drolesa souhaits , une vrie reussite..
Faussaire ou l'histoire vrai d'un des plus gros canulars (Hoax) jamais orchestré, avec des impacts nombreux, et non des moindres. C'est sur cette base que démarre ce très bon film plutôt Hollywoodien, avec en tête d'affiche une star qu'on ne présente plus, Richard Geere (tout bonnement parfait). Il incarne avec justesse Clifford Irving, cet homme qui n'hésite pas à manipuler son ami (excellent Alfred Molina) pour obtenir sa collaboration, tromper sa femme, et à mentir à tout le monde. Un homme détestable dira-t-on. Et pourtant, durant tout le film, on ne peut s'empêcher d'éprouver de la sympathie pour lui, car malgré tout il reconnait certains de ses défauts (comme l'infidélité), et s'il est obligé de monter un canular, ce n'est que par frustration. Il finit tout de même par être rattraper par ses mensonges (peut être est-ce aussi grâce à cette punition que l'on apprécie Clifford). Dans tous les cas c'est le réalisateur qui mérite les louanges, pour cet exploit. Il se sert également de ce film pour faire le portrait d'une époque politiquement troublée (les 70's), avec la guerre du Vietnâm, les scandales du Watergate... tout en adressant un regard satirique sur la politique à venir (lorsque la radio lance: "L'arrivée de Bush au poste de gouverneur de californie est un bon présage pour les années à venir"). Et même si parfois l'ensemble apparaît quelque peu brouillon, on finit oujours par s'y retrouver, grâce à des scènes dynamiques rythmées par une excellente musique! Voici un très bon film.
Un bon film, bien interprété, mais rien de transcendant si ce n'est l'histoire, le scénario. La réalisation et la mise en scène sont très classiques. Un bon moment, cependant.