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chrischambers86
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3,0
Publiée le 27 juillet 2013
C'est l'histoire d'un homme qui mentit au monde entier! Canular passionnant, "The Hoax" l'est assurèment! Le tout filmè dans une Amèrique prè-Watergate! La vèritè èclate enfin et l'escroquerie est remise au jour par un Lasse Hallström inspirè! Mais remettons les choses dans leur contexte! Richard Gere est Clifford Irving, asailli à New York! Où a t-il rencontrè Howard Hughes ? Où a eu lieu la première interview ? La deuxième ? La dernière ? L'affaire s'èclaire et très vite on (re)dècouvre le pot aux roses! L'escroquerie est mise à jour! Avec un ennui supplèmentaire pour Clifford Irving : Internel rèvèle qu'il ètait accompagnè! Par une autre blonde, Nina Van Pallandt alias Julie Delpy qui incarne la chanteuse danoise à la nuisette affolante de transparence! Pour Irving, c'est un sale coup! Pour elle, c'est forcèment de la bonne publicitè! Bref, tout ça pour dire que sous l'inspiration d'un faussaire reconnu, Elmer de Hory, sujet d'un de ses livres (et plus tard d'un film d'Orson Welles, "F for Fake"), Irving a piquè le manuscrit de James Phelan, qui traînait chez un èditeur! il l'a simplement mis à la première personne! Phelan, mis au courant, rèagit avec humour: « il aurait dû intituler son livre : Son of Fake ! »...Le seul contact qu'Irving ait jamais eu avec Howard Hughes est finalement lointain! Apparemment il l'aurait aperçu sur le plateau de "The Outlaw" autrefois, lors d'une visite guidèe sur le plateau! Clifford Irving avait alors neuf ans! Excellente prestation de Richard Gere qui donne beaucoup de crèdibilitè à son personnage! A ses côtès, Alfred Molina (parfait) est plus dans la « constipation » . Mensonges et machination selon Hallström...
J’aime bien Halle Hallstroëm, cinéaste habitué aux romances qui donnent chaud au cœur et à qui on reproche une débauche de bons sentiments peu en phase avec la réalité humaine. Je ne suis pas d’accord avec ce point de vue, le cinéma a aussi besoin de ceux qui rêvent l’homme plus qu’il ne l’observent. D’autres s’en chargent très bien. Il faut de la place pour tout le monde. J’étais donc impatient de le voir se frotter à la comédie d’arnaque comme avait su si bien le faire Steven Spielberg avant lui dans « Arrêtes moi si tu peux ! . L’histoire plutôt cocasse de cet écrivaillon qui choisit de faire croire qu’il va écrire l’autobiographie de Howard Hugues reclus depuis plus de 15 ans est plutôt réjouissante. Richard Gere ne s’en sort pas si mal, délaissant son rôle éternel de séducteur grisonnant, mais le tout manque un peu de folie comme si Hallstroëm s’était un peu retenu pour un premier essai dans le genre. Dommage.
Malgré la volonté de donner fidèlement à voir un fait divers étonnant, Faussaire nous inflige un ennui monstre. Que de palabres sans fin, de séquences statiques mille fois trop longues, d'un manque (cruel) d'émotion quelle qu'elle soit... On a seulement l'impression d'avoir affaire à un bon élève qui récite sa leçon méthodiquement de la façon la plus plate possible et surtout sans y mettre une once de cœur. En plus de cela, si les américains (public-cible) connaît bien cette affaire, nous-autres n'en avons certainement jamais entendu parler, et l'on se raccroche aux détails balancés sans façon (écrits en surimpression de l'image, et aussitôt disparus qu'on n'a pas eu le temps d'assimiler la date, le lieu, et ce dont il s'agit...), car ici on part du principe que vous en savez un minimum et qu'on ne fait que des "rappels rapides". Dur d'expliquer le déroulement du film à quelqu'un, après que le générique soit apparu... Mis en famille, rapidement déserté par l'ensemble, et subjectivement incapable de raconter les dates et lieux-clés... Un coup pour rien. On retiendra seulement que Richard Gère et Alfred Molina forment un duo complémentaire, et qu'il s'agissait de nous instruire sur la fausse biographie prétendument dictée par Howard Hughes mais qui s'est révélé être une invention par un duo d'escrocs à la petite semaine peu scrupuleux. L'intention était bonne, mais le médium pour nous apprendre les faits est très ennuyeux, bavard, et part du principe qu'on connaît l'affaire... Aucune émotion pour relever la platitude de la leçon récitée sans âme.
c'est un bon film, avec un scénario solide... j'ai été assez surpris par rapport à la différence avec la bande annonce... je m'attendais à un film de gentlman cambrioleur ! rien à voir ;)
Faussaire est un très bon film de Lasse Hallström. Pour commencer, le sujet a été bien traité avec une petite pointe d’humour bien dosée. Le long-métrage est intéressant, divertissant et on passe un très bon moment. De plus, les acteurs comme Richard Gere, Marcia Gay Harden ou encore Alfred Molina sont irréprochables dans leurs rôles et la mise en scènes du réalisateur est correcte. Bref, à découvrir…
"Faussaire" est le nouveau film de Lasse Hallstrom réalisateur connu pour ses films mélo et sirupeux. Cependant, avec celui-ci, il donne un rôle fantastique à Richard Gere et signe un film vivant, divertissant et assez bon dans son genre. En ce qui concerne la réalisation, elle n'est pas vraiment inspirée. Sans être pathétique, elle manque en tout cas réellement d'originalité. Lasse Hallstrom essaie d'insérer quelques effets, quelques mouvements de caméra qui pourraient être intéressants mais qui ne collent pas vraiment avec le reste. Le scénario est lui inspiré de faits réels. Toute la première partie sur la création du canular est vraiment très amusante et recelle de bonnes idées. Cependant, la deuxième partie tombe dans l'ennui et se perd réellement au moment du dénouement. Ainsi, le film pêche par de nombreuses longueurs dans cette seconde partie mais se relève grâce à l'humour subtil assez présent. En ce qui concerne l'interprétation, elle est excellente grâce aux deux interprètes principaux, Richard Gere et Alfred Molina. Richard Gere trouve enfin un rôle où il peut montrer tout son talent. Alfred Molina, lui n'a plus besoin de prouver quoi que soit, mais montre encore une fois l'intelligence et la justesse de son jeu. Il est vraiment formidable, drôle et vole la vedette à Richard Gere. Ainsi, "Faussaire" se révèle être un film très divertissant, souvent drôle mais parfois long (surtout dans sa seconde partie), avec deux interprètes excellents, Gere et Molina.
La recette de "Faussaire" est somme toute assez simple : de bons acteurs (mention à Alfred Molina), un scénario limpide et retord, une réalisation rythmée... A voir.
Un petit film sans prétention. Les acteurs sont à la hauteur de l'entreprise c'est à dire bons sans être géniaux et nous font tout de même passer un bon moment. Richard Gere est plutôt convaincant, mais Alfred Molina est quant à lui formidable. C'est lui qui tire le mieux son épingle du jeu. Marcia Gay Harden est comme toujours très bien aussi, rien à dire. Hope Davis et Julie Delpy complètent ce casting féminin très en forme. La française malgré tous ses efforts peine à percer à Hollywood, mais parvient tout de même à décrocher des rôles dans des films dignes d'intérêt (Broken flowers), c'est déjà ça. Si le film se regarde sans déplaisir c'est d'abord grâce à la force de l'histoire (vraie) et au charme de ses interprètes, car côté mise en scène rien de nouveau sous le soleil de Lasse Hallström. Toujours aussi classique et manquant cruellement de fantaisie et d'inventivité. Le faiseur de film type d'un Hollywood aseptisé. Force est de reconnaître que celui-ci est peut être un peu moins mélo, gnangnan et sirupeux que les précédents. Mais on est encore loin du chef d'oeuvre !
Lorsque j’ai été voir ce film, je ne m’attendais pas forcement à voir un chef d’œuvre comme dès le départ peut être à tort j’avais des à priori sur les choix de Richard Gere à jouer dans de très bon films. Je ne me suis donc pas trompé car le film est plutôt formaté et simplement divertissant même si le jeu de Richard Gere est remarquable en escroc génial. Faussaire comme le nom l’indique reprend le thème de l’imposture et porte à l’écran une partie de la vie de l’écrivain Clifford Irving devenu célèbre dans les années 70 pour sa fausse biographie du géant de l’aviation et du cinéma Howard Hugues. En effet, le film divertit en montrant comment Irving élabore son plan machiavélique, apprend à composer des faux papiers ou à imiter Hugues. De même lorsque l’étau se resserre et qu’on pense que Irving est piégé dans ses arguments parce qu’il va là où on ne l’attend pas en inventant des plus gros mensonges. Ainsi le film souligne le fait qu’en voulant devenir un écrivain à succès, Irving est tombé dans une spirale infernale où il devient un mythomane malade. Par ailleurs, il est donc intéressant de faire le parallèle avec Aviator le film de Scorsese où on voit dans les dernières scènes Di Caprio resté cloîtré chez lui ne pouvant plus contrôler ses phobies car à la fin de Faussaire, Irving reste aussi cloisonné dans une pièce mais avec des photos du célèbre aviateur accroché au mur et en s’inventant une fausse relation avec Hugues ou ses proches. Mais la comparaison des 2 films peut s’arrêter là car le réalisateur Lasse Hallström n’a pas réussi à faire passer autant d’émotions ou à créer des grandes scènes de cinéma comme dans le film de Scorsese malgré une bonne reconstitution des années 70.
Lasse Hallström, réalisateur américain d’origine suédoise, nous raconte l’incroyable histoire d’un écrivain qui, en manque de notoriété, a réussi à faire croire à sa maison d’édition et à l’Amérique toute entière, qu’il avait réussi à obtenir les droits autobiographiques d’un certain Howard Hughes (homme de pouvoir, multimilliardaire, qui possède entre autre : un empire immobilier, une compagnie d’aviation, etc ). Clifford Irving parviendra à mentir à tous ceux qu’il rencontrera, jusqu’au moment de la publication de son autobiographie (chose qui ne se fera jamais suite à son procès). Avec dans les rôles principaux, l’étonnant Richard Gere, l’hilarant Alfred Molina et dans un petit rôle, la Frenchy Julie Delpy. Une histoire troublante et fascinante où se mêlent mensonges et machination. On est même fasciné de voir à quel point cet homme a du mentir pour arriver à ses fins. Il est tellement réaliste dans sa façon de mentir, qu’il en arrive même à transformer ses fantasmes en réalité ! C’est franchement culotté et incroyablement stupéfiant !
"Faussaire"est un biopic classique,si ce n'est qu'il s'intéresse à un imposteur célèbre.Et pour cause,il a inventé une rencontre avec le milliardaire Howard Hugues,pour en faire un roman.Une histoire méconnue en France,et donc très intéressante.On voit le cheminement qui conduit Clifford Irving à devenir totalement mythomane et paranoiaque.Prisonnier à jamais de son propre mensonge.La planète le croit,désireuse de croire en ses rèves.L'homme fascine,dans sa ténacité à prouver ce qui n'est pas vrai.Pour la mise en scène,Lasse Hassetrom ne fait pas d'esbrouffe,mais remplit honnètement son contrat.Richard Gere,convaincant comme rarement.Manque juste un soupçon de personnalité à Faussaire.
La première heure est assez prenante mais la seconde beaucoup moins. La reconstitution de cette époque est plutôt réussie je trouve. Magouilles politiques et financières, arnaques sont les bases de cette histoire vraie qui est vraiment parfaite pour le cinéma. Howard Hughes est le personnage le plus important du film sans qu'on le voie un instant.
Tiré d'un fait réel rocambolesque, "The Hoax" est un film sympathique où Richard Gere signe là sa meilleure prestation depuis longtemps en dépit de sa mise en scène un brin limité. Quelque part l'histoire est tellement incroyable que personne n'aurait pu l'inventer et on se laisse prendre par ce canular des 70's mené par son héros assez rigolo au premier abord puis pathétique sur la fin prisonnier de sa mythomanie. Outre Gere, on n'oubliera pas non plus l'excellent Alfred Molina franchement drôle. On regrette juste une longueur un peu excessive qui noie le propos et dilue son intrigue et son rythme.
Quel niveau ,trés décevant de voir un film déjà connu du grand public,des escrocs on les connait donc pas besoin d'en faire tout un film surtout que le film tien à moitié debout.